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Résultat du concours " La rencontre " du 1er au 10 Septembre 2017

Lyseron7

Maître Poète
#1



Concours :du 1er au 10 Septembre 2017

( Envoi de vos écrits sur ma MP...Merci )

Résultats: 12 Septembre 2017

*
Thème : « La rencontre »

Une rencontre a changé votre vie ( un être humain, un animal etc... ) Racontez-nous...

Contraintes :

Écrire en vers libres mais obligatoires
Rimes libres ( pauvres, suffisantes ou riches )
mais respectez l'alternance des rimes masculines / féminines ( ou vice et versa )


Attention !à l'orthographe, aux accords de temps, à la ponctuation...
Écrits non signés


*A partir de ce concours, Llumierelive et Lys n'acceptent plus les mentions
sous les poèmes, car elles pensent que c'est un signe permettant de reconnaître les auteur(e)s ...Merci de votre compréhension.


*
Vos poèmes seront notés et commentés avec la plus grande impartialité et dans le respect des contraintes ci-dessus

Chef du jury : Lys

( Si vous désirez être juge, n'hésitez pas à me contacter sur MP...Merci )

*
A vos plumes souvenir !

*

Résultats du concours

*
Médaille Or .................. Janu …............9,20/10

Médaille Argent ............ Raymond3 …8,51/10

Médaille Bronze .......... Polymnie2 ….8,49/10

*

Bravo !
Merci à tous pour ces écrits si divers
Merci à mes juges...


Lys
*

Rendez-vous sur la page de Llumièrelive pour un nouveau challenge !

*

Participant(e)s
*****************

Janu ... 9,20/10

Médaille Or

Vous avez choisi "la forme Pantoum" pour une rencontre amoureuse
c'est beau, frais et délicat d'intention.
Vous partez sur le symbole des fleurs, de la plus discrète, à la passion,
en arrivant au blanc, une très elle idée dans la façon de se déclarer
j'avoue que je ne me suis pas arrêtée sur l'alternance de vos rimes
emportée par le Romantisme de votre écrit. J'ai aimé.
L'alternance des rimes n'est pas respectée dans les quatrains:
1er et 3ème M/F 2ème et 4ème F/M
Ce qui ne nuit pas à l'harmonie de la lecture..
.Il serait de bon ton de mettre ce poème en musique!
Des paroles de chanson et fort belles, bravo !
Un magnifique pantoum, si délicat...J'ai adoré !
Alternance des rimes M/F respectées dans les quatrains


1 ... Avec des fleurs...

Quand j’ai connu Aline, elle était une fleur
J’ai cueilli des violettes, une entrée en matière
Elle était heureuse, j’ai oublié ma peur
J’ai déclaré ma flamme à ses yeux de lumière


J’ai cueilli des violettes, une entrée en matière
Elle était un beau Lys, la plus belle des fleurs
J’ai déclaré ma flamme à ses yeux de lumière
Au jardin de beauté je me voulais charmeur


Elle était un beau Lys, la plus belle des fleurs
A des roses rouges j’ai joint une prière
Au jardin de beauté je me voulais charmeur
Des glaïeuls m’ont aidé à franchir les barrières


A des roses rouges j’ai joint une prière
Symbole l’œillet blanc, pour notre grand bonheur
Des glaïeuls m’ont aidé à franchir les barrières
Quand j’ai connu Aline, elle était une fleur …


********

Luron 1er ...8/10

la rencontre avec le mot, ou plus exactement avec l'écriture
de sa naissance à nos jours...Un beau texte bien structuré et bien écrit.
L'alternance aurait du être les mêmes dans chaque strophe
Estompe ne rime pas avec estampe
Le fond: bel explicite de l'art graphique
Un écrit passionnant contant l'épopée d'un rencontre extraordinaire
Belle imagination, une idée originale...
Une rencontre qui cause encore bien des bonheurs mais aussi des malheurs...
J'ai hautement apprécié ma lecture...Merci.
Alternance des rimes F/M sauf aux 3ème et avant dernier paragraphe (tout ou en partie)



2 ... La rencontre du papier et du crayon.

Commencé bien avant les siècles de notre ère,
Au fond de leurs cavernes, afin de les classer,
Ils ont sans outil sur les murs des cratères,
Mémorisé les animaux chassés.


De balade en balade et de par les chemins,
Pour transcrire écrits royaux, religieux où coutumes,
Un inventeur fameux créa le parchemin,
La tablette dure devenue feuille avec l’encre et la plume,
Pour relater les philosophies et les exploits d’humains,
Découverts pour certains dans leurs titres posthumes.


La rencontre se fit enfin entre le papier et le crayon,
Les enfants dessinèrent des hommes filiformes aux drôles de tête.
Les bambins commencèrent à faire des gribouillis, dessins en embryon,
Puis s’affinèrent en de pures épures et d’arabesques en fête.


Firent des ébauches et des caricatures par leurs envies,
Se diversifièrent pour des trames en estompe,
D’un contour représentaient les hommes et les femmes de la vie,
Des croquis représentant des esquisses d’estampe.


Mirent sur des dessins des frises ou des graffitis,
Le crayon servant d’illustration aux formes de graphique,
Les galbes douteux se transformèrent en art d’apprentis,
Recoupant un méandre, dessinant une ligne où un motif dynamique.


Faisant l’œuvre d’une image de la transcription de la nature.
D’un portrait en silhouette ou d’un relevé, la projection du trait,
Un ornement au paysage, un projet d’urbanisme où d’architecture.
Par le tracé d’un schéma ou sa traduction par des mots discrets.


En ouvrages, en documents, en tableaux ou en plus beaux poèmes.
Mozart, Rimbaud, Verlaine leur doivent ratures et écritures,
A tous ceux qui nous disent : Je t’aime.
Picasso, Dali ou Léonard en ont peint leurs blessures,
Tintin, Titeuf, Gaston, sortis des rêves, se sont mis à exister,
Illustrant pour certains en bordure leurs iniques bavures.
Du trait du crayon et sa rencontre avec le papier, il me fallait relater.


J’aurai pu vous en faire tout un roman,
Ce couple commence à s’éteindre sans aide,
Dans ce concours, c'n'était pas le moment,
Car il est remplacé par une destinée trop led.


********

Guy Guy ...6,5/10

La rencontre du premier Amour, celle que jamais l'on oublie; sauf la vie..
qui écrit la rapprochement éternel et ses projets de couple.
Les promesses sont tenues, c'est Lui, c'est Elle
Ou comme dans votre texte, sépare et pour Monsieur, c'est la décadence
Un texte un peu long mais agréable à lire et bien tourné
Consignes non respectées, et cependant elles n'étaient pas strictes:
"respectez l'alternance des rimes F/M ou vice versa"
Une bien triste histoire où deux styles de vie se sont rencontrés...et perdus
Une rencontre qui aurait pu porter « ses fruits » si l'homme avait été moins égoïste
Attention ! En poésie, les chiffres doivent être écrits en lettres.
Boutons : 1ère strophe, rendre ; 3ème strophe, ans ; 4ème strophe ne riment avec rien



3 ... Ne sois pas timide.

Qui n’a jamais vécu son premier coup de foudre? Il se passe généralement entre les 13 et 14 ans.
Cette amour de jeunesse dont l’on oublie jamais le visage, ni le nom innocent et plein de boutons.
Entre timides flirts et caresses, on se jure fidélité et que rien ne peut nous arriver a travers temps.
Forts et différents rien autour n’a d’importance, que vivre et respirer ce premier amour grandissant.
Sortir avec la première élève du collège, amoureuse d’un délinquant, et bon vivant se suffisant,
À ses yeux évoluant contexte éducatif séduisant, l’amour n’est il pas pour autant plus excitant?


Ne sois pas timide…(x3)

Plus les années avancent et ne se ressemblent, le lycée s’annonce vers tes 16 où 18 ans.
Chacun de leur coté, de leurs projets s’élancent à les séparer, dans un premier temps.
Sexe et alcool en boites, la suite logique des choses, il vagabonde, s’éloigne de la présence.
Elle poursuit ses études, ignorante, lui fait confiance parmi ses nombreuses alertes et absences.
Il se drogue et s’éloigne de la réalité, s’excite sur tous sujets, s’exhibe devant toutes ses chances.
De ses vœux s’éloigne d’une femme envoûtante, s’active, il se livre malgré à une dernière danse.


Ne sois pas timide…(x3)

Durant ces années, il s’adonne au plaisirs et voluptés, s’abandonne environ vos 20, 22 ans.
S’ordonne entre liberté et conquêtes, se livre et s’abonne aux désirs interdits insuffisants,
En abondance, en oublie la raison de leur amour et de toute évidence, la laissant en suspend.
Elle avance, ses études ne la laissent indifférente, ne fait que prétendre, et ne peut que se rendre,
A l’évidence, doit s’avouer vaincu, elle a perdu d’avance, il s’exprime libre dans son silence.
Il se suffit a lui-même, l’ignore et passe à autre chose comme s’il existe autre que leur connaissance.


Depuis ces années, ne sut comment l’attendre, lui son amour d’enfance entre ses 22 voir 26 ans.
Son espoir s’amenuisait chaque jours passés. Leurs avenirs étaient compromis face à l’incohérence.
Elle travaillait d’arrache-pied et espérait encore, lui continuait à s’amuser sans plus de sa présence…
Il avait perdu pied et avait fini par l’oublier, la petite amie qu’il aimait tant, celle de son enfance.
Elle s’est décidée à se marier enfin et un enfant en bas âge, continue sa vie en tout indépendance.
Lui poursuivi son chemin comme il a commencé, dans la déchéance et a fini par faire la manche…


Ne sois pas timide…Don’t be shy (x3)


********

Guy Guy ... 5,60/10

Des rimes masculines et féminines non respectées, trop de rimes manquantes,
attention à la concordance des temps.."c’est posé sur moi"
Une romance impossible, fort agréable lecture mais trop de ponctuations!

Vision, mythe ou réalité ? Une rencontre étrange dans une gare
Petites imperfections de rimes et de style de Français,
vous allez devoir "affiner" notre langue de Molière!
La lecture n 'en est pas désagréable pour autant
Les idées pleuvent dans ce petit 'thriller" J'ai été tenue en haleine...
Poème un peu long, mais un joli titre sensuel, écrit qui aurait pu être attrayant,
mais manquant de clarté, attention aux fautes de temps,
Une femme telle que toi : s'accorde avec toi ; mis pour femme
Pas de rime avec croisent...Reverrais-je et effacé ne riment pas
Manque une rime avec : arrêt



4 ... Rouge velours

C’est au quai de cette gare, que nos visages se croisent.
Pour la première fois, je ressens un soupçon d’espoir.
Une chaleur émane de ton regard, s’est posée sur moi.
La naissance d’un amour intense, je veux tant y croire.


D’une femme tel que toi, comment puis-je espérer?
Dans ma tête tout se mélange et ne peux t’approcher.
Pour moi simplet, doit me résigner que de fabuler.
Qui veux d’un homme insignifiant? Je ne peux qu’avouer.


* Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement le train s’éloigna, je ne peux le regarder s’en aller.
La rousse à la cape rouge, un jour par la suite te reverrais-je?
Impuissant, je t’observais t’évanouir au loin tu t’es effacé…


Le lendemain se reproduit la même scène, conjuguant le même savoir.
M’ensorcelle, m’entraîne dans ce doux mirage, je revis la même histoire.
M’entraîne dans un dilemme que j’ose espérer, se jumelle, se fait valoir!
Je m’emballe armé de courage a venir t’accoster, te parler, j’en ai la foi.


Impassible à la même place, sage tu attendais ton train tout en observant,
Les allées et venues de ces milliers de pèlerins pressés et impatients.
Par moments, un regard, un sourire m’était destiné, me laissant confus.
Pourtant encore, dans le wagon tu es entré, et puis tu as disparu.


*Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement il s’éloigna, je ne pouvais que te laisser t’éclipser.
La rousse à la cape rouge, un soir ensuite te recroiserais-je?
Innocent, je t’observais t’évanouir, au loin tu t’es effacé…


Les jours suivants, mêmes rengaines toujours la même situation,
Dans cette mascarade cette fois, ton train n’arrivait à destination.
C’est alors que près de moi tu t’es approché et m’a proposé un café.
Perturbé, que pouvais- je imagier de plus, je vous laisse deviner.


De ses yeux azur, je pouvais deviner la douceur incarnée
C’est là, que je compris que rien ne pourrait se passer
Elle ne voulait pas me voir plus espérer car elle est mariée
Et s’enfuit rapidement pour ne pas rater ce bref arrêt


* Dans ce brouillard sombre et épais, la porte s’est refermée.
Lentement le train s’éloigna, je ne peux le regarder s’en aller.
La rousse à la cape rouge, jamais un jour je ne te reverrais.
Impuissant, je t’observais t’évanouir au loin tu t’es effacé…


********

Guy Guy ... 4,18/10

Consignes non respectées: alternance des rimes, rimes manquantes,
trop de répétitions, attention aux accords...difficile à lire, trop "brouillon"
Vous parlez rencontre sous forme de duo, pourquoi pas ces deux rôles,
mais que de fautes d'accord !!!! Le texte en est bourré
Vous voulez concourir , soit, mais il va falloir faire des progrès côté orthographe
et puis cette fin que vous avez choisi, peu galante mais là,
c'est une question personnelle. Je n'aime pas ce côté je me sers et elle s'en va
Une rencontre qui déclencha un sentiment passionnel mais sa narration
trop longue lasse un peu... ( 30 vers demandés )
Attention ! tout vers doit commencer par une majuscule.
Le ; et est à bannir en fin de vers, vous l'employez trop souvent.
Trop de rimes manquantes hélas ! (Non respect de l'alternance des rimes ! )



5 ... Il était une fois, ta planète pas si différente de la mienne.

Comment confondre le rêve, de la réalité
Lorsque nos regards enfin se sont croisé
Je ne sais comment dire, dure démarche
Sentiment qui me prend, me rend si lâche


Dois-je faire la démarche et dois-je me démarquer
Ne connais le mode d'emploi et doit m'imprégner
j'occulte autour de toi sans savoir, je suis subjugué
Mais ne connais le final, tant je ne sais si tu appréciées


Toi la fille à la cape rouge

Chaque matin, tout les jours le même refrain, m'adonne en faim
Et depuis toujours avec le même chagrin, je vis un nouveau chemin
chaque jours sans fin, un même quotidien, jusque que ton regard enfin
Innocent, tu me croises, ton sourire, tes lèvres de ton doux sourire vélin.


Comment fondre à tes avances, sans que tu imagines,
que je suis pas une fille facile, juste une femme sublime
Comment te faire agir, pour qu'enfin tu puisses réagir
Vers moi t'écoutes, de ton regards, tes gestes me suffisent


Moi la rousse à la cape rouge

Comment me correspondre à ce rêve acéré
sans pour autant te faire fuir, voir te même t'éloigner
je ne sais comment t'approcher, sans te voir suffoquer
de mes espoirs les plus profonds, limite te voir t'égarer


Dois-je me lancer, rabâche sans contre marque et
a contre courant je reconnais sans impunité, me suis imprégné
J'ai tout donné au hasard j'ai rien lâché, me suis prononcé
vers toi je suis allé, sans détour ni regret, avec sentiments, je sais


Toi la rousse à la cape rouge

Ce matin, ce jour, tu t'es pris en main enfin, je valide ouf, avec faim
Tu m'a dragué avec tes vers ringards, timides envers tu es mignon
Tu m'as ennuyé en vain et tu as raté ton train pour moi, pour un chignon
tu t'es fait viré pour me rejoindre, nos regards ont posés un lapin


De ton regard suffit criant sans fin, je ne puis que faiblir enfin
Je reconnais l'amour disperse et de cause tu m'y apportes
Entre tes portes m'exposent, m'emportent, me révoltent,
De mycoses, m'expose, m'impose, me révolte en autre...


Je me dessine et m'imagine enfin, vers une nouvelle idylle
de tes pommettes satires ensevelies, enfin m’angélise sans fin
Loin de délires sadiques, non loin, juste un ange qui
dans ton regard en dit long et ne me laisse indécise


Moi la rousse à la cape rouge

Comment confondre le rêve à la réalité
Lorsque nos regards enfin se sont croisé
Je ne sais comment dire, dure démarche et
Mais j'ai bataillé pour la ramener à mes cotés et


Mes intentions étaient bonnes oui le reconnais
Elle sera mienne, je vais l'inviter et
chez moi la ramener, sans difficulté
Après, après, après, elle ne pourras s'éloigner


La rousse à la cape rouge, la rousse à la cape rouge.
La rousse à la cape rouge, la rousse à la cape rouge.
La rousse à la cape rouge...


********

Lucie Mathis ... 8,44/10

Dommage...les 2 premiers quatrains sont en M/F et le dernier en F/M
Écriture harmonieuse, une énigme bien chocolatée !
Se sont mes papilles qui sont allées à la rencontre de votre chute
bien fondant. Le chocolat, un texte court bien narré
J'ai beaucoup aimé ce moment plein de poésie, de suspens maintenu
jusqu'à la fin de votre écrit, Bravo ! J'en salive...
Vraiment bien narré.
(Alternance des rimes M/F sauf entre le 2ème et 3ème quatrain)


6 ... Une délicieuse rencontre !

Au détour d’une allée, il m’a tenté
J’ai apprécié son allure et son caractère
Les différentes facettes de sa personnalité
Suscitent en moi des émotions particulières.


Son parfum intense est envoûteur
Son aspect lisse et brillant m’intimide
Plein de tendresse et de douceur
Mais parfois amer, agressif ou acide.


Quelques minutes suspendues
Patiemment, j’ai attendu ce moment là
Au calme, concentrée et détendue
Je croque et déguste un carré de chocolat !


********

Janu ... 8,43/10

L'alternance des rimes féminines/masculines
ou masculines:féminines n'est pas respectée!
noce son oce/ force don orce
Un conte de fée connu, mais revu et corrigé !
j 'ai touché au Merveilleux avec ce conte style Jean de la Fontaine,
par la perfection de vos tournures de phrases, sa morale gracieuse
vous méritez l'excellence...Un vrai régal
Un conte que j'ai fort apprécié, beau talent de narrateur.
Belle morale « mieux vaut l'amour simple que l'apparat ... »
Respect de l'alternance des rimes M/F ( sauf entre le 2ème et 3ème quatrain )


7 ... La rencontre...

C'est vous le devinez, une jeune Princesse
Emplie de nostalgie, rêveuse, n’ayant de cesse
D’être à son tour aimée par un Prince charmant
En ce château perdu : une belle au bois dormant


Pourtant bien éveillée, partie se promener
La belle a rencontré, sur une pomme perché
Un crapaud faisant peur; le fruit faisait envie
Après hésitation, elle l’a pris, ravie...


Sa main avait touché la peau de ce crapaud
Qu’on disait pustuleux et ce à tout propos
Il n’avait pas bougé les yeux braqués sur elle
Puis il a fait un bond, comme s’il avait des ailes


La Princesse étonnée le vit se transformer
En beau Prince charmant qui lui a murmuré
« Princesse vous m’attendiez ? mais pour un mariage
Alors que j’ai été puni d’avoir été volage… »


Comme il était très beau, elle se prit à l’aimer
Il en était flatté, mais en habitué
Des hommages féminins : comme attention normale
Sans jamais s’attacher, n’ayant pas de morale !


Le Roi ne voyait pas ce Prince d’un bon œil
Mais voulut les marier pour devenir aïeul
Il fallut convoler mais le soir de ses noces
Il a su que c’était au dessus de ses forces


Il rappela la fée qui l’avait transformé
Redevenu crapaud, d’un bond s’est éloigné
Mais la Princesse était catastrophée
De devenir grenouille, elle implora la fée


Depuis dans le jardin, on voit les deux sauter
Dans la mare aux canards, ils vont batifoler
A nouveau réunis, s’aimant à la folie
Ils eurent des têtards : elle gagna la partie !


Moralité :
« Ce que Femme veut , Dieu le veut ! »


********

Polymnie2 … 8,44/10

Consignes respectées mais un peu gênée avec les phrasés coupés tels que:
Une vaste chaussée/A traverser....gendarme nous traçait l'autorisation/ D'avancer

voila une magnifique rencontre avec l'école régentée par devant
et derrière par des parents présents et éduquant les bonnes manières
Serions nous allées à la même "enseigne?
Un texte rondement mené ,poète vous narrez très, très bien
et dans un Français sans retouche vous n 'en décousez pas! Bravo ,
Vous m'avez donné la nostalgie des heures heureuses
Bien qu'un peu long, un très bel écrit, nous contant
Une rencontre préparée pour comprendre et aimer le monde extérieur
à la sortie de votre « cocon » une grande chance que vous avez eu !
Respect des consignes...Bravo !


8 ... Premiers pas à la rencontre de l’Amour !

J’ai eu la bénédiction d’entrer à l’école primaire catholique,
L’unique enseignement pour filles tout près de la maison !
Les pieds à l’étrier pour déployer mes ailes acryliques
Je ne pouvais pas ne pas partager cette belle raison.


Un primordial en révérence pour que la vie ne soit pas veuve,
L’Amour au centre de toutes couleurs de la fraternité
S’ouvrait géant devant ma candeur toute neuve !
Il m’aspirait ce bel éventail béant devant l’humanité !


Dès la sortie de l’école, nous avions une vaste chaussée
A traverser, un gendarme nous traçait l’autorisation
D’avancer, le saluant pour le remercier, baissant nos têtes tressées,
C’était presque l’image de la comtesse de Ségur en permission !


Je me vois encore, faire la révérence
En ouvrant la porte à quiconque chez ma « Mère-Grand » !
C’étaient les leçons de l’école, et combien d’autres références
Mesurent l’importance de l’Autre sur la terre errant.


Un n’importe quel souci ou heureuses surprises
Étaient confiés et aussitôt des pensées en oraison
Ou travaux d’aiguilles étaient offerts pour une enfant promise,
Des échanges vivants, cœur à cœur profonds à foison.


J’ai quitté la Belgique, ce nid douillet et mes amours chères
Pour Toulouse, notre France, avec mes parents, frères et sœurs.
L’école communale m’attendait, je l’embrassais sans taire
Le plaisir de lever le doigt, lorsque l’institutrice « douceurs »
Demandait : « Qui veut bien allumer le poêle de la classe, notre chaumière ?
Heureuse j’étais ! Elle répondait à ma joie et j’arrivais tôt le matin
Mais à la fin des jours successifs, sa voix devenait saisonnière
Priant un effort de chacune pour le bien de tous, au son d’un cor d’étain.


Leçons d’instruction civique animaient nos regards sensibles
Chaque matin, avant la frise à dessiner sur notre cahier
Que nous faisions suivant la pensée du jour pour cible
Qui nous fouettait d’Amour en liberté d’écoliers.


Richesses qui ne se reproduisaient, elles étaient ancrées
Comme nées avec nous elles faisaient partie d’un tout
Que nous avons transmises en actes et non en paroles consacrées

Elles volent telle une abeille sait pourquoi elle s’arrête ou fuit partout !

********

Polymnie2 … 8,49 /10

Médaille Bronze

Parole /paraît...son un peu dur
Alternance respectée

Il arrive parfois dans la vie de croiser un regard de façon fortuite
Votre rencontre avec celui de votre texte vous a marqué aux fer rouge
Impressionnant l'effet de "serre" sur vous , serrer à ne plus penser qu'à eux
complétement subjugué .
subjuguant aussi la manière dont vous le décrivez
Votre plume roule de la pupille pour le plaisir du lecteur
Quoiqu'un peu long, votre écrit est superbe, ce regard vous a envoûtée...
Un style aisé, poétique à souhait. Une belle lecture qu'il faut renouveler afin
d'en comprendre le sens profond.
Respect des consignes


9 ... Un Regard pas comme les Autres
Sous ces yeux « révolver » brille un profond bleu-vert


Je n’ai jamais vu d’yeux pareils à ceux-là, prunelle vivant
De vagues déferlantes d’un bleu-vert, belle émeraude
Au regard « livre ouvert » sur saisons, les rêvant
Comme ciel sur mer, ondées en perles chaudes !


Grand Monsieur, si parole paraît sourde à mon regard
Le vôtre en mouvement du cœur, rythme, palpite,
Délivrant ses secrets, rien n’est pour vous sans égard
Car vos cils applaudissent à tous mouvements très vite.


Mon oreille en suspend perçoit les mots d’un Digest
Qui miment, peignent, tous les sens de la vie ;
Tout est soleil, tout crépite avec l’accent du Sud-Ouest
Et reste innocemment toujours vermeil d’envie!


Une, sur cinq richesses, sur ma pupille à genoux,
Son Âme, en va-et-vient communique les causes
Qui sortent du dedans au profit de bijoux
Alors que pour cet être une paire d’yeux me cause !


Au début d’un automne, c’était un dimanche, cadeau !!
Il avait septante-cinq ans, une petite taille,
Droit comme un « i » alerte plus qu’un jeune « ado »
Je l’ai vu qu’une fois avec scie et cisaille.


En deux, trois mouvements, de courage et savoir revêtu,
Il a monté dix mètres, à l’aise sur l’échelle
Et a scié la branche, qui était déchirée sans vertu,
Armé de précautions, muni de deux ficelles.


Par le vent sous l’orage, ce bras ne tenant qu’à moitié,
Le chêne supplicié se mourait par guigne
Quoique béni de pluie, il n’a jamais crié
Sauf au dernier moment son râle s’ajuste digne !


Je n’ai jamais vu d’yeux qui activent le temps ;
Ils chantent, dansent aussi, voyagent et naviguent
Scrutent l’horizon sans fin, sa ligne se mouvant
Sous viseurs pleins à foison ne craignant vertiges, ni fatigues.


Il ose les plonger sans animosité,
Refrise le dehors, entretient l’usufruit,
Lustrant le teint du pain aux pieds, abandonné,
Ces yeux qui sont bel aimant attirant, nourrissent le profit produit.


En ce regard « révolver » brille un profond bleu-vert
Avec un amour fou au creux de l’immense paupière,
Chaque jour au coin d’un pré vert à tous vents, ouvert,
Ce voyageur pénètre, je ne peux l’oublier, il est comme en croisière !


********

Polymnie 2 ... 8,15/10

Consignes respectées, "avec un rayon" à la ligne "De lumière"...
phrase non harmonieuse
Une rencontre découverte
la plume ,l'encre et l'encrier attenant aux pupitres de classe
ou le crayon à mine grise
s qui e voient remplacer par le Bic
Vous racontez votre premier contact avec "ce tuyau "jaune /ambre du début
le cristal est plus tardif. Une pointe qui écrit et court seule,
quels jolis mots d'enfant !
Petit conseil au passage de la maitresse "Rangez vos affaires!"
la chaleur a eu gain de cause et la peine aussi
quand il se mettait "à couler" ,les mains se tâchaient
un souvenir première rencontre bien raconté par l'enfant que vous étiez.
Long mais très bien écrit, truffé d'expressions bien personnelles,
j'ai aimé cette façon de nous conter la découverte
de ce crayon en « mutation »
et celle de ses avantages et inconvénients.
Consignes respectées...Bravo !


10 ... Première Rencontre :
Mon crayon noir écrit à l’encre !!!


Un crayon bic, représentait à l’époque un superbe cadeau !

Ô quelle belle découverte !
Je reçois à neuf ans, « un crayon »
C’est une attention gracieuse offerte
Par un de mes frères aînés, avec un rayon

De lumière il me précise ! « Il n’écrit pas comme les autres !
Tu verras, comme tout est joli et bien fait » !
Mon écriture de bonne heure n’était pas celle qui se vautre
Sur feuille, mais pose déjà de fins genêts !


Heureuse de ce cadeau, je « fonce » dans ma chambre
Et sans tarder j’écris, je dessine, réjouie dans le cœur !
En fin de semaine, un samedi de septembre,
Je trace une belle lettre en mots d’harmonie siffleurs
Destinée à mon Oncle et ma Tante.
Heureuse, fière, au fond de moi traîne ce grand plaisir
Nourrissant mes mots, j’étais si contente,
Les lettres glissaient seules, sur papier-désir !


Et je lance d’un seul trait ma confidence :
« Jean m’a fait une belle surprise, elle danse sous vos yeux,
Il m’a donné un « crayon noir qui écrit à l’encre » en cadence !
Son corps est de couleur ambre, un tout merveilleux !
Pour moi, cet objet était tout un mystère
Que j’emmenais à l’école, bien entendu !
Lorsqu’un jour, la récréation du matin sonne solitaire
J’ai connu le pire ennui, l’inattendu !!


Je pose ma merveille sur la page
Du cahier de roulement, *
Rejoins toutes les élèves dans la cour en calme sage !
Puis, après les jeux, les cris, le rassemblement.


Je regagne ma place, Ô quel malheur m’accueille !
Noire d’encre était ma page incrustée de pâtés dentelés !
Tout près de la fenêtre, le soleil était en recueille
Surchauffant le bureau de ses rayons ensorcelés !


La maîtresse tout réconfort : « Reviens à ta place !
C’est un incident et non-là un sortilège pensera l’Inspecteur !
On ne peut effacer le dégât, sans remplacer l’autre face !
Il faut poser ses outils en cortège quand on quitte le labeur,
La rainure du bureau sert à cela! que ce soit pour toutes votre préface » !
Ce fut l’unique incident scolaire qui revient sur « chandeleur » !


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* cahier de roulement = cahier de la classe vu par l'inspecteur.

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Raymond 3 ... 8,51/10

Médaille Argent

Alternance des rimes masculines et féminines respectées dans cette belle romance
Une nouvelle Vie à deux en ligne de mire , à priori
Vos mots fusent ,rapides, je sens que le temps compte et j'acquiesce
le style est "vif" vous êtes pressé ou pressée de vous engager et d'aboutir
C'est mon ressenti
Jolie la sente avec la favorite et son chien Ever, le lecteur imagine
Comme j'ai aimé cet instantané de bonheur, si bien écrit.
Vos mots dansent et font merveille.
Consignes respectées.



11 ... Monique,

De nos nuits étoilées furtives courent les mots
Bonheur, renaissance du futur une phrase,
Deux âmes dansent sur la toile usant d’argot,
L’élixir d’une vie, fait d’un coup table rase.


On recommence tout, les compteurs à zéro
À chacun son tableau, humble, qui se mérite,
C’est l’œil visionnaire, ce n’est pas un numéro,
Dans ce kiosque désir, que la pensé suscite.


Les degrés de solitudes volent en éclats
Le fil sauveur divin, ouvre sa parenthèse,
Femmes-fleurs, photos prêtes en tenue d’apparat,
Quand le ciel vient zoner il devient ascèse.


Ever, son chien et elle droite sur le chemin
Un joli sourire et une belle assurance,
Son franc parlé séduit je fus de bon matin
Nos cœurs scellés, débute une douce romance.


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Hors concours à découvrir


Llumièrelive

Inévitable rencontre

Dès l’instant de ma naissance, je l’ai rencontré…
Depuis lors, elle me côtoie, me survole, me surveille,
Tout mes actes imprudents sont numérotés et chiffrés,
Elle m’éclaire, m’enseigne, me protège, me conseille,


Elle m’avertit et me préserve des dangers,
Son murmure enveloppe mon être et ma conscience,
Dans la sagesse où l’instant présent reste à louanger
Elle m’enseigne de la vie les lois de l’efficience…


Durant ma jeunesse il me plaisait à l’ignorer :
Elle m’effrayait tout en restant si lointaine !
En l’inconnu que je ne pouvais explorer
Elle me paraissait insoutenable et hautaine,


Au fil du temps pour ne plus l’appréhender
J’ai voulu mieux la connaitre, la comprendre
La laissant à mes ignorances s’exonder
Afin que ma panique puisse se suspendre…


J’ai beau savoir que la nuit est continuité du jour,
Il me faudra du temps pour vaincre mon angoisse,
Pour aborder ses trompettes et son tambour,
Pour entrer dans sa géhenne et sa paroisse…


Neuf de pique ou treizième arcane du tarot,
La Faucheuse me reste toujours présente,
Elle suit mon ombre tel inéluctable garrot :
La mort est une évidence bien apparente…


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Iboujo

Une rencontre troublante

Un Comte valeureux d'un voisin pays, il avait fait la guerre
Et une jeune Princesse, heureuse de l'épouser
C'était sa seule inspiration dans sa vie princière
Depuis l'enfance, préparée au rôle le plus élevé.


Être importante était à ses yeux un précieux cheminement
Pour le galant, il avait au cœur forte envie de la connaître
Pour la voir plus souvent, ainsi fit- il des déplacements
Prenait -elle des cours de chant ? des confiseries à se repaître ?


Il resta stoïque à écouter des bavardages pendant des heures
Mais, la Demoiselle agacée par ce compagnon envahissant
Proposa une promenade : " Des papillons de toutes couleurs ! "
" Sachez que je les adore " et, le voilà batifolant obnubilé et fervent


Sophie de Lalande, griffée par un roncier de rosier aiguisoir.
Le métayer qui passait, n'avait jamais vu la jeune douairière,
Entendant crier sa Seigneurie, lui tendit un mouchoir,
" Vous auriez pu lui crever l'œil, courir après du temporaire ",


"Alors que vous avez le bien le plus précieux ", il la raccompagna au château,
Elle vit son âme de Prince, adorant les fleurs, le chant des oiseaux au réveil,
Saisie d'un trouble prononcé : "Altesse, je vais vous montrer des coins d 'eau
Dans le parc où ils ne font qu'un avec le ciel ". L'autre galant, s'aidant de bouteilles


Se leva titubant, tomba la tête sur les genoux de Sophie, un cri d'effroi déchira
La nuit, de sa ronde nocturne le forestier accourut, étendit le Comte, évitant le scandale
" Que ferai-je sans vous ? " Les mois passèrent, un nouveau prétendant se présenta
C'était l'hiver, la chienne Rubis glissa dans l'eau de l'étang verglacée et glaciale,


Horrifiée, " Monsieur, sauvez -là moi ..." Me mettre à l'eau pour un stupide animal "
Ulcérée, elle botta en touche et prit congé . Le garde sauva Rubis qui grelotait,
Sur l'ongle ! sans hésiter. Le chien remis sur pattes, Michel eu une fièvre peu banale
Et dans son délire :" Sophie ! Sophie ! " La jeune femme comprit alors qu'il l'aimait.


" Tu es mon sauveur, aucun autre que toi ne peut être mon mari, consens-tu à m'épouser ? "
Il fit un excellent Roi, faisant comprendre à son épouse l'importance de sa fonction,
Ils vécurent heureux et tous les sujets du Royaume également, le destin s'est joué
De leur avenir, par des rencontres, ne peuvent -elles pas écrire le devenir d'une Passion ?


*
Bravo ! à tous ainsi qu'aux Hors concours,
petit plus aux Médaillé(e)s


*
 
Dernière édition:

tieram

Maître Poète
#6
Des vers libres mais des rimes alternées masculines et féminines si j'ai bien compris...
Libres peu importe le nombre de syllabes et les rimes pauvres suffisantes ou riches peu importe ...Aussi
cela ne rentre pas dans mes possibilités je ne sais faire que de l'alexandrin....Tant pis je laisse à d'autres tout le travail ...MDRRRR
 

iboujo

Maître Poète
#7
qui a envie de passer à Lille ce week end ?

pour "brader" ,chiner,

manger des moules ,frites ,bière


qui veut nous rencontrer?

Merci Lys pour le Ch 'Nord

et la photo de ce grand marché 'à tout"
 

Raymond3

Maître Poète
#8
Bonsoir à toute l'équipe et amis (es) poètes
Notre amie poète Iboujo est en panne d'internet, elle n'est pas sur la lune, ni dans les étoiles, sa comète créapoème est injoignable de son domicile...
Merci de votre compréhension, c'est un petit rayon pour lui tendre la perche!!!
Bien à vous
Amicalement
Raymond
 

iboujo

Maître Poète
#14
Vos jurés sont de bonne foi et justes

c 'est un CONCOURS

je ne vois pas ce qui change avec ou sans "sous concours"

Vous avez décidé ...OK
ceci dit quand on lit beaucoup au quotidien
d'autres signes bien plus évidents permettent de penser
'Tiens, c'est une telle ou un tel"
ce qui ne change en rien personnellement mes notations
si je suis juge

je répète C 'EST UN CONCOURS
Où serai l'intérêt ?
nous ne sommes pas en maternelle

Bises Mesdames
et va
pour votre décision
jojo
 
#17
Merci à toute l'équipe et félicitations à tous les poètes pour leur texte , le plus souvent le temps d'une vie suffit pour la rencontre quelque chose , la toile est une situation de départ, et quand arrive l'averse la douche est froide, ce n'est pas une tempête, mais les mots restent pesants ,gris, immobiles, pendant que le paysage tournoie.

Ce texte n'a pas donné suite.
Bien à vous
Merci
Raymond
 

janu

Maître Poète
#19
un immense merci au jury pour ce poème primé qui est dédié à la première grande rencontre amoureuse,
la plus belle, la plus triste aussi, car les fleurs blanches dont je parle étaient déposées sur une tombe....
Un grand bravo aux deux autres médaillés; avec leur talent habituel, ils le méritaient bien !
Et bravo à tous ceux qui nous ont parlé de "leur rencontre" avec talent aussi ; Hors concours compris.
Merci à toi, enfin, amie Lys, dont le sujet m'a permis de ressortir un poème qui me tenait tant à coeur...
Mes amitiés à vous tous
Jan