Je te réciterai la poésie de ta Lumière
Les ailes de mes bras enserrent les ciels d’azur,
les dais des nuages, les bocages, et la terre,
je demeure à tout jamais dans les jardins de ton visage,
je navigue dessus les rivages de ta peau,
les dais des nuages, les bocages, et la terre,
je demeure à tout jamais dans les jardins de ton visage,
je navigue dessus les rivages de ta peau,
je m’arrime à
la royauté de tes seins lourds lourds contre les miens,
et je te contemple,
Toi, ma Muse, ma Vie.
la royauté de tes seins lourds lourds contre les miens,
et je te contemple,
Toi, ma Muse, ma Vie.
Je m’endors chaque nuit,
sur le Soleil de ta tendresse,
auréolée
par les chants de ta douceur.
sur le Soleil de ta tendresse,
auréolée
par les chants de ta douceur.
Vois,
dès que tu erres par delà notre maison,
les sentes s’ouvrent au vent de tes escarpins,
les ronces n’ont plus d’épines,
dès que tu erres par delà notre maison,
les sentes s’ouvrent au vent de tes escarpins,
les ronces n’ont plus d’épines,
les prairies s’enflamment
à l’exquisité ultime de ta présence,
je vis
sous les cils perpétuels de notre Amour.
à l’exquisité ultime de ta présence,
je vis
sous les cils perpétuels de notre Amour.
Toi qui cisèles avec tes lèvres et tes paumes
les spasmes de mes gémissements,
peins l’Univers
à l’azur de tes yeux,
les spasmes de mes gémissements,
peins l’Univers
à l’azur de tes yeux,
laisse-moi reposer maintenant,
languide,
dans
le delta de nos Toisons,
languide,
dans
le delta de nos Toisons,
dans
le lac immaculé de ta délicatesse,
dedans le cahier de notre romance,
je te réciterai, jusqu’à l’infini des jours,
le lac immaculé de ta délicatesse,
dedans le cahier de notre romance,
je te réciterai, jusqu’à l’infini des jours,
la
poésie
de
ta Lumière !
poésie
de
ta Lumière !
Sophie Rivière