La vie aux mots saugrenus
La vie est cette essence or la poésie ivre
Tel un cheval fougueux intrinsèque l’espoir
Sous un beau parasol, je commence ce livre
Puis j’entends la musique étrangère le soir,
Je suis en catharsis, je touche à ce bonheur.
Et l’auberge accueillante expose à la lumière
Un esprit si fécond qu’il brûle mon doux cœur,
Pour divertir cet autre, indolence prière,
Qu’elle a vilipendé toute en calamité.
Il nous faut donc marcher vers l’océan d’écume.
On garde pour toujours ce grain de liberté
Pour un gentil rêveur qui dépose sa plume.
Comment mon air sauvage absout ces inconnus ?
Car je lis l’existence en gros mots saugrenus.
Maria-Dolores
Copyright France
X7ZK1N5