Dans les étoiles qui s'éclairaient,
Se trouvait une perle rare qui dormait
Dans le lit à côté de la mère
Le petit écrivait à l'encre du sang de la guerre
Les bombardements réveillaient à chaque fois le petit homme
Et quand il voulait se réveiller il ne trouvait personne.
Quand il était assis, plume à la main
C'était tout seul qu'il écrivait pour noyer ses chagrins
Dans l'ombre il écrivait que la guerre était peine
Dans des mots où il transmit la colère et la haine
De devoir vivre des gens contre le monde
Pour des dictateurs qui s'occupe plus de la Cunégonde.
Le petit écrivait à la lueur de la nuit
Il pensait à la belle Marie
Il disait que c'était la plus belle du quartier
Qu'il n'était qu'une ombre et elle qu'une clarté.
Quand la guerre ce fut finie, les gens disaient merci
Pour les poèmes sur les armes et sa facilité de la poésie
Le monde était à ses petits pieds
Le monde disait merci sur ses poèmes de la liberté
Se trouvait une perle rare qui dormait
Dans le lit à côté de la mère
Le petit écrivait à l'encre du sang de la guerre
Les bombardements réveillaient à chaque fois le petit homme
Et quand il voulait se réveiller il ne trouvait personne.
Quand il était assis, plume à la main
C'était tout seul qu'il écrivait pour noyer ses chagrins
Dans l'ombre il écrivait que la guerre était peine
Dans des mots où il transmit la colère et la haine
De devoir vivre des gens contre le monde
Pour des dictateurs qui s'occupe plus de la Cunégonde.
Le petit écrivait à la lueur de la nuit
Il pensait à la belle Marie
Il disait que c'était la plus belle du quartier
Qu'il n'était qu'une ombre et elle qu'une clarté.
Quand la guerre ce fut finie, les gens disaient merci
Pour les poèmes sur les armes et sa facilité de la poésie
Le monde était à ses petits pieds
Le monde disait merci sur ses poèmes de la liberté