Sous l’arche étoilée où voguent ses pensées,
le vieux voilier louvoie près des récifs saillants.
Ô ! lames affûtées aux remous compensés,
ménagez les haubans du fier gréement vaillant.
Nuages intemporels aux confins des nuées,
vous éveillez ses sens dénués de bon sens,
Ils font flotter son cœur au-delà des buées,
où dérivent les proues vouées au contresens.
Ivre est ce bateau offensé par les vagues,
près des écueils hurlants il livre sa coquille!
Sans se soucier des vents son esprit divague
où les furieux brisants dévoilent les quilles.
Triste, erre sa coque sous l’astre fuyant,
il pleure sans âme des larmes aux ondes bleues.
Ô ! Lointaines lueurs éclipsez ce brillant !
Ô ! Mer, enrobe le, d’un blanc linceul sableux!
le vieux voilier louvoie près des récifs saillants.
Ô ! lames affûtées aux remous compensés,
ménagez les haubans du fier gréement vaillant.
Nuages intemporels aux confins des nuées,
vous éveillez ses sens dénués de bon sens,
Ils font flotter son cœur au-delà des buées,
où dérivent les proues vouées au contresens.
Ivre est ce bateau offensé par les vagues,
près des écueils hurlants il livre sa coquille!
Sans se soucier des vents son esprit divague
où les furieux brisants dévoilent les quilles.
Triste, erre sa coque sous l’astre fuyant,
il pleure sans âme des larmes aux ondes bleues.
Ô ! Lointaines lueurs éclipsez ce brillant !
Ô ! Mer, enrobe le, d’un blanc linceul sableux!
Dernière édition: