Le bruit du temps
Dans la nuit s’abandonne en silence son âme
En réponse d’un blâme,
Éphémère bougie où s’éteint son esprit,
La lueur de la vie au degré de sa flamme
Laisse voir une femme.
Sur la page un rêveur dépose son écrit,
La poésie épouse un destin et proscrit
Le pleur d’un sans abri,
La douceur de ses maux fuit l’ivresse que clame
L’essence de son cœur dont s’étouffe le bruit
Du bourgeon qui flétrit
De l’automne au printemps où dort la belle dame..
Maria-Dolores