L’étui aux vêpres !
Peu importe la douleur, il est las, il détend,
Certains font des têtes de pieux pour les vêpres,
Le pasteur est un métier de mots surtout de faux prêtres,
Qui rêvent de recherche qu'il faut aux patients.
Découvrir l’étui aux vêpres, c 'est un gros présent,
Dépourvu d'humour, mais de joies un peu rares,
Il semble même qu’il développe, d’in explicites tares,
Des ruptures, des culs bénis, juges incompétents,
Lectrice depuis tant d'années, ceci est un cadeau,
Déporter tous tes maux et tes mauvaises nouvelles,
Me rendait bonheur, pour fourmiller de la belle,
Le rentier te fait voir le côté joyeux, à fleur de joyaux.
Te souviens-tu d'une balade vitale de mon numéro,
C’est congru ! Décompte tes meubles dévoyés en silhouette,
Pour t’assurer maintenant, bien forcé, comme soeurette,
Qu'une fille, face en sorte qu'elle te regarde, début d'allégro.
Je déjoue tous les recteurs sans élan de générosité,
A chaque châtiment, j'ai repris tes ors et ma tarte fut émise,
Le reste n’est qu’un peu fou, sans rouiller ma maîtrise,
Je sais, que je ce jour là, j'ai pris le drôle de bons faits.,
Ceci n'est que notre petite histoire fait sans boucan,
C'est gai de revoir que demain, on aura mains amicales,
Quand les feintes refusent au tributaire l’abbatiale,
Eh ! Oui l'amie, remet donc les erreurs en agençant.
Je dis que les recteurs sont de vrais nuls, issus du néant,
Le tien est un vieux ou s’appuie ton sein, un idiot éternel, que dire ?
Ils ont vite fait de radoter avec des chansons et de médire,
Mais celui sans sacerdoce, cherche à démettre les élégants.
Tout ceci pour vous dire que l’étui aux vêpres fait fureur,
Qui hante nos idées, c'est vraiment notre hantise,
Quand le voyage en épîtres nous angoisse nous ôte nos balises,
Qui dérange, mais je pense que l’être factice signe sa couleur.
PS… ABSOLUTION DE L’ETUI AUX VÊPRES. (Salade inconnue)