Encore un matin où l'aube se traîne
Avec son manteau de brume, cette fois
Cachant la rosée à l'orée de ma peine
Puisque je pense à toi
Midi sonne dans toutes les chaumières
Dans mon foyer brûle le cadran en bois
Le soleil, au zénith, réchauffe ma chair
Parce-que je pense à toi
Au crépuscule, la vie s'éteint cela s'entend
Le jour se meurt et le silence est roi
L'oiseau se rebelle et l'on perçoit son chant
Parce-que je pense à toi
La nuit sévit et n'accuse aucun retard
Des lucioles figées sur le plus haut des toits
Dansent avec une lune vide de cauchemar
Puisque que je pense à toi...
Avec son manteau de brume, cette fois
Cachant la rosée à l'orée de ma peine
Puisque je pense à toi
Midi sonne dans toutes les chaumières
Dans mon foyer brûle le cadran en bois
Le soleil, au zénith, réchauffe ma chair
Parce-que je pense à toi
Au crépuscule, la vie s'éteint cela s'entend
Le jour se meurt et le silence est roi
L'oiseau se rebelle et l'on perçoit son chant
Parce-que je pense à toi
La nuit sévit et n'accuse aucun retard
Des lucioles figées sur le plus haut des toits
Dansent avec une lune vide de cauchemar
Puisque que je pense à toi...