Lampe d'Aladin, je te caresse
Faire trois voeux, je m'empresse.
Génie des rêves, tu m'apparais
Trop de choix à faire, lesquels prendre je ne sais.
Le premier, pouvoir te voir sans te lasser
Le deuxième, te posséder toute entière
Le troisième, être à moi pour l'éternité
Pas de quatrième, je ne saurais qu'en faire.
Hors de ma vue, splendeurs des sensualités
Sous tes formes, pacte avec le diable tu as signé.
Sous le vent dans la nuit faisant mon désespoir crier
Dans le sable chaud couleur d'or s'enfoncent tes pieds.
Aux grands yeux de maquillages évident, par ton regard envoûtant
Tu me rythmes de tes hanches à délier les sentiments.
D'un profond vent de bonheur tournoyant lentement
Tu fais passer un courant chaud entre tes mouvements.
La danse des mains qui se croisent devant moi sans cesse
Enlacée par ton ballet des musiques qu'un autre temps ne presse.
En guise de bijoux de valeur, d'argent exquise féminité
Par ton coeur en flamme, je deviens un oasis asséché.
Tu troubles mes pensées par ton transparent voile
Tu guides ma marche incertaine mais irrésistible vers ton étoile.
Odeur d'encens d'une autre époque, légendes anciennes
Tu as fait alliance avec le rêve pour me séduire sans peine.
De tes milles regards, mon désir languissant
En cabale parcourant les dunes par le vent dans le désert brûlant.
Tel le lent pas du chameau au loin, l'esprit de l'animal sauvage
La voix de ton coeur faisant ma respiration trembloter à la vue de ton corsage.
Tu n'es pas un songe, tu n'es pas un mirage
Qui es-tu beauté pure preuve vivante de la personification d'une image.
Qui est cette inconnue, cet être d'une candeur toute finement découpée
Dommage, ce n'est qu’une image engendrée par mon rêve à demi éveillé.
Faire trois voeux, je m'empresse.
Génie des rêves, tu m'apparais
Trop de choix à faire, lesquels prendre je ne sais.
Le premier, pouvoir te voir sans te lasser
Le deuxième, te posséder toute entière
Le troisième, être à moi pour l'éternité
Pas de quatrième, je ne saurais qu'en faire.
Hors de ma vue, splendeurs des sensualités
Sous tes formes, pacte avec le diable tu as signé.
Sous le vent dans la nuit faisant mon désespoir crier
Dans le sable chaud couleur d'or s'enfoncent tes pieds.
Aux grands yeux de maquillages évident, par ton regard envoûtant
Tu me rythmes de tes hanches à délier les sentiments.
D'un profond vent de bonheur tournoyant lentement
Tu fais passer un courant chaud entre tes mouvements.
La danse des mains qui se croisent devant moi sans cesse
Enlacée par ton ballet des musiques qu'un autre temps ne presse.
En guise de bijoux de valeur, d'argent exquise féminité
Par ton coeur en flamme, je deviens un oasis asséché.
Tu troubles mes pensées par ton transparent voile
Tu guides ma marche incertaine mais irrésistible vers ton étoile.
Odeur d'encens d'une autre époque, légendes anciennes
Tu as fait alliance avec le rêve pour me séduire sans peine.
De tes milles regards, mon désir languissant
En cabale parcourant les dunes par le vent dans le désert brûlant.
Tel le lent pas du chameau au loin, l'esprit de l'animal sauvage
La voix de ton coeur faisant ma respiration trembloter à la vue de ton corsage.
Tu n'es pas un songe, tu n'es pas un mirage
Qui es-tu beauté pure preuve vivante de la personification d'une image.
Qui est cette inconnue, cet être d'une candeur toute finement découpée
Dommage, ce n'est qu’une image engendrée par mon rêve à demi éveillé.
