Ma rose me parla d’une voix virile,
Je ne pouvais comprendre ce changement.
Elle était toute froide et stérile.
J’ai essayé de lui parler, autant.
Elle m’a répondu encore d’une voix ténor.
Je ne pouvais comprendre ce changement.
Que se passait-il ? Des sons sonores…
Alors, j’ai appelé un devin connaissant
Tous les secrets du terroir.
Je ne pouvais comprendre ce changement.
Je lui ai raconté mon histoire.
Il a parlé d’impulsion.
Elle lui répondit d’une voix féminine.
Ruse ou subterfuge.
Il pensait que je me payais sa mine.
J’ai demandé un refuge.
Ma tête allait exploser.
Ce devin voulait partir,
Il n’avait rien à présager.
Je m’adresse à elle, une vraie satire,
Le devin s’était étonné.
Il avait compris ma douleur.
Il décida de m’assister.
« Il veut abuser de toi ce sans cœur.
Alors, je vais la faire bruler. »
« Non, c’est ma rose. »
Il me répond : « La chose qui l’a habité.
Et alors cette fleur morose,
Je la libérerais.
De ce tour qui l’habite. »
« De quoi voulez-vous la libérer ? »
« Ne t’en fais pas je suis spirite.
De cet esprit, de cette pensée.
Il s'inspire, il est trompeur
Il va partir en fumée.
Je l’enlèverais sans douleur.
Il a été créé d’une flamme d'un feu sans fumée. »
« Devin, je vous fais confiance.»
Oh ! Ma fleur, ma rose, mon orchidée.»
« Non, cette mauvaise intelligence… »
Le devin a psalmodié des versets,
Cette étrange chose se révolta,
Elle sortait, sortait en fumée.
« Cette merveilleuse Lecture me débarrassa
Du redoutable qui s’approcha
De ma magnifique rose.
D’elle plus jamais, il n’avancera…
Elle ne sera plus jamais morose… »
“Très certainement, Je remplirai l'Enfer de djinns et d'hommes, tous ensemble”.
Le Coran
Je ne pouvais comprendre ce changement.
Elle était toute froide et stérile.
J’ai essayé de lui parler, autant.
Elle m’a répondu encore d’une voix ténor.
Je ne pouvais comprendre ce changement.
Que se passait-il ? Des sons sonores…
Alors, j’ai appelé un devin connaissant
Tous les secrets du terroir.
Je ne pouvais comprendre ce changement.
Je lui ai raconté mon histoire.
Il a parlé d’impulsion.
Elle lui répondit d’une voix féminine.
Ruse ou subterfuge.
Il pensait que je me payais sa mine.
J’ai demandé un refuge.
Ma tête allait exploser.
Ce devin voulait partir,
Il n’avait rien à présager.
Je m’adresse à elle, une vraie satire,
Le devin s’était étonné.
Il avait compris ma douleur.
Il décida de m’assister.
« Il veut abuser de toi ce sans cœur.
Alors, je vais la faire bruler. »
« Non, c’est ma rose. »
Il me répond : « La chose qui l’a habité.
Et alors cette fleur morose,
Je la libérerais.
De ce tour qui l’habite. »
« De quoi voulez-vous la libérer ? »
« Ne t’en fais pas je suis spirite.
De cet esprit, de cette pensée.
Il s'inspire, il est trompeur
Il va partir en fumée.
Je l’enlèverais sans douleur.
Il a été créé d’une flamme d'un feu sans fumée. »
« Devin, je vous fais confiance.»
Oh ! Ma fleur, ma rose, mon orchidée.»
« Non, cette mauvaise intelligence… »
Le devin a psalmodié des versets,
Cette étrange chose se révolta,
Elle sortait, sortait en fumée.
« Cette merveilleuse Lecture me débarrassa
Du redoutable qui s’approcha
De ma magnifique rose.
D’elle plus jamais, il n’avancera…
Elle ne sera plus jamais morose… »
“Très certainement, Je remplirai l'Enfer de djinns et d'hommes, tous ensemble”.
Le Coran