La raison pour des nouveaux jours. (D’après La moisson des nouveaux jours de LIlasys)
Il me faudrait effacer tes doutes enlisés dans le passé,
Sous cette brume qui engloutit tes pas et mon pauvre savoir,
Il te faudrait une main détendue, une lueur pour dame désespérée,
Pour battre tous tes mots dévoués qui concernent tes égards.
Il faudrait tant de petites roses, de beaux sages d’où s’enfuit l’ennui,
Sur ce ravage en plus des armes infondées aux faux qui lancent,
Il faudrait accommoder ces Rambo au flaire permis d’un gain éconduit,
Relater les adages de vermeille, mirer le ciel de toutes les belles chances.
Il faudrait que tes goûts demain s’épuisent à te creuser, ma sœur,
Taire tes épines en une couronne concave déroulée sans mièvre,
Il faudrait bosser ce râle en fièvre qui assèche au nord l’orfèvre,
Défaire assigner ce voile sans fond et en faire crever tes sueurs.
Il faudrait que tu étales ta prose, sans dégât, à tes goûts,
Deviner tes plus belles images à chanter en de grands chœurs,
Il faudrait enfermer tes vœux dans un bois sans mauvais coup,
Encenser l’escroc vorace, ne fait que dévorer toujours ton bonheur.
Il faudrait que tes maux endiablés décroissent en faim d’un Dieu,
Envoyer les perdants d’une parade, aux tréfonds des placebos,
Il faudrait que tu signes éperdue pour crucifier tous les envieux,
Au travers de ton cristal, y lire ta satisfaction comme un poisson dans l'eau.
Il faudrait enfin nourrir pour connaître l’impuissance de tes envies,
Bannir tout ces ordres qui gesticulent sans veine et sans fond de foi,
Il faudrait perpétrer tes poèmes, les griffer des actes de ta vie,
Lire les signes creusées en festin pour doucement les calfeutrer en joie.
Il faudrait.........................................................T'animer enfin
Il me faudrait effacer tes doutes enlisés dans le passé,
Sous cette brume qui engloutit tes pas et mon pauvre savoir,
Il te faudrait une main détendue, une lueur pour dame désespérée,
Pour battre tous tes mots dévoués qui concernent tes égards.
Il faudrait tant de petites roses, de beaux sages d’où s’enfuit l’ennui,
Sur ce ravage en plus des armes infondées aux faux qui lancent,
Il faudrait accommoder ces Rambo au flaire permis d’un gain éconduit,
Relater les adages de vermeille, mirer le ciel de toutes les belles chances.
Il faudrait que tes goûts demain s’épuisent à te creuser, ma sœur,
Taire tes épines en une couronne concave déroulée sans mièvre,
Il faudrait bosser ce râle en fièvre qui assèche au nord l’orfèvre,
Défaire assigner ce voile sans fond et en faire crever tes sueurs.
Il faudrait que tu étales ta prose, sans dégât, à tes goûts,
Deviner tes plus belles images à chanter en de grands chœurs,
Il faudrait enfermer tes vœux dans un bois sans mauvais coup,
Encenser l’escroc vorace, ne fait que dévorer toujours ton bonheur.
Il faudrait que tes maux endiablés décroissent en faim d’un Dieu,
Envoyer les perdants d’une parade, aux tréfonds des placebos,
Il faudrait que tu signes éperdue pour crucifier tous les envieux,
Au travers de ton cristal, y lire ta satisfaction comme un poisson dans l'eau.
Il faudrait enfin nourrir pour connaître l’impuissance de tes envies,
Bannir tout ces ordres qui gesticulent sans veine et sans fond de foi,
Il faudrait perpétrer tes poèmes, les griffer des actes de ta vie,
Lire les signes creusées en festin pour doucement les calfeutrer en joie.
Il faudrait.........................................................T'animer enfin
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