L’humour de la saint Valentin
Pour faire une préface,
Nous nous mîmes face à face,
Ensemble pour sa fête,
On a fait un tête à tête,
Et pas besoin de décors,
Pour faire un corps à corps,
Ça y est on commence, on joue,
Par des petites bise sur les joues,
Et pour en faire un bon coup,
Je descendis doucement vers son cou,
Car pour cette saint valentin,
Ses beaux seins valent en tain,
N’attendons pas demain,
Pour un jeu à deux mains,
Et je deviens fébrile,
Car j’arrive vers son nombril,
Pour elle, c’est dimanche,
Car je suis sur ses hanches,
Et avec mille caresses,
Tâte la tendresse de ses fesses,
Vers son antre elle me conduit,
J’entre dans son petit conduit,
A la naissance de ses jambes,
Vers sa petite amande,
Enfin las du petit bijou,
J’suis un peu sur les genoux,
C’est vrai, il faut être sage,
Car nous deux, on prend de l’âge,
On termine d’un commun accord,
En frottant amoureusement nos cors à cors.
Pour faire une préface,
Nous nous mîmes face à face,
Ensemble pour sa fête,
On a fait un tête à tête,
Et pas besoin de décors,
Pour faire un corps à corps,
Ça y est on commence, on joue,
Par des petites bise sur les joues,
Et pour en faire un bon coup,
Je descendis doucement vers son cou,
Car pour cette saint valentin,
Ses beaux seins valent en tain,
N’attendons pas demain,
Pour un jeu à deux mains,
Et je deviens fébrile,
Car j’arrive vers son nombril,
Pour elle, c’est dimanche,
Car je suis sur ses hanches,
Et avec mille caresses,
Tâte la tendresse de ses fesses,
Vers son antre elle me conduit,
J’entre dans son petit conduit,
A la naissance de ses jambes,
Vers sa petite amande,
Enfin las du petit bijou,
J’suis un peu sur les genoux,
C’est vrai, il faut être sage,
Car nous deux, on prend de l’âge,
On termine d’un commun accord,
En frottant amoureusement nos cors à cors.