Ambiguïté
Les couleurs ont changées dans le bois des étés,
L'hiver s'est installé, le métier à jauni,
Il servait à tisser, amour, tristes habits,
Ivresse certains jours et lendemains chantés,
Sur le banc, des poissons, à regarder nager,
Assis pendant longtemps, en ces temps alanguis,
Tout le monde était con, nos mains étaient unies,
Ce fut de longs moments, à rire ou à pleurer,
Les couleurs ont changées, il est sûr elle vomit,
En plus de médisances, de pures calomnies,
La pierre n'est à jeter, la confiance fut donnée,
Mais par manque de chance, l'arbre en fait est chai,
Et rien n'est à maudire, de ces jardins d'été,
Certains veulent souffrir lorsque d'autres sont gais,
Le métier est cassé et il m'avait bien plu,
En la vengeance aider, son gré n'en pouvait plus.
Les couleurs ont changées dans le bois des étés,
L'hiver s'est installé, le métier à jauni,
Il servait à tisser, amour, tristes habits,
Ivresse certains jours et lendemains chantés,
Sur le banc, des poissons, à regarder nager,
Assis pendant longtemps, en ces temps alanguis,
Tout le monde était con, nos mains étaient unies,
Ce fut de longs moments, à rire ou à pleurer,
Les couleurs ont changées, il est sûr elle vomit,
En plus de médisances, de pures calomnies,
La pierre n'est à jeter, la confiance fut donnée,
Mais par manque de chance, l'arbre en fait est chai,
Et rien n'est à maudire, de ces jardins d'été,
Certains veulent souffrir lorsque d'autres sont gais,
Le métier est cassé et il m'avait bien plu,
En la vengeance aider, son gré n'en pouvait plus.
Dernière édition: