Assis l'un à côté de l'autre, on s'est vu
Et nos regards se fixant se sont plu.
Notre amour s'est développé par nos supplices,
Par nos visages bien trop pensif
Aux âmes qui nous manquent.
Tes longs cheveux bruns dans les miens
Me rassuraient.
Tes lèvres de rose sur les miennes
Te rassuraient.
Notre douleur, notre peine s'est modérée.
La source de nos larmes s'est épuisée.
Assis l'un à côté de l'autre, on s'est parlé
Et nos corps se touchant se sont enflammés.
Notre amour brûlait par nos actes déchaînés,
Par nos mains rapprochées, des humains,
Et nos corps liés, ne formant plus qu'un.
Tes longs cheveux bruns dans les miens
Nous rassuraient.
Tes lèvres de rose sur les miennes
Nous rassuraient.
Notre douleur, notre peine s'est modérée.
La source de nos larmes s'est épuisée.
Et nos regards se fixant se sont plu.
Notre amour s'est développé par nos supplices,
Par nos visages bien trop pensif
Aux âmes qui nous manquent.
Tes longs cheveux bruns dans les miens
Me rassuraient.
Tes lèvres de rose sur les miennes
Te rassuraient.
Notre douleur, notre peine s'est modérée.
La source de nos larmes s'est épuisée.
Assis l'un à côté de l'autre, on s'est parlé
Et nos corps se touchant se sont enflammés.
Notre amour brûlait par nos actes déchaînés,
Par nos mains rapprochées, des humains,
Et nos corps liés, ne formant plus qu'un.
Tes longs cheveux bruns dans les miens
Nous rassuraient.
Tes lèvres de rose sur les miennes
Nous rassuraient.
Notre douleur, notre peine s'est modérée.
La source de nos larmes s'est épuisée.