Elle était si jolie, radieuse, tellement tonique;
Qu'on se refuse à croire qu'elle soit cadavérique.
Qu'elle soit là, couchée, froide, exposée sans vie
Sans avoir eu le temps, d'épuiser ses envies !
La mort au dépourvu est venue la surprendre;
Ce que son entourage à du mal à comprendre.
C'est si soudainement qu'elle s'est faite emportée;
Brutalement d'un coup, en laissant ses enfants !
Et son mari, livide, sous le désespoir; tout seul,
Regrettant sur son épouse enveloppée d'un linceul.
La morte, sans un mot, son cher époux laissant;
Sous l'extrême chagrin méditant l'immense perte !
Au comble de la détresse, de la coupure nette,
Rien ne laissait prévoir une chose aussi fatale;
Le plaçant cruellement sous le joug de ce mal !
Parfois on l'entendait, alors en proie des maux;
Laisser dans l'amertume sortir de lui ces mots :
Pourquoi a-t-il fallu qu'elle s'en aille, au galop !
Contre son gré, mon gré;sombrer dans ce repos !
Quittant un havre de paix où tout était si beau !
Ne se retenant pas, laissant monter les larmes,
Exprimant sa douleur du plus profond de l'âme !
Et moi en plein effroi, le coeur dans l'affliction !
Pleurant celle qui savait donner tant d'affection.
Pas plus tard qu'avant hier, je l'avais rencontrée
Joyeuse faisant des courses à la grande récrée,
Cette soeur bien aimée qui si vite nous à quitté;
La mort ayant pouvoir d'imposer la dure vérité !
Rappelant aux humains leur stature de chimère
Faisant que tôt, ou tard; ils vont à la poussière.
Elle était pleine de vie, cette femme magnifique !
C'est ce que je garderais, de ma soeur Angélique !
Guyh
L'effet d'un texte imaginaire suscitant beaucoup d'émotion !
Qu'on se refuse à croire qu'elle soit cadavérique.
Qu'elle soit là, couchée, froide, exposée sans vie
Sans avoir eu le temps, d'épuiser ses envies !
La mort au dépourvu est venue la surprendre;
Ce que son entourage à du mal à comprendre.
C'est si soudainement qu'elle s'est faite emportée;
Brutalement d'un coup, en laissant ses enfants !
Et son mari, livide, sous le désespoir; tout seul,
Regrettant sur son épouse enveloppée d'un linceul.
La morte, sans un mot, son cher époux laissant;
Sous l'extrême chagrin méditant l'immense perte !
Au comble de la détresse, de la coupure nette,
Rien ne laissait prévoir une chose aussi fatale;
Le plaçant cruellement sous le joug de ce mal !
Parfois on l'entendait, alors en proie des maux;
Laisser dans l'amertume sortir de lui ces mots :
Pourquoi a-t-il fallu qu'elle s'en aille, au galop !
Contre son gré, mon gré;sombrer dans ce repos !
Quittant un havre de paix où tout était si beau !
Ne se retenant pas, laissant monter les larmes,
Exprimant sa douleur du plus profond de l'âme !
Et moi en plein effroi, le coeur dans l'affliction !
Pleurant celle qui savait donner tant d'affection.
Pas plus tard qu'avant hier, je l'avais rencontrée
Joyeuse faisant des courses à la grande récrée,
Cette soeur bien aimée qui si vite nous à quitté;
La mort ayant pouvoir d'imposer la dure vérité !
Rappelant aux humains leur stature de chimère
Faisant que tôt, ou tard; ils vont à la poussière.
Elle était pleine de vie, cette femme magnifique !
C'est ce que je garderais, de ma soeur Angélique !
Guyh
L'effet d'un texte imaginaire suscitant beaucoup d'émotion !