Tu hurle ton désespoir,
Tu cris ta détresse.
En inondant ce beau soir,
Tu exprime ta tristesse.
Je marche sur tes larmes,
Qui on former des millions de flaques.
J'entend encore de ton cœur cette alarme.
Tes pleurs on former un lac.
Pourquoi es-tu si triste ?
Qu'est ce qu'on ta fait de là haut ?
Le monde est-il si égoïste ?
S'il te plaît parle moi, dis moi un mot.
Tes larmes gèles cette nuit,
En se sois disant belle été.
Je me mes alors à pleurer à minuit,
L'heure où me temps c'est arrêter.
Cette instant paraît si long,
Seule avec toi.
J'entend encore et encore des violons,
Cette mélodie que joue pour moi.
Nous sommes les seuls à nous comprendre,
Tous les deux dans le noir.
Dans ma sombre chambre j'essaye de t'entendre,
Seule face à mon miroir.
Nous sommes unie,
Par des liens magiques.
Loin de cette vie,
Ton monde paraît magnifique.
Tu cris ta détresse.
En inondant ce beau soir,
Tu exprime ta tristesse.
Je marche sur tes larmes,
Qui on former des millions de flaques.
J'entend encore de ton cœur cette alarme.
Tes pleurs on former un lac.
Pourquoi es-tu si triste ?
Qu'est ce qu'on ta fait de là haut ?
Le monde est-il si égoïste ?
S'il te plaît parle moi, dis moi un mot.
Tes larmes gèles cette nuit,
En se sois disant belle été.
Je me mes alors à pleurer à minuit,
L'heure où me temps c'est arrêter.
Cette instant paraît si long,
Seule avec toi.
J'entend encore et encore des violons,
Cette mélodie que joue pour moi.
Nous sommes les seuls à nous comprendre,
Tous les deux dans le noir.
Dans ma sombre chambre j'essaye de t'entendre,
Seule face à mon miroir.
Nous sommes unie,
Par des liens magiques.
Loin de cette vie,
Ton monde paraît magnifique.