L’esprit poétique de l’oiseau bleu.
- Auteur de la discussion Maurice Marcouly
- Date de début
Clairvoyant, provocateur, espiègle, érudit, humble, taquin, talentueux, génie incomparable, visionnaire
Tu es la source, faire mieux que toi est un exploit impossible
Pour faire mieux que toi, il faut savoir la transparence de la rosée
Des arbres centenaires, la sagesse et la félicité invisible
Le sensible et la clairvoyance, la bienveillance et l'insoumission, de la rareté l'originalité
Pour faire mieux que toi, homme humble et pur
Il faut savoir que comparer est une erreur du cerveau
Car le cerveau sait nous mentir, Poète aux yeux d'émaux
Pour faire mieux que toi, il faut caresser le piano de Chopin
Se réveiller à Opéra, et boire un café à Montmartre
L'âme entière dans les poches à tableau d'un pèlerin
Pour faire mieux que toi, il faut être un Gainsbourg, réincarnation d'âme élevée
il faut être le Roy des Gardians, de la Camargue sauvage
Murmurer à l'oreille des chevaux, que c'est beau la voie lactée
Connaître la langue divine du coeur, et peindre d'Or d'une Femme le visage
Mon Serge, Mon Arthur, écriture automatique, Belle journée Poète que j'admire d'affinité poétique et d'amitié
je te souris, ainsi qu'à la Femme que tu as aimé, et que tu aimera toute ta vie, jusqu'à ton dernier souffle
car si on aime plusieurs fois dans une vie, Mais on n'a qu'un Amour, toi et moi le savons, est-ce bien raisonnable de l'écrire, oui , car nous sommes les insoumis du monde virtuel, et aimons partager notre savoir en toute modestie,
l'expérience ne sert à rien, c'est l'instinct qu'il faut dorloter il nous sauve de tous les dangers
Donne à lire ce que tu veux m'écrivais, notre Cher Ami commun, texte éphémère ou parchemin bleu, j'étais à Opéra pour la journée, tu m'as sauvé, je crois que je suis amoureuse, je ne sais qu'aimer.
La Vagabonde de la Poésie
Plus que ce passage sublime de ta plume flattant dans tous les sens mon humble personnage, je retiens une leçon d’écriture
riche en détails en corps et avant tout en âme.
Comment ne pas succomber au charme de ta plume féminine chère Paule, nul ne sait mieux que toi empaqueter les douces lignes charmeuses un merveilleux cadeau.
Je reste subjugué comme le serpent à sonnette face à son charmeur muni de son pungi!
Alors pas de fausse modestie, comment vais-je pouvoir sortir. sans séquelles de ce flots de pensées écrites avec ton cœur chère Paule?
Mon égocentrisme est désormais à son apogée!.
Il va encore me jouer des tours!…sourires
Je vais encore entendre l’écho de mes égaux
porté à son paroxysme!.
Mais tu le sais très bien, rien ne pourra m’éloigner d’une ligne qui sans être parfaite,
me permet d’avancer à la manière d’un astre
qui prend soin d’éviter tous les désastres.
Le vide sidéral qui m’entoure m’empreint de vertiges.
Il me faut cependant essayer de conjuguer avec lui, pour éviter les gouffres amers, face à un univers où les vers ont des revers versatiles.
Encore merci, chère et grande poétesse, je ne saurais te quitter sans t’offrir ma phrase fétiche légèrement modifiée en ton honneur, tu l’as mérites tant!
Paule, tes mots ont charmé mes yeux, et leur mélodie a parlé directement à mon âme sa langue divine.
Accepte mes bises ailés par instinct…
Ton modeste ami…?!…sourires
Momo l’enfant terrible.
riche en détails en corps et avant tout en âme.
Comment ne pas succomber au charme de ta plume féminine chère Paule, nul ne sait mieux que toi empaqueter les douces lignes charmeuses un merveilleux cadeau.
Je reste subjugué comme le serpent à sonnette face à son charmeur muni de son pungi!
Alors pas de fausse modestie, comment vais-je pouvoir sortir. sans séquelles de ce flots de pensées écrites avec ton cœur chère Paule?
Mon égocentrisme est désormais à son apogée!.
Il va encore me jouer des tours!…sourires
Je vais encore entendre l’écho de mes égaux
porté à son paroxysme!.
Mais tu le sais très bien, rien ne pourra m’éloigner d’une ligne qui sans être parfaite,
me permet d’avancer à la manière d’un astre
qui prend soin d’éviter tous les désastres.
Le vide sidéral qui m’entoure m’empreint de vertiges.
Il me faut cependant essayer de conjuguer avec lui, pour éviter les gouffres amers, face à un univers où les vers ont des revers versatiles.
Encore merci, chère et grande poétesse, je ne saurais te quitter sans t’offrir ma phrase fétiche légèrement modifiée en ton honneur, tu l’as mérites tant!
Paule, tes mots ont charmé mes yeux, et leur mélodie a parlé directement à mon âme sa langue divine.
Accepte mes bises ailés par instinct…
Ton modeste ami…?!…sourires
Momo l’enfant terrible.
Dernière édition:
on peut toujours faire mieux
maintenant il te reste à le chanter en faisant cuicui pour faire envoler tes mots,
et si tu veux un petit court de prosodie pour correction les puristes trouveront toujours à redire,
moi j'ai repéré une erreur ou deux mais je m'en fous ce qui m'importe le plus c'est le fond et le rendu poétique,
les règles c'est fait pour être dérèglées, et dire ce sont des conneries comme dire je les maîtrise c'est de la frime
petit oiseau bleu tu cherches ton image dans le regard des autres attention le chat va te manger
maintenant il te reste à le chanter en faisant cuicui pour faire envoler tes mots,
et si tu veux un petit court de prosodie pour correction les puristes trouveront toujours à redire,
moi j'ai repéré une erreur ou deux mais je m'en fous ce qui m'importe le plus c'est le fond et le rendu poétique,
les règles c'est fait pour être dérèglées, et dire ce sont des conneries comme dire je les maîtrise c'est de la frime
petit oiseau bleu tu cherches ton image dans le regard des autres attention le chat va te manger
on peut toujours faire mieux
maintenant il te reste à le chanter en faisant cuicui pour faire envoler tes mots,
et si tu veux un petit court de prosodie pour correction les puristes trouveront toujours à redire,
moi j'ai repéré une erreur ou deux mais je m'en fous ce qui m'importe le plus c'est le fond et le rendu poétique,
les règles c'est fait pour être dérèglées, et dire ce sont des conneries comme dire je les maîtrise c'est de la frime
petit oiseau bleu tu cherches ton image dans le regard des autres attention le chat va te manger
maintenant il te reste à le chanter en faisant cuicui pour faire envoler tes mots,
et si tu veux un petit court de prosodie pour correction les puristes trouveront toujours à redire,
moi j'ai repéré une erreur ou deux mais je m'en fous ce qui m'importe le plus c'est le fond et le rendu poétique,
les règles c'est fait pour être dérèglées, et dire ce sont des conneries comme dire je les maîtrise c'est de la frime
petit oiseau bleu tu cherches ton image dans le regard des autres attention le chat va te manger
Effectivement on peut toujours mieux faire!.
C’est ce que se disaient Gustave Flaubert ou William shakespeare qui ne manquaient pas d’esprit.
Flaubert le puriste qui s’en est voulu d’avoir mis à la suite deux génitifs dans son roman Madame Bovary.
Il ne se remettra jamais cette erreur de style qui l’accompagnera jusque dans sa tombe.
Il écrit dans son roman : et sur sa tombe "une couronne De fleurs D’oranger"…erreur de style monumentale pour lui!.
C’était un travailleur acharné!…imagine un peu 7 lignes en 24 heures passées au gueloir!.
Il écrit à son amie : "je suis épuisé, je travaille comme un malade que dis-je un forçat!".
Les puristes ont souvent le défaut majeur d’écrire en oubliant une chose essentielle, qui est que l’écrit doit avoir une âme.
On en a déjà discuté ensembles les règles sont venues tardivement plomber la poésie, c’est pour cette raison que beaucoup de grands poètes l’ont abandonnée au profit d’une prose plus intuitive, moins contraignante et aussi belle quand elle est
posée avec art!.
Verlaine a même poussé le bouchon avec son sonnet boiteux.
Rimbaud a vite cessé d’écrire en vers.
Je me contente pour ma part d’une écriture automatique la plupart du temps, je sais l’organiser sans me prendre la tête.
Cependant je fais l’effort nécessaire pour rehausser mon niveau dans ce qui me tient à cœur, et qui concerne mes pensées, largement à l’honneur sur Créa.
Écrire à la perfection demande un effort colossal, c’est pour cette raison, que plombé d’un tempérament moyennement courageux j’évite le surmenage cérébral qui conduit on le sait le plus souvent à l’apoplexie!…n’est-ce pas cher Gustave
Flaubert?.
Bonne journée Cher Zuc et surtout écris l’esprit libéré sans te poser trop de questions, à l’instar de ces chers puristes, que je peux à loisir démonter!..,sourires
Je ne me relis pas, je pense avoir été un peu trop bavard!.
Ah oui l’esprit ailé, n’a pas peur des chats aussi noirs soient-ils, c’est ce que j’écris dans ce modeste poème!.
Momo
Dernière édition:
Sonnet boiteux de Paul Verlaine!.
Ah ! vraiment c'est triste, ah ! vraiment ça finit trop mal,
Il n'est pas permis d'être à ce point infortuné.
Ah ! vraiment c'est trop la mort du naïf animal
Qui voit tout son sang couler sous son regard fané.
Londres fume et crie. O quelle ville de la Bible !
Le gaz flambe et nage et les enseignes sont vermeilles.
Et les maisons dans leur ratatinement terrible
Epouvantent comme un sénat de petites vieilles.
Tout l'affreux passé saute, piaule, miaule et glapit
Dans le brouillard rose et jaune et sale des Sohos
Avec des "indeeds" et des "all rights" et des "haôs".
Non vraiment c'est trop un martyre sans espérance,
Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c'est triste
O le feu du ciel sur cette ville de la Bible !.
" le Sonnet boiteux" est un sonnet de la déchéance de Verlaine au moment de sa rupture avec Rimbaud. C'est un martyr qui apparaît ici, qui se plaint de ses persécutions, qui pense qu'il ne mérite pas les souffrances qui l'accablent et qu'il n'est pas responsable. Le coupable, c'est la ville, avec ses tentations, qui est responsable de ses errances et de ses perversités. "Sonnet boiteux" est une fois de plus une poésie qui utilise tous les artifices visuels et sonores pour nous dépeindre l'état d'âme tourmenté de notre poète.
Ah ! vraiment c'est triste, ah ! vraiment ça finit trop mal,
Il n'est pas permis d'être à ce point infortuné.
Ah ! vraiment c'est trop la mort du naïf animal
Qui voit tout son sang couler sous son regard fané.
Londres fume et crie. O quelle ville de la Bible !
Le gaz flambe et nage et les enseignes sont vermeilles.
Et les maisons dans leur ratatinement terrible
Epouvantent comme un sénat de petites vieilles.
Tout l'affreux passé saute, piaule, miaule et glapit
Dans le brouillard rose et jaune et sale des Sohos
Avec des "indeeds" et des "all rights" et des "haôs".
Non vraiment c'est trop un martyre sans espérance,
Non vraiment cela finit trop mal, vraiment c'est triste
O le feu du ciel sur cette ville de la Bible !.
" le Sonnet boiteux" est un sonnet de la déchéance de Verlaine au moment de sa rupture avec Rimbaud. C'est un martyr qui apparaît ici, qui se plaint de ses persécutions, qui pense qu'il ne mérite pas les souffrances qui l'accablent et qu'il n'est pas responsable. Le coupable, c'est la ville, avec ses tentations, qui est responsable de ses errances et de ses perversités. "Sonnet boiteux" est une fois de plus une poésie qui utilise tous les artifices visuels et sonores pour nous dépeindre l'état d'âme tourmenté de notre poète.
La poésie doit rester poésie
et la prose, prose aussi
sinon nous allons retomber
à la mesquinerie d'un mot,
d'une lettre cachant la merveille.
L'écriture automatique est ton seul refuge
celui de l'âme sur l'instant même
toutes merveilles devient vermeil
Merci à toi , bises d'amitiés, poly
et la prose, prose aussi
sinon nous allons retomber
à la mesquinerie d'un mot,
d'une lettre cachant la merveille.
L'écriture automatique est ton seul refuge
celui de l'âme sur l'instant même
toutes merveilles devient vermeil
Merci à toi , bises d'amitiés, poly
Dernière édition:
effectivement débat récurrent ici et ailleurs,
l'oiseau comme le chat soyons libres,
moi les règles j'en joue c'est normal puisque je suis un chat, noir de surcroit
l'oiseau comme le chat soyons libres,
moi les règles j'en joue c'est normal puisque je suis un chat, noir de surcroit
L’enfant terrible de créa te salue le chat noir…
Bonne journée et merci pour ton ressenti.
Momo
