L’été au TNT
Pas de chichis, pas de crédit :
Quand c’est le flash, faut payer cash ;
L’amour carbure à l’aventure ;
L’archer nous cible et puis nous crible.
Autant le cuir[e] que le cœur,
Le battement des beaux amants
Est un été au TNT,
Un feu d’essence et de garance.
Baisers de rues, lèvres à la glu,
Mains qui se cherchent et peaux de pêches.
Aux bancs des parcs ou dans les flaques,
Pont d’Bir Hakeim : j’te dis « je t’aime ».
Mots sur tes seins, mains sur mes reins,
- Tu cries, je ris - je crie, tu ris -
Les lits d’hôtels sont immortels
Quand je gémis, que tu frémis.
Ton cardigan, mon beau caban,
Sont sur le sol, et on rigole,
Et on s’en fout des rendez-vous :
Deux libellules qui se brûlent.
Quand, sur nos corps, les asticots
Gigoteront aux doux girons
De ces passions que nous vivions,
Nous aurons joui de nos deux vies.
Aubépin des Ardrets
Pas de chichis, pas de crédit :
Quand c’est le flash, faut payer cash ;
L’amour carbure à l’aventure ;
L’archer nous cible et puis nous crible.
Autant le cuir[e] que le cœur,
Le battement des beaux amants
Est un été au TNT,
Un feu d’essence et de garance.
Baisers de rues, lèvres à la glu,
Mains qui se cherchent et peaux de pêches.
Aux bancs des parcs ou dans les flaques,
Pont d’Bir Hakeim : j’te dis « je t’aime ».
Mots sur tes seins, mains sur mes reins,
- Tu cries, je ris - je crie, tu ris -
Les lits d’hôtels sont immortels
Quand je gémis, que tu frémis.
Ton cardigan, mon beau caban,
Sont sur le sol, et on rigole,
Et on s’en fout des rendez-vous :
Deux libellules qui se brûlent.
Quand, sur nos corps, les asticots
Gigoteront aux doux girons
De ces passions que nous vivions,
Nous aurons joui de nos deux vies.
Aubépin des Ardrets
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