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L'automne est lasse

maryvelo

Maître Poète
#1






L'AUTOMNE EST LASSE.

L'automne estompe les jours,raccourcit le temps,
Elle nous suspends dans les couleurs,
Et pourtant rares sont les fleurs ,
Que je me perche sur le nuage voilé au dessus des gens...


Dans les chaumières très tôt se ferment les volets.
Les uns sans toit souffrent du froid,
Les autres ne comptent pas l'argent sur leurs doigts,
Leurs chauffages sont déjà allumés...


Sous le ciel bleu de l'avent d'automne,
Les sans abris vivaient de quelques espoirs,
Hélas!combien vont perdre corps et âmes dans le noir,
Avec le ciel gris maussade de l'après automne. …


Une saison fatigante pour les plus fragiles.
Dame nature se repose ,se meurt ,
Alors « certains » ne demandent que modeste demeure.
Rétablir une vérité sur les clochards en exil...


Mary.
Le 12/11/2017

 

zuc

Le chat noir
Membre du personnel
#2
belle pensée,
bon je ferme les volets de ma maison, j'habite la campagne peut de mendiant sous mes fenêtres
me rappelle les paroles de cette chanson enfantine
"il neige, neige Pièrre
le chemin, la chaumière,
l'arbre et le vieux banc
où devant notre porte un pauvre c'est assis
il attend qu'on lui porte un morceaux de pain bis "

en gros je n'ai pas retrouvé les paroles exactes
 

Raymond3

Maître Poète
#4
La révolte gronde , il m’arrive de dire qu’il y a beaucoup de chanceux en jetant un regard en arrière la roue tourne et plus elle fait de misère..
Merci Mary bravo!
Bises Raymond
 

prose16

Maître Poète
#5
Un automne mélancolique annonciateur de l'hiver, quand les gens se calfeutrent dans un chez soi douillet et que d'autres essaient de survivre sur des cartons, roulés dans une vieille couverture, dans un "abri" de fortune...bisous Mary et bonne soirée
 

lilasys

Maître Poète
#6
Des maux que beaucoup n'entendent pas ou plus Mary .....Mais il faut poursuivre la poésie en dessinant de nos plumes ces êtres qui n'attendent rien ....Un sujet qui est à mes yeux une véritable souffrance , Les yeux se détournent souvent de cette macabre infortune .....Il y a pourtant tant de richesses sur cette terre et si peu de gens pour partager ....Merci ta poésie est touchante et fébrile à la fois ......Bisous

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coqhardi

Maître Poète
#8
Avant de s'occuper des migrants occupons nous de nos clochards nous ne pouvons pas toujours prendre toute les misères il y en a assez comme ca en FRANCE les pauvres retraités qui ont fait vivre le pays et comment nous les remercions en leur donnant une retraite de misère certains sont obligés de mendier au Restos du cœur ou au Secours Catholique balayons devant notre porte avant d'aller balayer devant ceux des autres félicitations a vous Mary Bonne soirée
 

maryvelo

Maître Poète
#9
Avant de s'occuper des migrants occupons nous de nos clochards nous ne pouvons pas toujours prendre toute les misères il y en a assez comme ca en FRANCE les pauvres retraités qui ont fait vivre le pays et comment nous les remercions en leur donnant une retraite de misère certains sont obligés de mendier au Restos du cœur ou au Secours Catholique balayons devant notre porte avant d'aller balayer devant ceux des autres félicitations a vous Mary Bonne soirée
Un poeme est un mystère dont le lecteur doit chercher la clef"Stéphane Mallarmé".
Bravo Coqhardi tu as traduis la fin de mon écrit comme je l'ai pensé exactement.
Amitiés
 
#10
belle pensée,
bon je ferme les volets de ma maison, j'habite la campagne peut de mendiant sous mes fenêtres
me rappelle les paroles de cette chanson enfantine
"il neige, neige Pièrre
le chemin, la chaumière,
l'arbre et le vieux banc
où devant notre porte un pauvre c'est assis
il attend qu'on lui porte un morceaux de pain bis "

en gros je n'ai pas retrouvé les paroles exactes
Pour mieux renaitre de ses cendres bravo Mary amicalement Kinkin
La révolte gronde , il m’arrive de dire qu’il y a beaucoup de chanceux en jetant un regard en arrière la roue tourne et plus elle fait de misère..
Merci Mary bravo!
Bises Raymond
 
#11
Un automne mélancolique annonciateur de l'hiver, quand les gens se calfeutrent dans un chez soi douillet et que d'autres essaient de survivre sur des cartons, roulés dans une vieille couverture, dans un "abri" de fortune...bisous Mary et bonne soirée
Des maux que beaucoup n'entendent pas ou plus Mary .....Mais il faut poursuivre la poésie en dessinant de nos plumes ces êtres qui n'attendent rien ....Un sujet qui est à mes yeux une véritable souffrance , Les yeux se détournent souvent de cette macabre infortune .....Il y a pourtant tant de richesses sur cette terre et si peu de gens pour partager ....Merci ta poésie est touchante et fébrile à la fois ......Bisous

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Malheureusement le bonheur des uns, fait le malheur des autres ...
L'argent fait la loi ... Il est grand temps que cela change ...
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Bisous