Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

La ligne blanche mortelle de la liberté.

parshok

Nouveau poète
#1

« Je suis partit ce matin âpres avoir parcouru cette ligne blanche. Je me suis envolé laissant derrière moi la douceur de tes seins.
Asphyxié par l'ambiance je me suis échappé de ce monde, délivré de ton parfum me revoilà serein.
L'addiction me domine mais sans cette pourriture mon existence inexpliquée ne serait que torture.
Et comme un con chaque matin je reprends le chemin blanc de l'extase, conscient de la part de vie que je détruis a chaque trajet.
Impossible d'y échapper cette phase est devenu mon culte, mon rythme cardiaque, car je tourne sans un bruit loin de tes bras dans monde sans fond.
Drogué, mourant, suicidaire... Nan je vis, je m'explose, je surpasse l'orgasme que procure le sexe. Je suis en transe des le matin et retombe le soir parmi vous. Mon monde n'a aucune limite de temps ni d'espace, ni d'autre règles que celles de mon subconscient.


Je coitoie le bonheur et le malheur en meme temps, je rie des ma tristesse, alors que mes reves me terrifient.
Seul dans une impasse je m'évade de ma vie, cour vers les frontières qui me sépare de la liberté et qui m'emmèneront loin de cet asile ou je ne suis qu'un patient.



Voila pourquoi ma vie auprès de toi est impossible car je vis dans un monde que tu n’imagine même pas et que tu ne pourras jamais atteindre»


Ce "poeme" est en rapport a une histoire que j'écris ayant le meme nom que cet ecrit.
 
#3
Cool? Je ne dirai pas ça comme ça...Durserait je crois plus approprié comme terme...La ligne blanche de la liberté risque fort d'être celle qui te donnera la liberté de mourir si tu ne fais pas gaffe..."J'ai enterré mes petits frères" à cause de cette putain de ligne blanche....C'est une torture de chaque seconde que de devoir vivre sans....Amicales pensées....