La lune s’est cachée pour admirer la poésie de ta Beauté
La lune s’est cachée
ce matin derrière les arbres,
puis s’est attardée pour te contempler,
et admirer la poésie saphique de ta Beauté.
ce matin derrière les arbres,
puis s’est attardée pour te contempler,
et admirer la poésie saphique de ta Beauté.
Ô Toi la Muse, ma Sirène, ma Vestale,
donne-moi les diamants de ta douceur,
donne-moi l’ivresse de ta Lumière,
les feux de ta joie retentissent
donne-moi les diamants de ta douceur,
donne-moi l’ivresse de ta Lumière,
les feux de ta joie retentissent
sur les pages des jours et des saisons.
Je désire tant habiter ton visage,
et me vêtir de ta peau de splendeur,
je chemine au son de ta voix d’eau,
Je désire tant habiter ton visage,
et me vêtir de ta peau de splendeur,
je chemine au son de ta voix d’eau,
je placarde ton nom de baptême
dessus les bocages de la terre,
et de l’Univers, moi qui ne suis rien,
daigne-toi te pencher
sur le Soleil de mon Amour,
laisse-moi te vénérer,
bénir les fleurs que tu respires,
et humer les parfums des robes que tu portes.
dessus les bocages de la terre,
et de l’Univers, moi qui ne suis rien,
daigne-toi te pencher
sur le Soleil de mon Amour,
laisse-moi te vénérer,
bénir les fleurs que tu respires,
et humer les parfums des robes que tu portes.
Les ailes de tes bras m’enveloppent,
et me bercent dès que
je suis malheureuse, ou
que j’ai le coeur éperdu de liesse,
et me bercent dès que
je suis malheureuse, ou
que j’ai le coeur éperdu de liesse,
prends-moi maintenant,
possède-moi, je l’exige,
et je
deviendrai Tienne !
possède-moi, je l’exige,
et je
deviendrai Tienne !
Sophie Rivière