Je suis la nef de ta Grâce
Ma Muse, ma Vénérée, ma Lumière,
laisse-moi me blottir
en la poésie de tes mots de douceur,
parmi la forêt des champs, et des bocages,
laisse-moi me blottir
en la poésie de tes mots de douceur,
parmi la forêt des champs, et des bocages,
adossée à l’éclosion des saisons,
contre le tulle nu du zénith,
dessus les chemins du monde,
et le satin de l’océan.
contre le tulle nu du zénith,
dessus les chemins du monde,
et le satin de l’océan.
Gorge-moi encore de vraie vie,
j’enrobe maintenant avec mes bras
l’étoile de ton visage,
et la buée de ton sourire,
j’enrobe maintenant avec mes bras
l’étoile de ton visage,
et la buée de ton sourire,
tes escarpins survolent
le Soleil infini des bruyères,
alors que
flotte le souffle infini du désir.
le Soleil infini des bruyères,
alors que
flotte le souffle infini du désir.
Je suis la nef de ta Grâce,
je t’apporte des chants d’oiseaux
flottant dans les hosties d’air,
et je sème partout
je t’apporte des chants d’oiseaux
flottant dans les hosties d’air,
et je sème partout
les
strophes de notre Amour éternel,
je serre en mes paumes
le cantique de ton Soleil.
strophes de notre Amour éternel,
je serre en mes paumes
le cantique de ton Soleil.
Viens,
face à la source des étoiles,
face
au châle de ta délicatesse,
face à la source des étoiles,
face
au châle de ta délicatesse,
et
bénis-moi
avec
l’arc-en-ciel de ta peau !
bénis-moi
avec
l’arc-en-ciel de ta peau !
Sophie Rivière