Putain ! J ai un besoin d écrire !
Encore une de mes phases très difficile à dompter ... je ne peux me résoudre à négliger mes obligations pour un besoin si primitif que t étancher une soif prosaïque. Je ne sais même pas d ou me viennent ces mots dont certains je ne connais guère le sens. Comme si j étais possédée par une chose, un autre me maintient en vie pour finir son dessain.
C est une autre dimension qui s ouvre encore ... si seulement le silence pouvait regagner son siège et que le calme assiége la déferlante de mots qui se bousculent dans mon esprit, épuisé de supporter tant d émotions. Quelle affligeante clairvoyance que fermer ses yeux. C est comme être aveuglé par un soleil de juin à l heure du déjeuné. Quelques milliers de mots viennent en conquérant. En Vainqueur ils résignent mon âme pourtant si silencieuse à hurler. Dans un grand paradoxe ils viennent des proofondeurs de mon être pour exposer valeureux et fièrs tel des soldats qui ont parcourus de trop nombreuses guerres. Et c est victorieux contre la perfidie des noirceurs qu ils viennent festoyer et se reposer sur le papier.
Peut être est il temps de leur rendre hommage en gravant sur leur linceul les noms de l éternité, secret des dieux, offert aux vaillants chevaliers et au preux bienheureux.
Encore une de mes phases très difficile à dompter ... je ne peux me résoudre à négliger mes obligations pour un besoin si primitif que t étancher une soif prosaïque. Je ne sais même pas d ou me viennent ces mots dont certains je ne connais guère le sens. Comme si j étais possédée par une chose, un autre me maintient en vie pour finir son dessain.
C est une autre dimension qui s ouvre encore ... si seulement le silence pouvait regagner son siège et que le calme assiége la déferlante de mots qui se bousculent dans mon esprit, épuisé de supporter tant d émotions. Quelle affligeante clairvoyance que fermer ses yeux. C est comme être aveuglé par un soleil de juin à l heure du déjeuné. Quelques milliers de mots viennent en conquérant. En Vainqueur ils résignent mon âme pourtant si silencieuse à hurler. Dans un grand paradoxe ils viennent des proofondeurs de mon être pour exposer valeureux et fièrs tel des soldats qui ont parcourus de trop nombreuses guerres. Et c est victorieux contre la perfidie des noirceurs qu ils viennent festoyer et se reposer sur le papier.
Peut être est il temps de leur rendre hommage en gravant sur leur linceul les noms de l éternité, secret des dieux, offert aux vaillants chevaliers et au preux bienheureux.