C'est partit d'un simple regard,
De la vie à travers le miroir,
Et c'est finit par un séjour,
Là où personne ne voit le jour.
Sur la rivières des damnés,
Nul rivages à l'horizon,
Les morts qui hurlaient,
Dans la vallée mon nom.
Dans las déchirure du temps,
L'on passe le cap de l'obscurité,
Pénétrant dans l'abysse cachée,
Sortant de l'oeil de l'ouragan.
Sombrant dans un cauchemar,
Un cauchemar infini,
Le rêve s'endort au hasard,
Au hasard d'une utopie.
Devant le trône de Satan,
M'avançant les yeux fermés,
Puis m'arrêtais un instant,
Avant de trépasser.
La puissance des Dieux,
Ne servirait à rien,
L'espoir dans les yeux,
Ne serait que vain.
Il n'y a plus que de songes,
Des âmes érant dans un vide,
Au milieu de la tristesse et des mensonges,
Je navigue dans la chimie et l'acide.
Le ciel se fend en deux,
L'abîme s'accroit jusqu'aux souvenirs,
Le damné n'a plus qu'à faire ses adieux,
De sombré dans le néant et de mourir.
De la vie à travers le miroir,
Et c'est finit par un séjour,
Là où personne ne voit le jour.
Sur la rivières des damnés,
Nul rivages à l'horizon,
Les morts qui hurlaient,
Dans la vallée mon nom.
Dans las déchirure du temps,
L'on passe le cap de l'obscurité,
Pénétrant dans l'abysse cachée,
Sortant de l'oeil de l'ouragan.
Sombrant dans un cauchemar,
Un cauchemar infini,
Le rêve s'endort au hasard,
Au hasard d'une utopie.
Devant le trône de Satan,
M'avançant les yeux fermés,
Puis m'arrêtais un instant,
Avant de trépasser.
La puissance des Dieux,
Ne servirait à rien,
L'espoir dans les yeux,
Ne serait que vain.
Il n'y a plus que de songes,
Des âmes érant dans un vide,
Au milieu de la tristesse et des mensonges,
Je navigue dans la chimie et l'acide.
Le ciel se fend en deux,
L'abîme s'accroit jusqu'aux souvenirs,
Le damné n'a plus qu'à faire ses adieux,
De sombré dans le néant et de mourir.