Malerune
Ils ont le regard dur et la mâchoire serrée
Ce sont des guerriers
Ils ont le corps puissant, agile et délié
Ils sont nés pour tuer.
Lui, son air arrogant, sombre et mystérieux
Son air dangereux
Elle, son allure fière, insoumise et coléreuse
La belle emmerdeuse.
Prince lycante, homme loup aux yeux azurés
Mi homme, mi bête.
Princesse humaine à la légendaire beauté
Princesse guerrière
Les voilà face à face, inconnus, étrangers
Avec leurs préjugés
Les voilà face à face, contraints de s’allier
Contre le danger
De conquêtes en combats, par forêts et vallées
Apprendre et comprendre
De victoires en défaites, en batailles gagnées
Tuer pour se défendre
Puis quand le feu s’éteint, quand les muscles sont lourds,
Blessés, fatigués
Il faut soigner, réparer et réconforter
Attendre le jour
Le jour où tout ça finira, ce jour de paix
La vie reprendra
Chacun chez soi, mais sans rien oublier, jamais
De ces moments là
Ils se regardent, et leurs yeux ne peuvent mentir
Ils ne sont plus deux
Tous ces combats dos à dos à se ressentir
Se protéger mieux
Ils ne sont plus deux depuis tellement longtemps
Ils ne sont plus qu’un
Et dans leurs yeux quand ils se regardent un instant
On ne voit que faim
Une humaine et un lycante, est ce bien raisonnable ?
Peut-on en rêver ?
Dans ce monde de fou, deux êtres dissemblables
Peuvent-ils espérer ?
En hommage à Pierre Grimbert qui m’a enchantée avec son roman, la Malerune.
Ils ont le regard dur et la mâchoire serrée
Ce sont des guerriers
Ils ont le corps puissant, agile et délié
Ils sont nés pour tuer.
Lui, son air arrogant, sombre et mystérieux
Son air dangereux
Elle, son allure fière, insoumise et coléreuse
La belle emmerdeuse.
Prince lycante, homme loup aux yeux azurés
Mi homme, mi bête.
Princesse humaine à la légendaire beauté
Princesse guerrière
Les voilà face à face, inconnus, étrangers
Avec leurs préjugés
Les voilà face à face, contraints de s’allier
Contre le danger
De conquêtes en combats, par forêts et vallées
Apprendre et comprendre
De victoires en défaites, en batailles gagnées
Tuer pour se défendre
Puis quand le feu s’éteint, quand les muscles sont lourds,
Blessés, fatigués
Il faut soigner, réparer et réconforter
Attendre le jour
Le jour où tout ça finira, ce jour de paix
La vie reprendra
Chacun chez soi, mais sans rien oublier, jamais
De ces moments là
Ils se regardent, et leurs yeux ne peuvent mentir
Ils ne sont plus deux
Tous ces combats dos à dos à se ressentir
Se protéger mieux
Ils ne sont plus deux depuis tellement longtemps
Ils ne sont plus qu’un
Et dans leurs yeux quand ils se regardent un instant
On ne voit que faim
Une humaine et un lycante, est ce bien raisonnable ?
Peut-on en rêver ?
Dans ce monde de fou, deux êtres dissemblables
Peuvent-ils espérer ?
En hommage à Pierre Grimbert qui m’a enchantée avec son roman, la Malerune.