J'errais sous le ciel vert et azur
Mais une fille, douce, vint troubler mes poèmes,
Deux sabres bleus, transperçant mon armure,
Des cheveux bruns, presque un diadème,
Vinrent sans ménagement m'ébahir
Me faisant même pousser des ailes,
Moi, rouge gorge dont le coeur chavire,
Partant rejoindre les hirondelles.
Cet oiseau là, laurence, c'est moi.
Et cette magnifique nymphe, incarnant la liberté,
laulau, dis le moi, que c'est toi...
Laisse-moi à ton âme m'abandonner.
marc-antoine, petit comique au grand coeur
Mais une fille, douce, vint troubler mes poèmes,
Deux sabres bleus, transperçant mon armure,
Des cheveux bruns, presque un diadème,
Vinrent sans ménagement m'ébahir
Me faisant même pousser des ailes,
Moi, rouge gorge dont le coeur chavire,
Partant rejoindre les hirondelles.
Cet oiseau là, laurence, c'est moi.
Et cette magnifique nymphe, incarnant la liberté,
laulau, dis le moi, que c'est toi...
Laisse-moi à ton âme m'abandonner.
marc-antoine, petit comique au grand coeur