Comme je vous l'explique dans mon post précédent
voici mon deuxième poème pour le CC de "Flammes vives de la poésie" sur le thème l'innocence dont je n'ai plus aucune nouvelles
Je suis...
Je suis la feuille vierge et blanche,
Le petit oiseau sur la branche,
La première page au roman,
D’ une vie, ou d’un court moment,
Je suis la chanson qu’on fredonne,
La main que l’on tend, que l’on donne,
Ce petit air de liberté,
Un petit rien de « légèr’ té »,
Ce sourire aux lèvres, timide,
Un rire à se tordre le bide,
Je suis le tout premier frisson,
Un sucre d’orge, un calisson,
Je suis la goûte de rosée,
à la nuit sur l’herbe déposée,
Je suis le regard d’un enfant,
Je suis Bambi, je suis Fan-fan,
Sur le chemin une herbe folle,
Un petit chat qui batifole,
Un oisillon tombé du nid,
Un pauvre hère démuni,
Je suis le ravi de la crèche,
Au torrent l’eau limpide et fraîche,
L’étoile qui luit dans la nuit,
Le havre pour celui qui fuit,
Beau papillon multicolore,
Éphémère que l’on implore,
Un nouveau né dans son berceau,
Juste un mot écrit au verso,
Je suis la muse ou l’égérie,
Simple arc-en-ciel sur la prairie,
Je suis celle que l’on trahit,
J’ai parfois un air ahuri,
Je suis fragile de naissance,
Et l’on me nomme l’innocence,
J’entends bruire encor’ le canon,
Que je n’ose avouer mon nom.
voici mon deuxième poème pour le CC de "Flammes vives de la poésie" sur le thème l'innocence dont je n'ai plus aucune nouvelles
Je suis...
Je suis la feuille vierge et blanche,
Le petit oiseau sur la branche,
La première page au roman,
D’ une vie, ou d’un court moment,
Je suis la chanson qu’on fredonne,
La main que l’on tend, que l’on donne,
Ce petit air de liberté,
Un petit rien de « légèr’ té »,
Ce sourire aux lèvres, timide,
Un rire à se tordre le bide,
Je suis le tout premier frisson,
Un sucre d’orge, un calisson,
Je suis la goûte de rosée,
à la nuit sur l’herbe déposée,
Je suis le regard d’un enfant,
Je suis Bambi, je suis Fan-fan,
Sur le chemin une herbe folle,
Un petit chat qui batifole,
Un oisillon tombé du nid,
Un pauvre hère démuni,
Je suis le ravi de la crèche,
Au torrent l’eau limpide et fraîche,
L’étoile qui luit dans la nuit,
Le havre pour celui qui fuit,
Beau papillon multicolore,
Éphémère que l’on implore,
Un nouveau né dans son berceau,
Juste un mot écrit au verso,
Je suis la muse ou l’égérie,
Simple arc-en-ciel sur la prairie,
Je suis celle que l’on trahit,
J’ai parfois un air ahuri,
Je suis fragile de naissance,
Et l’on me nomme l’innocence,
J’entends bruire encor’ le canon,
Que je n’ose avouer mon nom.
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