On s'est aventurés aux abords du canal
En faisant voyager nos idées et pensées
Dans l'air de cette source où on a fait escale
Pour porter à nos yeux un écrin de gaité.
Bavarder, échanger, observer la nature
Ouïr le savoir de notre druide herboriste
Pour offrir à nos sens une jolie parure
Qui détruirait un temps tout ce qui nous attriste.
Nous avons partagé, ensemble, un doux moment
Pour pouvoir s'évader dans un rêve éveillé
Car Gaïa sait dépeindre en ses refrains chantants
Des moments printaniers aux desseins colorés.
Qui octroient à nos cœurs un envol enjôleur
Devenant les acteurs de ce tableau mouvant
Pour en faire, sous notre art, un instant de candeur
Baigné par les valeurs de cet art verdoyant.
Elle nous a portés vers un de ses présents
Un bijou naturel oublié par beaucoup
Mais qui devrait pourtant demeurer dans nos chants
Afin de rendre hommage à ce joli redoux.
Ce tendre siroco sous l’air des violons
Que versifient sans fin de bien nombreux poètes
Est le plus beau des rus pour l’inspiration
Que j’aime ressentir dans mon âme d’arpète.
Chaque fois que je lis des quatrains et des vers
Je me rejoue la scène afin que l’air m’anime
Pour qu’Orphée, de sa lyre, en son art de trouvère
M’affuble de sa source où je puise mes rimes.
La lyre dans la main j’aime tant voyager
Pour scander des sonnets, et rondeaux imagés
Pour lui confesser tout ce qu’elle m’a donné
Mais si insuffisant pour la remercier.
Sur ce qu’elle nous crée pour pouvoir se repaître
De tous ces ornements afin d’en profiter
Qu’on tend à oublier où que l’on croit connaître
Pour toujours appéter nos curiosités.
Alors sans hésiter continuons cet air
Tout en le respirant au rythme de nos cœurs
Pour offrir à Gaïa cette hymne salutaire
Et à nous, ingénues, ses plus belles lueurs.
Afin de tisser des liens dans ses valeurs
Pour tenter de croquer l’esprit de ce projet
Qui j’espère tiendra, car c’est un grand honneur
Que de pouvoir humer son inspirant fumet.
Le sens que chacun cherche à transmettre à son art
Pour que demeure ainsi bonne humeur et partage
Découvrant les savoirs, passions, des grimoires
De chaque âme octroyant le plus beau des présages :
Le sens de ces circuits en ces sites de rêves
Que l’on fait et fera, mois par mois, en ses sols
Emplis d’émotions pour que rien ne s’achève
Et conter nous aussi nos lyriques oboles.
Afin de croquer en ces fables séculaires
Les émois de nos cœurs au creux de nos talents
Pour mêler nos esprits à ce vol de lumière
Et faire de nos chants les plus beaux des allants.
Tels sont les cadeaux que nous offre la nature
Si l’on sait écouter, en silence, patiemment
Tous ces petits secrets pigmentant sa parure
Et qui sont loin, très loin, d’être insignifiants.
Récompensant toujours nos côtés curieux
Car sa noblesse nous offre de quoi survivre
Dans ses danses chantées aux décors radieux
Evoquant son amour qui chaque jour m’enivre.
Voilà ce que m’octroie Gaïa depuis toujours
Le plus beau des cadeaux : ces émois rédempteurs
Que ses tableaux m’allouent depuis mes premiers jours
Et où perlent sans fin les rimes de mon cœur.
Oiseau Lyre.
En faisant voyager nos idées et pensées
Dans l'air de cette source où on a fait escale
Pour porter à nos yeux un écrin de gaité.
Bavarder, échanger, observer la nature
Ouïr le savoir de notre druide herboriste
Pour offrir à nos sens une jolie parure
Qui détruirait un temps tout ce qui nous attriste.
Nous avons partagé, ensemble, un doux moment
Pour pouvoir s'évader dans un rêve éveillé
Car Gaïa sait dépeindre en ses refrains chantants
Des moments printaniers aux desseins colorés.
Qui octroient à nos cœurs un envol enjôleur
Devenant les acteurs de ce tableau mouvant
Pour en faire, sous notre art, un instant de candeur
Baigné par les valeurs de cet art verdoyant.
Elle nous a portés vers un de ses présents
Un bijou naturel oublié par beaucoup
Mais qui devrait pourtant demeurer dans nos chants
Afin de rendre hommage à ce joli redoux.
Ce tendre siroco sous l’air des violons
Que versifient sans fin de bien nombreux poètes
Est le plus beau des rus pour l’inspiration
Que j’aime ressentir dans mon âme d’arpète.
Chaque fois que je lis des quatrains et des vers
Je me rejoue la scène afin que l’air m’anime
Pour qu’Orphée, de sa lyre, en son art de trouvère
M’affuble de sa source où je puise mes rimes.
La lyre dans la main j’aime tant voyager
Pour scander des sonnets, et rondeaux imagés
Pour lui confesser tout ce qu’elle m’a donné
Mais si insuffisant pour la remercier.
Sur ce qu’elle nous crée pour pouvoir se repaître
De tous ces ornements afin d’en profiter
Qu’on tend à oublier où que l’on croit connaître
Pour toujours appéter nos curiosités.
Alors sans hésiter continuons cet air
Tout en le respirant au rythme de nos cœurs
Pour offrir à Gaïa cette hymne salutaire
Et à nous, ingénues, ses plus belles lueurs.
Afin de tisser des liens dans ses valeurs
Pour tenter de croquer l’esprit de ce projet
Qui j’espère tiendra, car c’est un grand honneur
Que de pouvoir humer son inspirant fumet.
Le sens que chacun cherche à transmettre à son art
Pour que demeure ainsi bonne humeur et partage
Découvrant les savoirs, passions, des grimoires
De chaque âme octroyant le plus beau des présages :
Le sens de ces circuits en ces sites de rêves
Que l’on fait et fera, mois par mois, en ses sols
Emplis d’émotions pour que rien ne s’achève
Et conter nous aussi nos lyriques oboles.
Afin de croquer en ces fables séculaires
Les émois de nos cœurs au creux de nos talents
Pour mêler nos esprits à ce vol de lumière
Et faire de nos chants les plus beaux des allants.
Tels sont les cadeaux que nous offre la nature
Si l’on sait écouter, en silence, patiemment
Tous ces petits secrets pigmentant sa parure
Et qui sont loin, très loin, d’être insignifiants.
Récompensant toujours nos côtés curieux
Car sa noblesse nous offre de quoi survivre
Dans ses danses chantées aux décors radieux
Evoquant son amour qui chaque jour m’enivre.
Voilà ce que m’octroie Gaïa depuis toujours
Le plus beau des cadeaux : ces émois rédempteurs
Que ses tableaux m’allouent depuis mes premiers jours
Et où perlent sans fin les rimes de mon cœur.
Oiseau Lyre.
Pièces jointes
Dernière édition:
