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La scolarité autrefois dans nos campagnes.

#1
Tu sais que tu viens de Capdenac,

lorsque gravés dans tes souvenirs se rappelle à toi le va-et-vient incessant des instituteurs dans la cour de l’école.
L’aller-retour des enseignants se faisait donc une fois en marche avant, puis en marche arrière.
Aucun risque de collision n’était possible !.
Un exercice physique bénéfique pendant la récréation d’une durée d’environ un quart d’heure.
La surveillance des élèves était ainsi parfaite !.
Enseignement qui, il faut être honnête était parfois sous-développé par des maîtres où maîtresses d’un faible niveau intellectuel, et aux méthodes
pédagogiques ancestrales.
Cela n’était pas rare à l’époque mon frère Denis, qui a eu une carrière de professeur portait le bonnet d’âne lors de la fête des écoles au Mas du Noyer.

Mais revenons à Capdenac !.

L’institutrice madame Germes épouse du directeur de l’école et responsable de la classe du cours préparatoire ne brillait pas par son intelligence ni par sa pédagogie, elle avait fini quand même par avoir le niveau de sa classe après plusieurs années de pratique !.
Le tortionnaire et instituteur du CE1 monsieur Serres n’hésitait pas à casser les règles en bois sur la tête des pauvres enfants dont il était responsable, ce qui provoquait que votre envie d’aller apprendre à l’école se faisait à reculons !.
Un malade mental qui bien entendu aurait dû se trouver dans un hôpital psychiatrique plutôt que face à des enfants de sept ans à peine !.
Lorsque la règle en fer graduée, innovation de la fin des années cinquante est enfin apparue, il prenait un malin plaisir à la tordre sur nos pauvres têtes !.
Heureusement certains instituteurs étaient excellents, et relevaient le niveau général de la basse cour !.
Monsieur François, monsieur Sicard, monsieur Ferrarini, monsieurChateigner, monsieur Redoules et enfin le brillant et exemplaire monsieur Couffin mon sauveur, qui je n’en doute pas un seul instant rappelle de bons souvenirs à certaines personnes.
Il a réussi l’exploit alors que j’étais dans ma douzième année, à me sortir d’un illettrisme profond, et j’ai obtenu grâce à lui le certificat d’études primaires avec 90 points sur 100 en 1967.
Ce qui fait que depuis je suis moins con que j’aurais pu en avoir l’air, d’ailleurs je vous invite à venir lire mes pensées Momoriciennes et mes poèmes sur ma page en libre lecture Facebook
Bonne journée à tous.
 

kinkin

Maître Poète
#2
Oui il y avait des instituteurs qui ne donnaient envie d'aller en classe et avaient des pratiques de tortionnaires je me souviens des coups d'épaules en Cm2 d'un instituteurs qui venait de Muret que de mauvais souvenirs bravo Momo amicalement Kinkin
 
#3
Jr vous présente la bête! souriante pour la photo!,
Germes la psychorigide!.
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Dernière édition:

GABY73

Maître Poète
#4
Tu sais que tu viens de Capdenac,

lorsque gravés dans tes souvenirs se rappelle à toi le va-et-vient incessant des instituteurs dans la cour de l’école.
L’aller-retour des enseignants se faisait donc une fois en marche avant, puis en marche arrière.
Aucun risque de collision n’était possible !.
Un exercice physique bénéfique pendant la récréation d’une durée d’environ un quart d’heure.
La surveillance des élèves était ainsi parfaite !.
Enseignement qui, il faut être honnête était parfois sous-développé par des maîtres où maîtresses d’un faible niveau intellectuel, et aux méthodes
pédagogiques ancestrales.
Cela n’était pas rare à l’époque mon frère Denis, qui a eu une carrière de professeur portait le bonnet d’âne lors de la fête des écoles au Mas du Noyer.

Mais revenons à Capdenac !.

L’institutrice madame Germes épouse du directeur de l’école et responsable de la classe du cours préparatoire ne brillait pas par son intelligence ni par sa pédagogie, elle avait fini quand même par avoir le niveau de sa classe après plusieurs années de pratique !.
Le tortionnaire et instituteur du CE1 monsieur Serres n’hésitait pas à casser les règles en bois sur la tête des pauvres enfants dont il était responsable, ce qui provoquait que votre envie d’aller apprendre à l’école se faisait à reculons !.
Un malade mental qui bien entendu aurait dû se trouver dans un hôpital psychiatrique plutôt que face à des enfants de sept ans à peine !.
Lorsque la règle en fer graduée, innovation de la fin des années cinquante est enfin apparue, il prenait un malin plaisir à la tordre sur nos pauvres têtes !.
Heureusement certains instituteurs étaient excellents, et relevaient le niveau général de la basse cour !.
Monsieur François, monsieur Sicard, monsieur Ferrarini, monsieurChateigner, monsieur Redoules et enfin le brillant et exemplaire monsieur Couffin mon sauveur, qui je n’en doute pas un seul instant rappelle de bons souvenirs à certaines personnes.
Il a réussi l’exploit alors que j’étais dans ma douzième année, à me sortir d’un illettrisme profond, et j’ai obtenu grâce à lui le certificat d’études primaires avec 90 points sur 100 en 1967.
Ce qui fait que depuis je suis moins con que j’aurais pu en avoir l’air, d’ailleurs je vous invite à venir lire mes pensées Momoriciennes et mes poèmes sur ma page en libre lecture Facebook
Bonne journée à tous.
Je n'ai jamais eu de trop mauvais instits. Il y en a deux que je n'aimais pas mais je reconnais que je les provoquait sans cesse
Bravo momo
J'adore tes lectures
 

lebroc

Maître Poète
#5
Tu sais que tu viens de Capdenac,

lorsque gravés dans tes souvenirs se rappelle à toi le va-et-vient incessant des instituteurs dans la cour de l’école.
L’aller-retour des enseignants se faisait donc une fois en marche avant, puis en marche arrière.
Aucun risque de collision n’était possible !.
Un exercice physique bénéfique pendant la récréation d’une durée d’environ un quart d’heure.
La surveillance des élèves était ainsi parfaite !.
Enseignement qui, il faut être honnête était parfois sous-développé par des maîtres où maîtresses d’un faible niveau intellectuel, et aux méthodes
pédagogiques ancestrales.
Cela n’était pas rare à l’époque mon frère Denis, qui a eu une carrière de professeur portait le bonnet d’âne lors de la fête des écoles au Mas du Noyer.

Mais revenons à Capdenac !.

L’institutrice madame Germes épouse du directeur de l’école et responsable de la classe du cours préparatoire ne brillait pas par son intelligence ni par sa pédagogie, elle avait fini quand même par avoir le niveau de sa classe après plusieurs années de pratique !.
Le tortionnaire et instituteur du CE1 monsieur Serres n’hésitait pas à casser les règles en bois sur la tête des pauvres enfants dont il était responsable, ce qui provoquait que votre envie d’aller apprendre à l’école se faisait à reculons !.
Un malade mental qui bien entendu aurait dû se trouver dans un hôpital psychiatrique plutôt que face à des enfants de sept ans à peine !.
Lorsque la règle en fer graduée, innovation de la fin des années cinquante est enfin apparue, il prenait un malin plaisir à la tordre sur nos pauvres têtes !.
Heureusement certains instituteurs étaient excellents, et relevaient le niveau général de la basse cour !.
Monsieur François, monsieur Sicard, monsieur Ferrarini, monsieurChateigner, monsieur Redoules et enfin le brillant et exemplaire monsieur Couffin mon sauveur, qui je n’en doute pas un seul instant rappelle de bons souvenirs à certaines personnes.
Il a réussi l’exploit alors que j’étais dans ma douzième année, à me sortir d’un illettrisme profond, et j’ai obtenu grâce à lui le certificat d’études primaires avec 90 points sur 100 en 1967.
Ce qui fait que depuis je suis moins con que j’aurais pu en avoir l’air, d’ailleurs je vous invite à venir lire mes pensées Momoriciennes et mes poèmes sur ma page en libre lecture Facebook
Bonne journée à tous.
Un écrit qui ne m'a pas laissé indifférent et m'a replongé dans ma jeunesse
Amitiés