Elle est vraiment terrible la ronde de ces dames
Quand d'heures et de minutes, elles s'habillent,
Elles me glacent, à chaque fois, le fond de l'âme,
Qu'elles se parent de joyaux ou de guenilles.
Elles aiment faire les mêmes pas, la même danse
Malgré la petite sœur qui ne suit pas la cadence,
C'est toujours ces mêmes bruyantes gammes,
Que l'on entend, quand leur ballet, elles entament.
Elles tournent dans cette ronde incessante,
Totalement insouciante du temps qui s'enfuit,
Elles continuent leur valse oppressante
Comme une farandole d'enfant devenus grands depuis.
Jamais, les dames ne s'arrêtent de tourner,
Comme un vieux carrousel tout rouillé
Elles s'entêtent toujours à vouloir continuer
Sans jamais qu'on ne les voit exténuées.
C'est une effrayante symphonie de virtuose,
Cette habituelle mélodie qu'elles composent,
Quelque fois douce mais souvent terrifiante,
Quand elle parvient à mes oreilles vieillissantes.
Elles sont vraiment terribles ces belles dames
Quand, dans leur cercueil de verre, elles tournent rond,
Il est vraiment terrible ce chant qu'elles entament,
Quand il provient de la vielle horloge du salon.
Quand d'heures et de minutes, elles s'habillent,
Elles me glacent, à chaque fois, le fond de l'âme,
Qu'elles se parent de joyaux ou de guenilles.
Elles aiment faire les mêmes pas, la même danse
Malgré la petite sœur qui ne suit pas la cadence,
C'est toujours ces mêmes bruyantes gammes,
Que l'on entend, quand leur ballet, elles entament.
Elles tournent dans cette ronde incessante,
Totalement insouciante du temps qui s'enfuit,
Elles continuent leur valse oppressante
Comme une farandole d'enfant devenus grands depuis.
Jamais, les dames ne s'arrêtent de tourner,
Comme un vieux carrousel tout rouillé
Elles s'entêtent toujours à vouloir continuer
Sans jamais qu'on ne les voit exténuées.
C'est une effrayante symphonie de virtuose,
Cette habituelle mélodie qu'elles composent,
Quelque fois douce mais souvent terrifiante,
Quand elle parvient à mes oreilles vieillissantes.
Elles sont vraiment terribles ces belles dames
Quand, dans leur cercueil de verre, elles tournent rond,
Il est vraiment terrible ce chant qu'elles entament,
Quand il provient de la vielle horloge du salon.