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+*+*+ La débâcle d'une vie +*+*+

#1
image.jpg

Réveil perturbé, envi de m'échapper,

Café serré, pensées oppressées,

Habillage précipité, peu coloré,

Mouvements bloqués, tétanisés,

Amnésie de mes fonctionnalités,

Perte de liberté, de dignité...

Dépourvu de sentiments,

État d'épuisement,

Besoin de calmants,

Nécessité d'enfermement,

Dernier assoupissement...
 
Dernière édition:

veretbleu

Poète libéré
#6
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Réveil perturbé, envi de m'échapper,

Café serré, pensées oppressées,

Habillage précipité, peu coloré,

Mouvements bloqués, tétanisés,

Amnésie de mes fonctionnalités,

Perte de liberté, de dignité...

Dépourvu de sentiments,

État d'épuisement,

Besoin de calmants,

Nécessité d'enfermement,

Dernier assoupissement...
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Réveil perturbé, envi de m'échapper,

Café serré, pensées oppressées,

Habillage précipité, peu coloré,

Mouvements bloqués, tétanisés,

Amnésie de mes fonctionnalités,

Perte de liberté, de dignité...

Dépourvu de sentiments,

État d'épuisement,

Besoin de calmants,

Nécessité d'enfermement,

Dernier assoupissement...
Très touchant
 
#8
Quand l'oppression des maux est dépression des mots.
Tu décris là un immense mal-être avec une force pénétrante de détresse,
un état de l'être qui s'éteint avec pour seul et unique sensoriel, celui de ressentir sa douleur inaudible aux sens communs.
Des portes closes à jamais se referment et se resserrent tout autour de lui, le sol et le plafond viennent se joindre à son cri,
un cri de l'âme résonnant dans une intériorité figée, dans l'impossibilité de se libérer d'un écho sur la Réalité, qui elle, s'est comme enfuie de l'autre côté, apeurée à jamais.
Un cri sur le point de s'étouffer en silence, dans un ailleurs inaccessible à la Vie.
Mes Amitiés t'accompagnent, sous de belles couleurs d'encouragements.
 
#9
Quand l'oppression des maux est dépression des mots.
Tu décris là un immense mal-être avec une force pénétrante de détresse,
un état de l'être qui s'éteint avec pour seul et unique sensoriel, celui de ressentir sa douleur inaudible aux sens communs.
Des portes closes à jamais se referment et se resserrent tout autour de lui, le sol et le plafond viennent se joindre à son cri,
un cri de l'âme résonnant dans une intériorité figée, dans l'impossibilité de se libérer d'un écho sur la Réalité, qui elle, s'est comme enfuie de l'autre côté, apeurée à jamais.
Un cri sur le point de s'étouffer en silence, dans un ailleurs inaccessible à la Vie.
Mes Amitiés t'accompagnent, sous de belles couleurs d'encouragements.
C'est tout a fait ça voile bleu, c'est vraiment mon ressenti, la chute jours après jours toujours plus bas sans voir un rayon de lumière auquel se raccroché...
 
N

Nayla

Guest
#10
je ne clique pas sur"j aime"car je n aime pas les descentes!et à tous la possibilité de gravir les hauteurs nous est accessible,il vous suffirait juste un petit effort,un petit sourire(meme pas frais!),de vous dire qu il n ya que vous qui puissiez regarder le ciel,et au loin scintillera l etoile de l espoir.
je n aime pas cette faiblesse,ce mal etre,bougez vous
on a tous traversé un jour ou l autre des moments de detresses extremes
à vous de vous relever
à vous de vous dire que la vie c est des hauts,surtout des bas
et dans l infime de ses hauts,il ya une part de bonheur pour vous,meme si c est pas evident,faites le premier pas,car on a beau vous lire,vous ecrire,vous seul gachez votre vie.
je m adresse à vous en prenant une certaine liberté,parce que je suis maman avec des enfants de votre age aussi!
du coeur
bisou de nayla