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Résultat du concours LABYRINTHE

LLUMIERELIVE

Maîtresse des concours
Membre du personnel
#1
Concours « Labyrinthe »

LABYRINTHEg.jpg
Du 24 avril au 20 mai
Résultats 25 mai



Thème : labyrinthe

Consignes :
Trouver un titre original comprenant le mot labyrinthe
4 à 6 quatrains en rimes croisées abab
Rimes riches ou suffisantes
rappel : exemple rimes pauvres : ros
é/parfumé
rimes suffisantes : ra/po
rimes riches : dosé/posé
Métrique non imposée (nombre de pieds)
Alternance féminine/masculine non imposée


Attention toutefois à l’orthographe et à la ponctuation !
Attendre les résultats avant de poster les poèmes participants sur votre page.
Chaque concurrent pourra envoyer trois poèmes.
Vous pouvez également participer en hors concours.


Envoi de vos participations sur ma MP.
Comme vous devez- vous en douter : BESOIN DE JUGES !!! Me contacter sur ma MP.
Chef de jury Llumierelive


Les sciences sont un labyrinthe où l'on s'enfonce plus avant au moment même où l'on croyait en sortir. (Chateaubriand)

*******************

Médaille d'Or STEPH 76 ... 8.27
Médaille d'Argent LURON1er...7.95
Médaille de Bronze LURON1er...7.56

1 Je suis née dans un labyrinthe AGATHA 6.33

J’ai acheté du fil d’Ariane,
De soie d’araigne, au long de l’eau
Je vais, naviguant sous la liane,
Juste pour sentir sur ma peau,


Le frisson qui passa jadis,
Quand cet homme frôla mon épaule,
A doigt furtif, à fleur de lis,
Pour éveiller l’arbre qui piaule .


Or le saule pousse sous l’eau,
Étale sa racine en liane
Tandis que moi, folle Ariane,
Je tends les bras vers un tableau .


Tu alludes à la Mélusine
La vouivre qui danse sur l’eau
La nuit, seule et nue , en devine
Prends garde elle pique ta peau !


Titre sans originalité ! Rimes répétitives, 3 ème quatrain ABBA ...Dommage (on fera mieux la prochaine fois)
abab non respecté dans le 3ème quatrain
consignes respectées choix d’un octosyllabe, attention les vers 6 et 13 ont 9 pieds, mais la métrique n’étant pas exigée dans les consignes je n’en tiens pas compte, je suppose que areigne et non araignée est voulue, bien que je n’ai pas trouvé cette locution nulle part, je ne compte pour une demie faute, fleur de lys et non lis
l’idée de labyrinthe et présente à travers les références
lecture agréable, "La nuit, seule et nue , en devine
Prends garde elle pique ta peau ! Je ne comprends pas ce passage
" « en devine » ???



******************

2 Quand l’habit m’éreinte dans ce labyrinthe de mots LURON1er médaille d'argent 7.95

Ariane ! Ariane ! Ici, je ne peux refuser,
Car pour ce concours, ça tient à un fil,
Mais pour Pesquet, ce n’est pas sa fusée,
Qu’en apesanteur, il jongle sur les profils.


Ici, je tourne en rond, je trime,
Comme lui, je jongle de mots en rêve,
Essayer de trouver de belles rimes,
En confinement, en attendant la trêve.


J’aimerai enfin pouvoir sortir de la mêlée,
Des maux pour trouver les mots justes,
Des quatrains, les voir ainsi entremêlés,
Torturés comme les branches des arbustes.


J’aurai pus vous parler de quatre trains,
Où les aiguilleurs auraient pu m’aider,
Mais la demande est de six quatrains,
Voilà, mais par quel bout les aborder.


Dans mon labyrinthe, les couloirs se croisent,
Desservant les pièces ou prolifère l’amour,
Qui n’ont rien de petites histoires grivoises,
Mais compensé par des passions d’humour.


Cet écrit n’est sûrement point un petit fil,
Mais plutôt une corde avec de gros nœuds,
Et dans l’entrelacs des mots, je me faufile,
Souhaitant la bonne note de tous mes vœux.


Poème fou, dans les couloirs du labyrinthe! Je vois que l'on s'amuse. Bravo .
Poème bien divertissant !
consignes respectées, avec le titre original, métrique libre,
« les pièces ou prolifère » accent sur « où », « j’aimerai » avec un S conditionnel, j’aurai pu et non « pus » futur antérieur du verbe pouvoir
l’idée de labyrinthe est présente à travers les références, effectivement un labyrinthe de mots abordé de façon original
on si perd un peu dans ce labyrinthe de mots , mais lecture agréable,




*****************

3 Ouellest ? au labyrinthe du Uele ! AGATHA 7.04

On ne sait pas, elle est perdue,
Dans quelque fugue intempestive.
Hier encore, je l’ai vue,
Elle pleurait dans la coursive.


Elle est si pure elle est si belle,
Comme la neige des sommets.
Mais sans doute reviendra-t-elle,
Quand elle aura lu nos sonnets.


La petite était comme l’eau,
Elle fuyait telle une anguille,
Qui voulait vivre sans réseau,
En suivant le cours de l’étrille .


Sais-tu qu’elle aimait le Congo ?
Elle aura pris quelque charter .
Elle doit manger du sorgho

Sur l’Ouellest, fleuve d’enfer !

*Ouellest= Uele, affluent du Congo .

Poème qui me laisse dans un labyrinthe sans voie ! Je cherche l'entrée et la sortie?
Consignes respectées, bons jeux de mots
Titre originale avec ‘Labyrinthe’ NB de quatrains ok, forme ABAB respectée, mais rimes riches ou suffisantes demandées, hélas quelques rimes pauvres « perdue/vue » « sommets/sonnets »
manque une virgule « Elle est si pure, elle est si belle, » sinon bien que pas exigée métrique régulière octosyllabe
bien que vous dites elle est perdue, on ne ressent pas trop le côté labyrinthe, comparaison à l’eau, l’eau trouve toujours le passage, mais écrit intéressant
écrit agréable à lire, un voyage en terre d’Afrique, j’ai bien aimé ma lecture



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4 Le labyrinthe de Dédale STEPH76 médaille d'or 8.27

Emprisonné dans sa fabrication
Il en fut astreint par le roi de Crète,
De son fils, il y fit l’éducation
Dans cet endroit aux arcanes secrètes.


Tandis que finit son exaucement
Le minotaure logea dans cet antre,
Ce monstre tuait si férocement
Qu’il en aurait perturbé plus d’un chantre.


Thésée mit fin au règne du cornu
Et retrouva son chemin par Ariane
Dont le fil suivait l’axe biscornu
Des passages guidés par cette liane.


Le concepteur du lieu voulut un jour
S’en échapper avec son petit sire,
Pour terminer ce satané séjour
Il se fit des ailes jointes de cire.


Icare ne vole pas près de l’eau
Lui dit-il, tu risquerais la noyade,
Ne te prends pas non plus pour un oiseau,
Tu pourrais friser la dégringolade.


Mais un jour, le jeune grec s’envola
Si près du soleil jusqu’à l’apogée ;
La prothèse donc au contact brûla,
Le faisant chuter dans la mer Égée.


Quand la mythologie est contée, ceci est pure gourmandise. Ma foi, les gouts sont exprimés.
Consignes respectées, titre accrocheur où le labyrinthe nous est mythologiquement conté !
Titre avec « Labyrinthe », NB de quatrains ok, forme ABAB, rimes riches et suffisantes ok, mais attention toute fois « jour et séjour » rimes fausses car les dérivés d’un même mot ne sont en théorie pas valables idem « cornu et biscornu », à savoir les rimes « fabrication/éducation » « Crête/secrète » « exhaussement/férocement » « Ariane/liane » rime sur trois sons, dites rimes enrichies sont en classique à éviter, mais pour le CC n’étant pas précisé dans les consignes, je le note que pour info,
« il en fit l’éducation » et non « il y fit » « Minotaure » Majuscule nom propre,
belle référence à la mythologie Grecque, le sujet du labyrinthe est présent,
écrit agréable à lire, une histoire de la mythologie racontée en poème, un petit manque d’originalité pour ma part



***************
5 Le labyrinthe des fêtes foraines LURON1er médaille de bronze 7.56

Mes parents étaient forains,
Mon père avec ses carabines tenait le tir,
Ma mère tendait des confiseries de ses mains,
Pour des fins de mois, enfin les amortir.


Un copain nous offrait ses pommes d’amour,
Enrobées d’un sirop rouge si sucré,
Tellement envié par les gosses alentour,
Qui voulaient se croire à la récrée.


Ils sortaient du train fantôme,
Apeurés, guettant un autre manège,
Nous lorgnant, enviant nos arômes,
Bien loin des ennuis du collège.


Après avoir dégusté une bonne glace,
Les joues barbouillées de vanille,
Ils se ruèrent vers le palais des glaces,
Sur les vitres nettoyées se cognaient les filles.


Ce labyrinthe faisait la joie des petits et grands,
A l’extérieur, les badauds prenaient du plaisir,
Il se cogne, elle se cogne, se veulent conquérant,
Cherchant la sortie, ils ne voulaient pas moisir.


Avec nous, enfin vous pourrez faire la fête,
Pour nous la barbe à Papa à la bouche,
Des amusements en faire la conquête,
Vous n’pouvez pas rester dans vos babouches.


Poème de fête foraine où le monde se retrouve! Le labyrinthe des vitriers. Manque un peu de travail ce poème !
Consignes respectées, un sens très festif du labyrinthe
Titre avec « Labyrinthe » ok, NB de quatrains ok, forme ABAB, rimes riches et suffisantes ok, mais « forains/mains » rimes pauvres un seul son sans consonne d’appui ou voyelle finale, « babouches/bouche »pour info rimes dites enrichies à éviter en poésie classique
« tellement envié » est ce les pommes d’amours qui sont enviées ou le copain ? Si c’est les pommes c’est « ées »
« par les gosses alentours » alentours désigne des lieux multiples, donc les gosses des Alentours,
« il se cogne, elle se cogne » au début du quatrain vous parlez des petits et grands donc j’aurais tout mis aux pluriel « ils se cognent, elles se cognent » pas ,vraiment une faute d’orthographe mais de style idem pour « ils se ruèrent » il aurait été mieux de garder l’imparfait
Vous abordez le sujet par un petit détour vers l’enfance souvenir du palais des glaces ce labyrinthe de fête foraine, donc bien dans le sujet mais vous parlez plus de la fête en tant que tel que du palais des glaces pas assez évoqué à mon goût,
écrit agréable de part son sujet qui nous ramène en enfance mais quelques tournures auraient pu être mieux,



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6 Accouchement du labyrinthe. FYSCO 7.34

Non, nul besoin de tous les mots
Pour comprendre cette contrainte
Ni de la couleur des émaux,
Mais peut-être quelques empreintes.


En expiant tous ses défauts
Et même en priant les mains jointes,
On croit toujours que tout est faux,
Implorations aux défunts jointes.


On se sent pris dans un étau
Ou dans une terrible étreinte.
Afin de sortir vite et tôt
Se tromper est la grande crainte.


Du labyrinthe voile et mots :
Faut-il se déguiser enceinte
Au sommet d'un HLM haut ?
Trouver la sortie de l'an, sainte.


Du labyrinthe vois les maux :
Faut-il se déguiser en sainte ?
Mais seuls le permettent les mots :
Trouver la sortie de l'enceinte.


Consignes respectées mais dommage de faire rimer jointes avec jointes dans le second quatrain, et sainte et sainte…Evitez les répétitions
Titre avec « Labyrinthe » ok, NB de quatrains ok, forme ABAB, en octosyllabe bien que pas demandé, rimes riches et suffisantes ok avec alternance F/M bien que pas exigée,
à savoir « mot et haut » est une rime pauvre mais acceptée quand la rime est monosyllabique,
attention un mot ne peut rimer avec lui même ou avec ses dérivés donc « jointes et jointes » rime fausse, beaucoup de répétitions dans les rimes mais je pense voulues,
le labyrinthe de la vie en gros ? Où la naissance en est elle la sortie où l’entrée ? Fait de tous ses détours, de tous ses maux et mots, tout en jeux de mots qui rendent parfois un peu difficile la compréhension.
Un écrit original tout en jeux de mots, pas toujours facile à suivre

Un poème profond au goût du jour, malheureux ! C'est ce qui en fait sa beauté. Dommage des rimes répétées .Il y a tant de mots pour suivre le souffle de la pensée



HORS CONCOURS

Labyrinthe AGATHA

Ce que je vis est invivable
Nul ne peut l’entrevoir
Ni même lui qui oublie
Aussitôt même si je lui parle
Je dois donc entrer dans son monde
Dans son imaginaire
Dans les failles de son cerveau
Je suis perdue au labyrinthe
De l’hippocampe
Et je campe en mes mots
Une inexactitude à se rompre les os
Il dit je reste un peu
Je dis oui si tu veux
C’est incroyable entrer dans le cerveau
De l’autre surtout quand il est faux
Essayer de trouver une issue
Tomber dans une impasse
Prendre un autre virage
Bloquer au carrefour
Je quitte le volant
Je prends ma girouette
Pour voir d’où vient le vent
Et j’apprends à parler décalé
Sans suivance sans raison
Juste pour être avec
Certes je peux savoir
Par quoi le gardon pêche
Mais je dois me forcer
A interrompre moi
Ma pauvre logistique
Et je deviens spécieuse
Dans des arguments nuls
C’est alors que je trouve
Une lueur un seuil
Une ouverture
Comme une migration à travers les états
Passer les frontières éviter les écueils
Et cacher aux douaniers les bénéfices louches
Que je traîne en valise dans mes cellules souches
Et soudain c’est la fin
Arrêter brusquement
Dire tout simplement
A demain ou à plus
Je te laisse
Et de l’autre côté
On est ailleurs déjà
Aucun gagnant au jeu
Aucun perdant
Ales alea alea jacta est .


C’est une conversation avec mon mari
atteint d'Alzheimer
il est mort


*********************

Le labyrinthe dédale de Borges MIDNIGHT

Dans ce gigantesque dédale
De la grande bibliothèque
A l’abri d’un vil vandale
De la vieille pinacothèque


Je suivais chaque signe cabalistique
Qui me conduirait à la solution
Au livre très interdit apocalyptique
Avec ma curiosité et ma résolution


Ce livre énigme du nom de la rose
Où les moines un à un disparaissaient
Dans la quête d’une schizonévrose
Graal où des symboles apparaissaient


Lara Croft decouvrant HP Love Craft un jour
A la poursuite du livre de sable
Qui se retrouve chez Alien en séjour
Entre une fondue et une meringue à table


Au Musée HR Giger face a la part du diable
Le Dodecamerion derrière un rideau cramoisi
J’achetais simplement le livre de sable
Et je cachais dans ma bibliothèque cette hérésie !


Je n'ai pas été empoisonnée par mon index
Lors de cette petite escapade au village de Gruyère
Un peu Sado-Masochiste cette histoire de codex
Après cette incartade je retournais à mes amours pépères.


*********************
Rêve Labyrinthe pour poisson rouge ZUC

J’avance sur une mer calme et plate,
Sans soleil dans un brouillard angoissant,
Puis la brume doucement se dilate,
Dans un halo de lumière croissant,


Je marche dans un couloir blanc sans portes,
Un hôpital sans fou, une prison,
sans cellule où s’enfuient des cloportes
sous les plinthes, les trous de ma raison,


Là dans une pièce pend une boule,
fait de millier de fils entremêlés,
Il faut en choisir un qui sort du moule,
Je tire et j’entends les ukulélés,


Au bout du fil c’est une marionnette,
Le sol se dérobe, je vole au ciel,
Je me faufile en serpent à sonnette,
Entre les nuages englués de miel,


Tout en bas j’aperçois la mer Égée,
J’emprunte des escaliers qui jamais
Ne descendent vers cette île assiégée,
Pourtant sans but, je ramais, je ramais,


Devant moi les colonnes corinthiques,
Défilent à l’infini point focal,
De mon cerveau, rêves labyrinthiques,
D’un poisson rouge pris dans un bocal.



********************


Le labyrinthe de la vie Llumierelive


Jailli d’un couloir étroit, en un flot de sang,
Il s’est retrouvé au seuil du Labyrinthe,
Déconcerté dans cet univers angoissant
Il s’est évertué de ramper sous aurore éteinte,


S’habituant peu à peu à ces enchevêtrements,
De sautiller, gambadant d’allure joyeuse,
Contournant les obstacles inévitablement,
Reprenant sa marche dans insouciance heureuse,


Des voies sans issues, fermées, bloquées, murées,
Quel chemin emprunter, frapper à quelle porte ?
Hésiter, revenir sur ses pas, tourner virer,
Continuer d’arpenter évitant la cohorte…


Se sentir piégé, contraint devant ces blocs de forteresse,
Trébucher, tomber, se relever, chercher une issue,
Rebrousser chemin, paumé, perdu, l’âme en détresse,
Éviter les écueils, les entraves, ne lui tombent dessus…


Poursuivre inlassablement recherchant la lumière,
Aller à tâtons, se heurtant sur d’abruptes parois,
Meurtri, éraflé, blessé sur blocus de pierre
Il déambule en de sombres désarrois,


Claudiquant il perçoit une brillance,
Il voudrait s’arrêter ne voulant avancer,
Le néant va reprendre la cadence
Et vers la défunction l’entrainer.


***************

Les coursives du désespoir ! Aïe Labyrinthe LILASYS

Les labyrinthes de maux offrent une seule issue,
A ceux qui grappillent les fonds de tiroirs,
Quand la faim, malaise en soi est perçue,
Certains cloués au sol, d'autres vernis au perchoir


Nous visons le ciel, las de ces infortunes,
Les murs de sapins plantés en colin Maillard,
Majestueux dédales Ô vague pécune !
La nuit, seuls les pas sonores des béquillards,


Qu'il est loin mon Pays ! Mes entailles,
Ces coups de fusils tirés dans le monticule tas,
Une corrida banderilles, au détour de la faille,
Confusions diaboliques de pensées en duplicata,


Et le monde court, s'écrase dans les passages,
La guerre implose, qui signe notre fin?
Les conduits où l'enfant perdu est en tapissage,
Où vont-ils pieds nus, qui va mettre le grappin?


Il était une fois un état nommé France !
Là où le, bleu, blanc, rouge, étaient un drapeau,
Ce morceau de terre jouait avec la balance,
Ô Soldat ! La guerre affronte au prix de votre peau,


Génération prise entre films, jeux vidéos, solitude,
N'oubliez pas le labyrinthe de vos pires souvenirs,
Une seule voie compte pour retrouver de l'altitude,

Sortez de cette immonde gorge pour enfin vernir.
 
Dernière édition:

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#18
Dans ce petit labyrinthe de mots,
Certains se prennent pour des sumos,
Se gavent de termes bien nourris,
Pour enfin esquiver, j’en souris.

C’n’est pourtant point compliqué,
C’n’est pas une impasse alambiquée,
Alignez une lettre, un billet, un écrit,
Sans avoir à pousser de grands cris.

Même y mettre un peu d’humour,
Sans s’embourber dans l’amour,
Et d’un trait, nous en faire une boutade,

Une plaisanterie forte comme la moutarde.

Composez quelques mots est aisé,
Pour un petit poème ici à déposer,
Du dédale, vous jouerez des entrelacements,

Obtiendrez de nous tous des remerciements.