J e ne t'écrirai plus aux larmes de ma plume
E n ces jours trop heureux où enfin meurt l'ennui
N e pouvant retenir ces larmes d'espérance
E st ce toi chevalier le rêve de mes nuits
T oi ce beau serviteur réparant les offenses
E ncourageant mes mots au péril de ton coeur
C ar j'ai décidé que ma plume trop bohème
R esterait bien au chaud bel écrin de douceur
I gnorante des maux que parfois je parsème
R egardant dépérir les roses du malheur
A vec leurs pétales que le vent du nord sème
I mpassible aux regards d'un possible bonheur
P ourquoi t'écrire encor je n'en ai plus la force
L es mots n'ont plus d'attrait ils sont vides de sens
U n jour me relever guidée par cette écorce
S ur laquelle au printemps je sentirai l'encens
A lors sur cette main je poserai la mienne
U ne douce brise caressera mon cou
X énon dans mon ciel illuminera la tienne
L armes de mes amours larmes de chaque jour
A u lever du soleil inondent mes paupières
R edonnant enfin vie à de beaux toujours
M a plume s'éveillant au chant de mes prières
E nfin sur parchemin aux sons lourd du tambour
S' envolera alors si fière et si altière
D escandant là tout près sur ce bel écrit
E lle s'épanchera en jolis caractères
M ontrant tout son savoir aux berges de l'esprit
A vec de jolis vers en robes de dentelle
P our t'offrir petit ange ô merveille des yeux
L e plus charmant poème écrit de cette plume
U n beau petit bijou dans l'écrin des cieux
M aintenant volubile au ciel elle t' allume
E t chante notre amour paradis des aïeux
E n ces jours trop heureux où enfin meurt l'ennui
N e pouvant retenir ces larmes d'espérance
E st ce toi chevalier le rêve de mes nuits
T oi ce beau serviteur réparant les offenses
E ncourageant mes mots au péril de ton coeur
C ar j'ai décidé que ma plume trop bohème
R esterait bien au chaud bel écrin de douceur
I gnorante des maux que parfois je parsème
R egardant dépérir les roses du malheur
A vec leurs pétales que le vent du nord sème
I mpassible aux regards d'un possible bonheur
P ourquoi t'écrire encor je n'en ai plus la force
L es mots n'ont plus d'attrait ils sont vides de sens
U n jour me relever guidée par cette écorce
S ur laquelle au printemps je sentirai l'encens
A lors sur cette main je poserai la mienne
U ne douce brise caressera mon cou
X énon dans mon ciel illuminera la tienne
L armes de mes amours larmes de chaque jour
A u lever du soleil inondent mes paupières
R edonnant enfin vie à de beaux toujours
M a plume s'éveillant au chant de mes prières
E nfin sur parchemin aux sons lourd du tambour
S' envolera alors si fière et si altière
D escandant là tout près sur ce bel écrit
E lle s'épanchera en jolis caractères
M ontrant tout son savoir aux berges de l'esprit
A vec de jolis vers en robes de dentelle
P our t'offrir petit ange ô merveille des yeux
L e plus charmant poème écrit de cette plume
U n beau petit bijou dans l'écrin des cieux
M aintenant volubile au ciel elle t' allume
E t chante notre amour paradis des aïeux
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