Un jour vous décidé de renier tout ce qui fait vos valeurs.
Vous vous sentez fatigué, épuisé ; votre vie n’a plus d’importance.
Vous en oublié vos enfants, vos amis, votre famille, les gens qui comptent pour vous.
Vous prenez la seule décision qui s’impose à vous.
Vous endormir pour ne jamais se réveiller.
Vous n’êtes ni folle, ni dérangé ; juste éreinté par cette vie,
Qui ne vous a jamais fait de cadeaux.
Alors vous vous installé devant votre bureau, et les yeux en pleures, vous écrivez.
A votre fille pour lui dire de vous comprendre, de ne pas vous haïr, de ne pas culpabiliser.
A votre fils pour lui expliquer d’ouvrir son cœur et d’être plus humble.
A votre mari devenu ex , pour lui demander de respecter vos dernières volontés.
Une lettre pour léguer aux personnes que vous aimez un souvenir bien précis de vous.
Qui peut aller d’une statuette de Betty Boop, pour une amie qui partage votre passion.
Une parure de bijoux à une tante, que vous considéré comme une mère.
Une alliance redonné à son mari, pour lui faire comprendre ce que cela signifie.
Un paquet de car en sac, pour une amie qui a oublier tout les moments de complicité autour de ce bonbon.
Pas de lettre à votre mère, car depuis quelques années, le contact n’est plus le même.
Elle n’a même pas remarqué votre détresse, n’a même pas chercher à vous aider.
D’ailleurs les instructions sont claires, votre mère et votre mari ne sont pas désirés aux obsèques. Vous allez le signifier plusieurs fois, pour être sur que cela soit bien compris.
Les lettres sont finies, vous avez choisi les médicaments ; pas assez courageuse pour une pendaison ou sauter dans le vide. Prendre la voiture, non, vous pourriez faire du mal à d’autres.
Alors vous vous couchez avec la musique que vous appréciez.
Vous avalez vos cachets et doucement, vous sentez une sensation de plénitude vous envahir.
Il y a des mois que vous n’aviez ressentis ce doux moment ; enfin vous êtes bien, sereine.
Puis c’est le drame, vous vous réveiller deux jours plus tard dans un lit d’hôpital.
Que s’est il passé ? La dose était pourtant importante.
La rage vous prends, vous arrachez vos perfusions ;
Dites qu’on vous laisse tranquille que vous voulez partir.
Et soudain, vous croisez le regard de votre fille, elle vous regarde désemparé, ne reconnaissant pas sa mère, elle pleure, elle a failli perdre sa maman.
Elles sont si fusionnelles toutes les deux, d’ailleurs c’est sa fille qui l’a retrouvé ; n’ayant pas de nouvelles, elle a senti qu’il se passait quelques choses.
Il vous faudra quelques jours pour comprendre que tout cela était une bêtise.
Même si ce moment de plénitude a été incroyable.
Vous faites le tri dans vos amis qui n’en était pas vraiment, dans la famille qui vous utilisait mais ne rendait jamais l’amour dont vous étiez demanderesse.
Vous essaierez à l’avenir de moins vous investir dans les problèmes des autres.
Vous avez enfin le courage de dire ce que vous pensez aux autres, cela vous soulage.
C’est vrai que la vie ne vous a pas épargné, les galères vous connaissez.
Les autres se sont toujours appuyer sur vous, et ce fardeau vous pèse.
Ils vous pensent forte, mais ils se trompent.
Votre cœur éclate chaque jour à emmagasiner les problèmes, sans qu’ils se rendent comptent que depuis quelques mois, vous n’arrivez plus à faire face aux vôtres.
Pendant votre période d’inconscience, vous voyez votre père ; il ne veut pas de vous à ses côtés. Ce n’est pas votre heure, il souhaite vous voir repartir.
Alors, il faut vivre, apprendre à se reconstruire, la mort n’a pas voulu de vous.
A partir de maintenant, osez dire quand ça ne va pas ; pensez qu’aux personnes qui vous sont proches et qui savent rendre l’amour que vous leur porter.
Et un jour quand votre heure sera venue, rejoindre votre père.
J’ai fait du mal à ma fille, mon fils, mes amis dans mon geste égoïste, mais sur le moment ça me semblait une bonne idée. Je ne voyais plus d’issue, six mois sans dormir plus d'une heure par jour; n'a rien arrangé.
Je vous demande de me pardonner.
Et vous promets que maintenant, je pousserais mon coup de gueule, quand ça n’ira pas, et j’ouvrirais la soupape de sécurité.
Ceci n’est pas un poème, juste une lettre où j’ouvre mon cœur pour vous expliquer mon geste.
Une lettre pour ma famille, mes amis, mes amis de créa qui se sont inquiétés pour moi.
Pardon et merci d’avoir été si présents.
Un remerciement tout particulier à deux personnes qui m’ont soutenu tous les jours pendant mon hospitalisation ; ma fille et ma cricri, je vous adore les filles
Vous vous sentez fatigué, épuisé ; votre vie n’a plus d’importance.
Vous en oublié vos enfants, vos amis, votre famille, les gens qui comptent pour vous.
Vous prenez la seule décision qui s’impose à vous.
Vous endormir pour ne jamais se réveiller.
Vous n’êtes ni folle, ni dérangé ; juste éreinté par cette vie,
Qui ne vous a jamais fait de cadeaux.
Alors vous vous installé devant votre bureau, et les yeux en pleures, vous écrivez.
A votre fille pour lui dire de vous comprendre, de ne pas vous haïr, de ne pas culpabiliser.
A votre fils pour lui expliquer d’ouvrir son cœur et d’être plus humble.
A votre mari devenu ex , pour lui demander de respecter vos dernières volontés.
Une lettre pour léguer aux personnes que vous aimez un souvenir bien précis de vous.
Qui peut aller d’une statuette de Betty Boop, pour une amie qui partage votre passion.
Une parure de bijoux à une tante, que vous considéré comme une mère.
Une alliance redonné à son mari, pour lui faire comprendre ce que cela signifie.
Un paquet de car en sac, pour une amie qui a oublier tout les moments de complicité autour de ce bonbon.
Pas de lettre à votre mère, car depuis quelques années, le contact n’est plus le même.
Elle n’a même pas remarqué votre détresse, n’a même pas chercher à vous aider.
D’ailleurs les instructions sont claires, votre mère et votre mari ne sont pas désirés aux obsèques. Vous allez le signifier plusieurs fois, pour être sur que cela soit bien compris.
Les lettres sont finies, vous avez choisi les médicaments ; pas assez courageuse pour une pendaison ou sauter dans le vide. Prendre la voiture, non, vous pourriez faire du mal à d’autres.
Alors vous vous couchez avec la musique que vous appréciez.
Vous avalez vos cachets et doucement, vous sentez une sensation de plénitude vous envahir.
Il y a des mois que vous n’aviez ressentis ce doux moment ; enfin vous êtes bien, sereine.
Puis c’est le drame, vous vous réveiller deux jours plus tard dans un lit d’hôpital.
Que s’est il passé ? La dose était pourtant importante.
La rage vous prends, vous arrachez vos perfusions ;
Dites qu’on vous laisse tranquille que vous voulez partir.
Et soudain, vous croisez le regard de votre fille, elle vous regarde désemparé, ne reconnaissant pas sa mère, elle pleure, elle a failli perdre sa maman.
Elles sont si fusionnelles toutes les deux, d’ailleurs c’est sa fille qui l’a retrouvé ; n’ayant pas de nouvelles, elle a senti qu’il se passait quelques choses.
Il vous faudra quelques jours pour comprendre que tout cela était une bêtise.
Même si ce moment de plénitude a été incroyable.
Vous faites le tri dans vos amis qui n’en était pas vraiment, dans la famille qui vous utilisait mais ne rendait jamais l’amour dont vous étiez demanderesse.
Vous essaierez à l’avenir de moins vous investir dans les problèmes des autres.
Vous avez enfin le courage de dire ce que vous pensez aux autres, cela vous soulage.
C’est vrai que la vie ne vous a pas épargné, les galères vous connaissez.
Les autres se sont toujours appuyer sur vous, et ce fardeau vous pèse.
Ils vous pensent forte, mais ils se trompent.
Votre cœur éclate chaque jour à emmagasiner les problèmes, sans qu’ils se rendent comptent que depuis quelques mois, vous n’arrivez plus à faire face aux vôtres.
Pendant votre période d’inconscience, vous voyez votre père ; il ne veut pas de vous à ses côtés. Ce n’est pas votre heure, il souhaite vous voir repartir.
Alors, il faut vivre, apprendre à se reconstruire, la mort n’a pas voulu de vous.
A partir de maintenant, osez dire quand ça ne va pas ; pensez qu’aux personnes qui vous sont proches et qui savent rendre l’amour que vous leur porter.
Et un jour quand votre heure sera venue, rejoindre votre père.
J’ai fait du mal à ma fille, mon fils, mes amis dans mon geste égoïste, mais sur le moment ça me semblait une bonne idée. Je ne voyais plus d’issue, six mois sans dormir plus d'une heure par jour; n'a rien arrangé.
Je vous demande de me pardonner.
Et vous promets que maintenant, je pousserais mon coup de gueule, quand ça n’ira pas, et j’ouvrirais la soupape de sécurité.
Ceci n’est pas un poème, juste une lettre où j’ouvre mon cœur pour vous expliquer mon geste.
Une lettre pour ma famille, mes amis, mes amis de créa qui se sont inquiétés pour moi.
Pardon et merci d’avoir été si présents.
Un remerciement tout particulier à deux personnes qui m’ont soutenu tous les jours pendant mon hospitalisation ; ma fille et ma cricri, je vous adore les filles