Il est dans le désert de Kaïmé
Vaste océan fossilisé
Les vestiges d’une cité
Qui autrefois défiait les étendues desséchées
Un joyaux d’antan
Si beau et si puissant
Aujourd’hui gisant
Dans le sable brûlant
Les anciennes sentinelles
A leur postes sont toujours fidèles
Statues immortelles
Veillant sur la cité et son sommeil éternel
Le rempart a vieilli
Tel un grand-père décrépi
Qui peu à peu périt
Et par les dunes est enseveli
Les gardiennes inébranlables
Gigantesques portes infranchissables
En lutte perpétuelle contre les vents infatigables
Ne gardent plus qu’un royaume de poussière et de sable
Les tours autrefois si fières
Qui s’élançaient dans les airs
Gisent maintenant à terre
Tels les os d’un géant de pierre
Maisons, villas, palais
Ont perdu leur majesté
Seul subsistent quelques masures isolées
Maigre souvenir d’une splendeur passée
Qui peut dire où sont partis
Ceux qui vivaient ici
Un peuple évanoui
Dans les profondeurs de l’oubli
Leurs trésors ancestraux
Ont sombré dans un insoupçonnable tombeau
Recouvert par le sable chaud
Éternel gardien du tribut des héros
Ô toi antique titan
Toi qui a osé défier le temps
Osé braver la fureur des éléments
Le désert t’a vaincu et réduit à néant
Le titan est tombé
Sa puissance s’est brisée
Seuls se souviennent de lui quelques vieux livres mités
Perdus au fin fond d’une bibliothèque oubliée
Les années passent
Les cités trépassent
Qu’importe l’ennemi auquel elles font face
Avec le temps tout s’efface
Vaste océan fossilisé
Les vestiges d’une cité
Qui autrefois défiait les étendues desséchées
Un joyaux d’antan
Si beau et si puissant
Aujourd’hui gisant
Dans le sable brûlant
Les anciennes sentinelles
A leur postes sont toujours fidèles
Statues immortelles
Veillant sur la cité et son sommeil éternel
Le rempart a vieilli
Tel un grand-père décrépi
Qui peu à peu périt
Et par les dunes est enseveli
Les gardiennes inébranlables
Gigantesques portes infranchissables
En lutte perpétuelle contre les vents infatigables
Ne gardent plus qu’un royaume de poussière et de sable
Les tours autrefois si fières
Qui s’élançaient dans les airs
Gisent maintenant à terre
Tels les os d’un géant de pierre
Maisons, villas, palais
Ont perdu leur majesté
Seul subsistent quelques masures isolées
Maigre souvenir d’une splendeur passée
Qui peut dire où sont partis
Ceux qui vivaient ici
Un peuple évanoui
Dans les profondeurs de l’oubli
Leurs trésors ancestraux
Ont sombré dans un insoupçonnable tombeau
Recouvert par le sable chaud
Éternel gardien du tribut des héros
Ô toi antique titan
Toi qui a osé défier le temps
Osé braver la fureur des éléments
Le désert t’a vaincu et réduit à néant
Le titan est tombé
Sa puissance s’est brisée
Seuls se souviennent de lui quelques vieux livres mités
Perdus au fin fond d’une bibliothèque oubliée
Les années passent
Les cités trépassent
Qu’importe l’ennemi auquel elles font face
Avec le temps tout s’efface