Là-haut.....
Notre île n'est pas cernée par les eaux.
Elle flotte, tel un nuage dans les airs,
Se mouvant doucement, doux repaire.
Aucune vie n'est possible, si ce n'est là-haut !
Le soleil s'étiole, se meurt, s'éteint.
Notre survie dépend de ses faibles chaleurs,
Les hommes se sont rapprochés sans peurs,
Nouvelle vie au paysage repeint.
Les arbres aux ramages parmes,
Forment des refuges, rassurants, douillets,
Où les enfants se regroupent, guillerets,
Pour leurs leçons, données par la "pierre de charmes".
Je suis la "mère" de cette île flottante,
Mon rôle est d'aider ces petits à grandir,
Dans le respect de la nature, de leur devenir,
A l'abris du passé, qui tant nous hante.
La technologie est bannie de notre vie.
Notre ancien monde en a trop souffert,
Au point de se détruire, d'où ce transfert,
Nous vivons simplement mais avec envie.
Les habitations sont de lierres enlacés.
Le mobilier de bois, les vêtements de lin.
Tout est fait de nos mains, même le velin,
La nature nous donne, généreuse, les nécessités.
Nos rivières sont fraîches et nourricières,
Nos champs blonds et dorés,
Nos fruits gorgés de sucre rosé,
Notre existence est princière.
La "pierre de charmes", divulgue ses secrets,
Notre passé est prudemment relaté,
Afin de préserver notre avenir fragilisé.
Fautes des hommes, cupidité, intérêts.
Chaque île represente les étapes essentielles,
De l'enfance au trépas, dans la sérénité retrouvée.
Nos déplacements sont guidés par nos pensées,
Aidés pour cela par nos ancêtres immatériels.
Nul ne sait combien il nous reste de temps.
Nous faisont notre vie au jour le jour,
Nous nous aimons et ce pour toujours,
Priant le soleil de vivre pour nous longtemps.
Notre île n'est pas cernée par les eaux.
Elle flotte, tel un nuage dans les airs,
Se mouvant doucement, doux repaire.
Aucune vie n'est possible, si ce n'est là-haut !
Le soleil s'étiole, se meurt, s'éteint.
Notre survie dépend de ses faibles chaleurs,
Les hommes se sont rapprochés sans peurs,
Nouvelle vie au paysage repeint.
Les arbres aux ramages parmes,
Forment des refuges, rassurants, douillets,
Où les enfants se regroupent, guillerets,
Pour leurs leçons, données par la "pierre de charmes".
Je suis la "mère" de cette île flottante,
Mon rôle est d'aider ces petits à grandir,
Dans le respect de la nature, de leur devenir,
A l'abris du passé, qui tant nous hante.
La technologie est bannie de notre vie.
Notre ancien monde en a trop souffert,
Au point de se détruire, d'où ce transfert,
Nous vivons simplement mais avec envie.
Les habitations sont de lierres enlacés.
Le mobilier de bois, les vêtements de lin.
Tout est fait de nos mains, même le velin,
La nature nous donne, généreuse, les nécessités.
Nos rivières sont fraîches et nourricières,
Nos champs blonds et dorés,
Nos fruits gorgés de sucre rosé,
Notre existence est princière.
La "pierre de charmes", divulgue ses secrets,
Notre passé est prudemment relaté,
Afin de préserver notre avenir fragilisé.
Fautes des hommes, cupidité, intérêts.
Chaque île represente les étapes essentielles,
De l'enfance au trépas, dans la sérénité retrouvée.
Nos déplacements sont guidés par nos pensées,
Aidés pour cela par nos ancêtres immatériels.
Nul ne sait combien il nous reste de temps.
Nous faisont notre vie au jour le jour,
Nous nous aimons et ce pour toujours,
Priant le soleil de vivre pour nous longtemps.
