La méchanceté ne porte de nom !
La planète est soumise à la guerre,
Les hommes voilent de mensonges,
Laissent, la haine qui ronge,
L'ami, voisin mit à terre.
Un chrysanthème comme adieu,
Une poignée de larmes en chœur,
Une croix en guise de drapeau d'honneur,
Une plainte aiguisée Ô Dieu !
Ils ignorent les vivants,
Font des parchemins pour les morts,
La plume à la pointe de l'or,
Dont l'encre coule des maux savants.
Et pourtant !
La méchanceté ne porte de nom,
Ces cadavres portent-ils une auréole ?
Certains, jamais au ciel ne volent,
La fin est un dernier sermon.
Les croyants jouent de l'orgue,
Les petits mouchoirs trempés ,
Voient monter les êtres illuminés,
Les autres dans une longue morgue.
Sans pitié, sans sentiment,
Au nom du père et du saint esprit,
Hypocrites toute leur vie,
Un chapelet de nacre ou de diamant.
Et pourtant!
Les livres bibliques vendent les âmes,
Celui qui n'abdique est souillé ,
Comme s'ils avaient commis un pêcher,
De ces mortels au cœur infâme,
Je sais qu'ailleurs, il y a,
Toutes ces vies entre parenthèse,
Elles sourient plus à leur aise,
Côtoient la misère, tel appât...
Lilasys.
La planète est soumise à la guerre,
Les hommes voilent de mensonges,
Laissent, la haine qui ronge,
L'ami, voisin mit à terre.
Un chrysanthème comme adieu,
Une poignée de larmes en chœur,
Une croix en guise de drapeau d'honneur,
Une plainte aiguisée Ô Dieu !
Ils ignorent les vivants,
Font des parchemins pour les morts,
La plume à la pointe de l'or,
Dont l'encre coule des maux savants.
Et pourtant !
La méchanceté ne porte de nom,
Ces cadavres portent-ils une auréole ?
Certains, jamais au ciel ne volent,
La fin est un dernier sermon.
Les croyants jouent de l'orgue,
Les petits mouchoirs trempés ,
Voient monter les êtres illuminés,
Les autres dans une longue morgue.
Sans pitié, sans sentiment,
Au nom du père et du saint esprit,
Hypocrites toute leur vie,
Un chapelet de nacre ou de diamant.
Et pourtant!
Les livres bibliques vendent les âmes,
Celui qui n'abdique est souillé ,
Comme s'ils avaient commis un pêcher,
De ces mortels au cœur infâme,
Je sais qu'ailleurs, il y a,
Toutes ces vies entre parenthèse,
Elles sourient plus à leur aise,
Côtoient la misère, tel appât...
Lilasys.