L’Esteron.
L’eusses-tu cru ? Ma p’tite maison au bord de l’eau,
Entre pluie et soleil, son cours s’enfle ou s’enfuit
Mon torrent s’en va rejoindre le var alangui,
Ses clues entre berges et rochers, rien de plus beau.
Erodant, transformant les rochers en berceau,
Scrutant de ma fenêtre les ondes de son lit,
J’apprécie son calme, d’une sieste, je l’anoblis,
J’y trouve sérénité loin du stress du bureau.
Seuls renards ou sangliers sont ses familiers,
Partageant aux chevreuils la nature à rallier,
Ici, mon magique nirvana, je vous le dis.
En foret où rivière, la retraite j’envisage,
Un hameau situé loin du monde, bien plus sage,
Sur ces rives, d’y construire mon petit paradis.
L’eusses-tu cru ? Ma p’tite maison au bord de l’eau,
Entre pluie et soleil, son cours s’enfle ou s’enfuit
Mon torrent s’en va rejoindre le var alangui,
Ses clues entre berges et rochers, rien de plus beau.
Erodant, transformant les rochers en berceau,
Scrutant de ma fenêtre les ondes de son lit,
J’apprécie son calme, d’une sieste, je l’anoblis,
J’y trouve sérénité loin du stress du bureau.
Seuls renards ou sangliers sont ses familiers,
Partageant aux chevreuils la nature à rallier,
Ici, mon magique nirvana, je vous le dis.
En foret où rivière, la retraite j’envisage,
Un hameau situé loin du monde, bien plus sage,
Sur ces rives, d’y construire mon petit paradis.
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