La lustre à éclairée, puis s'est éteint,
Le foyer de mon âme aux mille teintes.
Rayons taquins, entrechats et feintes
L'ont dévoilés, aventure, jusque ses confins.
Des hauts et des bas, ils ont dévalés ses pentes,
Mis en lumière ses abymes,
Mis en perspective ses cimes,
Révélés de nouvelles sentes.
Printemps de la vie, la lumière revient.
Lustre revit, lui qui s'était éteint.
Ces flammes semblent à nulle pareille, illusions.
Réveillent en moi les mânes de la passions
Le foyer de mon âme aux mille teintes.
Rayons taquins, entrechats et feintes
L'ont dévoilés, aventure, jusque ses confins.
Des hauts et des bas, ils ont dévalés ses pentes,
Mis en lumière ses abymes,
Mis en perspective ses cimes,
Révélés de nouvelles sentes.
Printemps de la vie, la lumière revient.
Lustre revit, lui qui s'était éteint.
Ces flammes semblent à nulle pareille, illusions.
Réveillent en moi les mânes de la passions