La tête dans les nuages, le regard posé sur la tour Eiffel
Mes larmes coulent et transpercent les nuages et le ciel
Des milliers d’étoiles dans la tête, je me lève chaque matin
Je vis au rythme de la lune sans jamais penser à demain
Vagabond dans l’âme, toujours l’esprit figé vers le néant
Rêveur à souhait, une flaque de naïveté dans les rangs
La force d’aimer sans cette saleté d’ambiance électrique
Tu sais, ce sentiment si intense qu’il te rend amnésique
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Deux ans, peut-être plus ou maintenant
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Je vise l’horizon mais mes yeux sont scotchés en arrière
Moi qui pensais que l’amour était rigide comme la pierre
Quelle fut ma surprise en ouvrant la boite des malheurs
Ma vie s’est écroulée aux rythmes des balafres dans le cœur
Et j’ai traversé un océan parsemé d’embuches et de pièges
Même ma poésie en plein soleil s’est vautrée dans la neige
Va donc comprendre, quand l’ange t’esquive un sourire
Le diable est là, dans les parages, toujours près à bondir
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Deux ans, peut-être plus ou maintenant
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Je suis tombé à terre, les genoux brisés par le manque
La souffrance me détruisait et me broyait tel un tank
J’ai serré la main à la brise, moi, le prisonnier du temps
Les aiguilles se sont arrêtées dans son adieu brusquement
Quand elle a disparue, se sont éteints mon âme et mon corps
Une douce mélodie apaisante imprégnait la vie par la mort
Désert de solitude, j’étais devenu l’amoureux de rien
A croire que je n’avais qu’elle, qu’elle était mon eau et mon pain
Je suis mort une fois, moi
Mes larmes coulent et transpercent les nuages et le ciel
Des milliers d’étoiles dans la tête, je me lève chaque matin
Je vis au rythme de la lune sans jamais penser à demain
Vagabond dans l’âme, toujours l’esprit figé vers le néant
Rêveur à souhait, une flaque de naïveté dans les rangs
La force d’aimer sans cette saleté d’ambiance électrique
Tu sais, ce sentiment si intense qu’il te rend amnésique
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Deux ans, peut-être plus ou maintenant
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Je vise l’horizon mais mes yeux sont scotchés en arrière
Moi qui pensais que l’amour était rigide comme la pierre
Quelle fut ma surprise en ouvrant la boite des malheurs
Ma vie s’est écroulée aux rythmes des balafres dans le cœur
Et j’ai traversé un océan parsemé d’embuches et de pièges
Même ma poésie en plein soleil s’est vautrée dans la neige
Va donc comprendre, quand l’ange t’esquive un sourire
Le diable est là, dans les parages, toujours près à bondir
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Deux ans, peut-être plus ou maintenant
Je suis mort une fois, moi, il n’y a pas si longtemps
Je suis tombé à terre, les genoux brisés par le manque
La souffrance me détruisait et me broyait tel un tank
J’ai serré la main à la brise, moi, le prisonnier du temps
Les aiguilles se sont arrêtées dans son adieu brusquement
Quand elle a disparue, se sont éteints mon âme et mon corps
Une douce mélodie apaisante imprégnait la vie par la mort
Désert de solitude, j’étais devenu l’amoureux de rien
A croire que je n’avais qu’elle, qu’elle était mon eau et mon pain
Je suis mort une fois, moi
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