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L’avenue, (pastiche en humour)

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#1
L’avenue, (pastiche en humour)

La vue d’un corps beau me glace,
Sur ces lombes, je veux encore m’écrouler,
Que se forment ses doux seins à leurs places,
Ce coin chaud que l’on veut bien aimer.

C’est dans le plus grand palace,
Sur cette chair perdue, riche d’éternité,
Septième ciel des corps face à face,
S’ouvrant au mieux, leurs mœurs démontées.

Assaillir, sans le sabre,
Sans ciel où sous un arbre,
Faut-il se fermer aux plaisirs et aux anges ?

Et s’il ne fait pas noir, faisons le dans la glèbe,
Autour des fleurs qui décorent nos couleurs,
Plus de mots, mais des gestes en grand nombre.

Luron1er
 

lilasys

Maître Poète
#3
C'est un pastiche à qui et comment ....Je sais plus , je dois voir mes vieilleries !! MDR
mirion-malle-humour-femmes-blog.jpg

MEME DES FEMMES DISENT QUE LES FEMMES FONT PAS RIRE ...QUELLE ETROITESSE D'ESPRIT ...CIEL
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#5
Le passage, (mort)

Le cri du corbeau glace,
Sur ces tombes qui s’écroulent, oubliées
Où dorment, ceux qui n'ont plus leurs places,
Ce lieu froid que personne ne veut aimer.


Il est le plus grand palace,
Sur cette terre perdue, pauvre dévastée,
Vers le ciel ces corps montrent leurs faces,
Priant dieu d'ouvrir leurs cœurs pour l'éternité.


Investir, dans le marbre,
Sous le ciel, sous un arbre,
Est-il ouvert qu'aux naïfs, aux anges ?


Il paraît si noir dans les ténèbres,
Pourtant les fleurs s'écorent de couleurs,
Plus de mots, de maux ne seront sombres.


Lilasys