La Métamorphose …plume de 79didou
Au terme de ce sombre désir abjuré,
Ombre inhumaine couvrant la douce nuit
Elle dérobe goulument le rêve égaré
D’une âme vagabonde aux portes de l’oubli
La sénile voracité de l’esprit en quête
De la repentance d’un passé en berne
Délecte les songes de la grande fête
Dans la frugalité d’une orgie terne
Sa souffrance réprime tout sentiment,
Ignorant au fond qu’un rêve amorce l’éveil
D’un enfant troublait de cet être absent,
Qu’il chérit au-delà de ce lumineux ciel.
Le temps s’échine sur le socle amer
Du sanctuaire des souvenirs putréfiés,
Bien au-delà des légendes et chimères
La plaie brûle sous les larmes versées
La féroce s’approche près de l’enfant,
Tentant de dérober son rêve précieux
A celui-ci tu ne peux toucher séant,
C’est un envoie des rêves des Dieux.
Le sommeil béni de l’éclat stellaire
Dans l’antre céleste de l’éden sacré
Immerge le chérubin dans la bruyère
D’une terre vêtue d’histoires cachées
Cet amour l’éclairant d’une douce aura
Enveloppe la féroce goulue d’un suaire
Une lueur éthérée la métamorphosa
En colombine vibrant l’hymne salutaire.
La Chrysalide sous les suaves assauts
Du serein silence de l’ange démuni,
Alors dépecée à ses pieds en lambeau
Bourgeonne d’un grand tapis fleuri
Au terme de ce sombre désir abjuré,
Ombre inhumaine couvrant la douce nuit
Elle dérobe goulument le rêve égaré
D’une âme vagabonde aux portes de l’oubli
La sénile voracité de l’esprit en quête
De la repentance d’un passé en berne
Délecte les songes de la grande fête
Dans la frugalité d’une orgie terne
Sa souffrance réprime tout sentiment,
Ignorant au fond qu’un rêve amorce l’éveil
D’un enfant troublait de cet être absent,
Qu’il chérit au-delà de ce lumineux ciel.
Le temps s’échine sur le socle amer
Du sanctuaire des souvenirs putréfiés,
Bien au-delà des légendes et chimères
La plaie brûle sous les larmes versées
La féroce s’approche près de l’enfant,
Tentant de dérober son rêve précieux
A celui-ci tu ne peux toucher séant,
C’est un envoie des rêves des Dieux.
Le sommeil béni de l’éclat stellaire
Dans l’antre céleste de l’éden sacré
Immerge le chérubin dans la bruyère
D’une terre vêtue d’histoires cachées
Cet amour l’éclairant d’une douce aura
Enveloppe la féroce goulue d’un suaire
Une lueur éthérée la métamorphosa
En colombine vibrant l’hymne salutaire.
La Chrysalide sous les suaves assauts
Du serein silence de l’ange démuni,
Alors dépecée à ses pieds en lambeau
Bourgeonne d’un grand tapis fleuri