L’avenue, (pastiche en humour)
La vue d’un corps beau me glace,
Sur ces lombes, je veux encore m’écrouler,
Que se forment ses doux seins à leurs places,
Ce coin chaud que l’on veut bien aimer.
C’est dans le plus grand palace,
Sur cette chair perdue, riche d’éternité,
Septième ciel des corps face à face,
S’ouvrant au mieux, leurs mœurs démontées.
Assaillir, sans le sabre,
Sans ciel où sous un arbre,
Faut-il se fermer aux plaisirs et aux anges ?
Et s’il ne fait pas noir, faisons le dans la glèbe,
Autour des fleurs qui décorent nos couleurs,
Plus de mots, mais des gestes en grand nombre.
Luron1er
La vue d’un corps beau me glace,
Sur ces lombes, je veux encore m’écrouler,
Que se forment ses doux seins à leurs places,
Ce coin chaud que l’on veut bien aimer.
C’est dans le plus grand palace,
Sur cette chair perdue, riche d’éternité,
Septième ciel des corps face à face,
S’ouvrant au mieux, leurs mœurs démontées.
Assaillir, sans le sabre,
Sans ciel où sous un arbre,
Faut-il se fermer aux plaisirs et aux anges ?
Et s’il ne fait pas noir, faisons le dans la glèbe,
Autour des fleurs qui décorent nos couleurs,
Plus de mots, mais des gestes en grand nombre.
Luron1er