Je m'accrocherai aux ailes de l'amour
laissant le temps à d’autre jour,
Que ces moments deviennent
le sanctuaire de nos envies,
le péché originel de nos attraits,
L’enchantement de nos désirs,
Aussi délicat qu’une fleur
où le temps s'arrête,
un instant si précieux
Que nos corps découvrent à nouveau
dans la clarté de la nuit
Où les étoiles deviennent le lit de nos secrets.
Tu serais l'ange de mes pensées,
puisses-tu les deviner
Sur ces mots si courtois
d'une élégance ajourée
au parfum d’une muse,
Dans le jardin des secrets
Tu serais l'ange de mes pensées.
Une Ode à la chaleur envoutante
charmée par la délicatesse,
Où les mots et les vers
Se disperseront aux grés des vents
Sur les embruns de ta peau
Recherchant le bonheur.
Je me suis perdu en secret
Dans le reflet bleu de tes cieux
Dans la mer de tes cheveux,
Sous les vagues de tes lèvres
Recherchant l’éternité sans trêve
Sous chacune de tes courbes silencieuses,
Essuyant chacune de tes larmes
Sous la caresse de mes mains,
Le cœur serré dans le creux de tes mains,
Redessinant mille fois tes yeux ton sourire
Les bras ouvert quand elle est loin de moi
La lumière dans tes cheveux,
Où mon cœur débordera
Sous la pluie de tes lèvres,
Entrouvrant mille fois
La porte de mes rêves
Dans le paradis de mes nuits.
L.Deléglise
laissant le temps à d’autre jour,
Que ces moments deviennent
le sanctuaire de nos envies,
le péché originel de nos attraits,
L’enchantement de nos désirs,
Aussi délicat qu’une fleur
où le temps s'arrête,
un instant si précieux
Que nos corps découvrent à nouveau
dans la clarté de la nuit
Où les étoiles deviennent le lit de nos secrets.
Tu serais l'ange de mes pensées,
puisses-tu les deviner
Sur ces mots si courtois
d'une élégance ajourée
au parfum d’une muse,
Dans le jardin des secrets
Tu serais l'ange de mes pensées.
Une Ode à la chaleur envoutante
charmée par la délicatesse,
Où les mots et les vers
Se disperseront aux grés des vents
Sur les embruns de ta peau
Recherchant le bonheur.
Je me suis perdu en secret
Dans le reflet bleu de tes cieux
Dans la mer de tes cheveux,
Sous les vagues de tes lèvres
Recherchant l’éternité sans trêve
Sous chacune de tes courbes silencieuses,
Essuyant chacune de tes larmes
Sous la caresse de mes mains,
Le cœur serré dans le creux de tes mains,
Redessinant mille fois tes yeux ton sourire
Les bras ouvert quand elle est loin de moi
La lumière dans tes cheveux,
Où mon cœur débordera
Sous la pluie de tes lèvres,
Entrouvrant mille fois
La porte de mes rêves
Dans le paradis de mes nuits.
L.Deléglise
