L'arôme de ton choix.
D'après : Le parfum de sa voix de Lilasys
Demain, encore, je serai toujours là à t'animer,
Humant les bons arômes qu'ensuite, tu élèves,
D'un ressentiment humain qu'on ne peut détester,
A l'endroit, je te lis je ne peste que de tes trêves.
Les nuits, les jours se suivent, on ne peut les exciser,
Ta maison est un tout, baissant les armes chimériques,
Pour un bonheur qu'avec d'autres tu voudrais partager,
Amollissant ainsi ces rocs pour de belles fièvres oniriques.
L'amitié est une denrée si rare, qu'avec vous madame,
Moi, rieur, j'espère des idiots, enlever tout leur fiel,
L'ami qui toujours veille, passe au dessus des drames,
Et ravive la beauté de ton cœur du beau bleu du ciel.
L'avenir plus clair ensuite te prendra par la main,
Partageant enfin de vraies caresses bienveillantes,
Pour que ton œil enjoué s'enivre d'un grandiose festin,
Que tu goute enfin au calme d'une vie bienfaisante.
D'après : Le parfum de sa voix de Lilasys
Demain, encore, je serai toujours là à t'animer,
Humant les bons arômes qu'ensuite, tu élèves,
D'un ressentiment humain qu'on ne peut détester,
A l'endroit, je te lis je ne peste que de tes trêves.
Les nuits, les jours se suivent, on ne peut les exciser,
Ta maison est un tout, baissant les armes chimériques,
Pour un bonheur qu'avec d'autres tu voudrais partager,
Amollissant ainsi ces rocs pour de belles fièvres oniriques.
L'amitié est une denrée si rare, qu'avec vous madame,
Moi, rieur, j'espère des idiots, enlever tout leur fiel,
L'ami qui toujours veille, passe au dessus des drames,
Et ravive la beauté de ton cœur du beau bleu du ciel.
L'avenir plus clair ensuite te prendra par la main,
Partageant enfin de vraies caresses bienveillantes,
Pour que ton œil enjoué s'enivre d'un grandiose festin,
Que tu goute enfin au calme d'une vie bienfaisante.