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La Vérité sur La Réalité

Polymnie2

Maître Poète
#1

La Vérité sur La Réalité

Prose écrite en juin 2015 toujours au goût du jour, sinon pire !

La Vérité

En son de cloche

Je ne suis plus
Dans ce nid d’amertume
Je n’ai pas dessiné tout cela,
J’ai désiré un monde permanent
Sans jamais démolir le précédent ;
Une place pour tous, une place pour
Chacun sans différence, sans portefeuille !
Les arbres sont loin, à l’abri de vos besoins.
Ils nourrissaient autant la terre que la terre vous nourrissait

Quand un ouvrage est détricoté pour être "remaillé",
Où se trouve l’endroit de l’envers,
Où se trouve la belle régularité du point,
Le parfait, celui qui procurait le doux moelleux,
en son authenticité ?


Réalité

Que de réalités pullulent !
Que de réalités s’installent et se multiplient !
Que de réalités deviennent normales
A l’œil au quotidien nu !
Une de moins, une de plus !
Qu’importe,
Elles seront là en toutes les saisons
Après l’orage viendra le soleil
Que le vent emporte !
Qu’importe !
C’est la vie
Que l’homme a choisie!



Le sol pur n’existe plus, la campagne ? n’en parlons pas !
Entre profit et misère,
Où trouver le respect! Sinon le sans gêne!


Où trouver un trottoir qui caresse tes semelles,
Où tu peux aiguiser ton regard,
Sans craindre de devoir baisser les yeux sur la réalité?
Où retrouver ce tout naturel sans briller,
Sans or, mais offrant un sourire à tout un chacun
Sans qu’une larme retenue rougisse ta figure ?


Je ne peux en dire plus !
Nous avons tous le même tableau,
Nous sommes tous sur le même bateau
Car nous avons tous cru au pouvoir des rames



Pourquoi en sons de cloche?
Tout simplement parce que lorsque j'ai centré le poème pour le poser,
j'ai constaté sa forme qui correspond à la forme de cloche avec son
ouverture prête à servir de paume d'arrosoir qui déverse son trop plein!


De plus, j’ai été confortée du fait qu’autrefois,
Les « infirmités de l'âge » étaient les coups de cloche à la mort,
Et ce qui est au goût de nos jours, les personnes qui ne pouvaient
plus payer leur loyer, déménageaient sans prévenir, à la cloche de bois.
Je me suis contenté de me concentrer sur le sujet du bac des années 90 qui était :
Est-ce la vie qui a changé l'homme?
Ou Est-ce l'homme qui a changé la vie?


Polymnie2, ce 15 août 2019
 
Dernière édition:

nacy

Maître Poète
#2
Je pense que l'homme est le grand responsable de tout ce qui se passe.
Merci pour le partage de ces textes bien réfléchis.
Bises chère Poly et agréable journée .
Nacy
 

Vega46

Maître Poète
#3
En ce 15 août journée de la vierge, gageons qu’elle saura accomplir un nouveau miracle où l’homme grâce à elle, prendra conscience de son impact néfaste sur la planète, qui entre-nous finira par le voir disparaître de toute façon, alors que mère nature bien plus intelligente que lui reprendra vite son rythme de grande sagesse et ne gardera aucunes traces de son ancien prédateur.
Tiens c’est bizarre Poly quand on parle de cloche je suis toujours au rendez-vous.
Bonne journée
Je t’embrasse
Momo
MLCCACTP
 

Polymnie2

Maître Poète
#4
Je pense que l'homme est le grand responsable de tout ce qui se passe.
Merci pour le partage de ces textes bien réfléchis.
Bises chère Poly et agréable journée .
Nacy
Merci ma chère Nacy, oui il faut le reconnaître
qu'un certain progrès a tourné la tête de l'être
et que la roue infernale est difficile à redresser!

Bises à toi, Poly
 

Polymnie2

Maître Poète
#5
En ce 15 août journée de la vierge, gageons qu’elle saura accomplir un nouveau miracle où l’homme grâce à elle, prendra conscience de son impact néfaste sur la planète, qui entre-nous finira par le voir disparaître de toute façon, alors que mère nature bien plus intelligente que lui reprendra vite son rythme de grande sagesse et ne gardera aucunes traces de son ancien prédateur.
Tiens c’est bizarre Poly quand on parle de cloche je suis toujours au rendez-vous.
Bonne journée
Je t’embrasse
Momo
MLCCACTP
La Nature prend des ailes
lorsque je vois la verdure derrière la maison
c'est un rideau de verts qui s'étend
envahit l'horizon à devenir la forêt Vierge!
50 à 6O mètres de haut de chênes, accacias
ainsi que peupliers, alors qu'ils naissaient à peine
en 1970! Heureusement que j'ai de la pelouse sur
tout le terrain! c'est la friandise de la tondeuse!
Lorsque l'être disparaîtra qu'il réapparaîtra
gardera t'il un souvenir pour redevenir
flambeau! l'inassouvie lumière
tout en rayons lumineux!

La cloche comme tu dis prend plusieurs
formes qui protègent car elle en a vu de toutes
les couleurs!

Je t'embrasse MLCCACTP, poly
 

Polymnie2

Maître Poète
#6
Toute l'ingratitude égocentrée, l'humanité est à l'image de ceux qui la composent, et creuse ses propres cimetières.
Je crois que la Vie révèle l'Homme à lui-même, et que tout ce qu'on sème de mal est un manque à s'aimer et à s'aimer soi-même également.
Le vent balaye l'inconsistant, Rien ne perdure sans racine, et l'Homme n'a de cesse d'amenuiser les siennes, il le sait parfois mais préfère faire l'enfant, de grands enfants, voilà de quoi le Monde regorge. En toute sincérité j'avoue en faire partie, mais en avoir conscience ouvre tant d'autres choix.
Poly, tu vis comme tu écris, et réciproquement, tu as trempé ta plume dans la Nature et, la Nature humaine puisqu'elle en dérive,
à la dérive en effet, en effets indésirables.
L'Humanité a eu sa chance, infime dans l'espace-Temps, l'intelligence et la mémoire de la matière, en perpétuelle recherche d'harmonie, ne renouvellent jamais ce qui a échoué. Il y aurait tant à écrire pour essayer de cerner le sujet, entre déterminisme et réelle liberté de choix.
Merci Poly d’œuvrer en bien, et avec ce niveau de Philosophie, soeur de la métaphysique.
Comme tu dis, cet universel courant, l'amour
est à l'origine de l'équilibre de l'homme qui
savait que l'on récolte ce que l'on sème
qu'il était l'unique serviteur de la terre
et donc le principal outil!
Mais il a été trop gourmand, la facilité
tentante nous a'éloignés de la terre!
L'étau se referme mais ne
nous quittera l'espoir
d'un meilleur!

Merci à toi avec amitiés, Poly​
 
#8
écrire c'est déjà une joie un bonheur qui nous laisse léger après le poids du fardeau, le temps peut passer,le monde veut s'écrouler tout ça ,ne m'intéresse plus l'humanité a changé moi aussi, je sauve la passerelle qui m'emmènera vers les étoiles!rêvons!
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Polymnie2

Maître Poète
#9
écrire c'est déjà une joie un bonheur qui nous laisse léger après le poids du fardeau, le temps peut passer,le monde veut s'écrouler tout ça ,ne m'intéresse plus l'humanité a changé moi aussi, je sauve la passerelle qui m'emmènera vers les étoiles!rêvons!
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Et combien tu as raison,
l'écriture est un dérivatif exceptionnel
avec son enrichissement au partage!

Merci à toi, bises Poly