Je m’en vais sans dire adieu
Marqué à l’intérieur, ne vaut rien dire pardon
Pour toi à vie, mon cœur est clos
Je pars cette nuit, sans te dire adieu
Je pars, tu sais pour prendre une pose
Je ne peux pas vivre ainsi, en te suppliant
De ton mépris assai, moi, j’ai eu ma dose
Tu offres un amour sombre, et venimeux
Arrête, tu veux bien ! Mon cœur s’explose
Pourquoi alors, tu ne le rends pas joyeux ?
Grande est ma patience, envers a tes caprices
Moi je ne peux plus, de ton esprit voyou
Deviens cette haine qui te rend a ce point joyeuse
Pour toi, l’amour ce n’est qu’un jeu
Derrière tes pointues épines, tu te caches rose
Tu donnes et tu retires, et pourtant
Tu as eu mon miel, ainsi, tu me recomposes
C’est vrai, j’ai eu le tien, mais en pur poison
Mouillés toujours oui, ils sont mes joues
J’écrase mes larmes, avec mes doigts
Ma vie auprès de toi, est une triste prison
Je suis le prisonnier, de ce qu’il y a en toi
Mes lourdes chaînes, me rendent fou
Vécu heureux, non, je ne me souviens pas
Mes poignes me font mal, presque tout le temps
Auprès de toi, je hurle, entends-tu ma voix
Je suis l’oiseau qui meurt, ouvre bien tes yeux
Qui oublie son vol, un beau matin
Guider au sol, par les ondes de tes mots
Piégé dans tes filets, tu me menottes les mains
Libère-moi vite et brise cet anneau
Pourquoi tu hésites, tu n’as rien pour moi
Ton cœur qui m’évite, tu me donnes le dos
Est-ce que je te dégoûte à ce point-là ?
D’où vient-elle cette rage, qui habite tes fonds
Je te laisse ta cage, pour d’autre proie
Moi, je tourne la page, je veux vivre heureux
Malgré ton orage, il fera beau demain
L’eau des ruisseaux, et la douceur des vents
C’est ce qu’il aime l’oiseau, et les beaux jardins
Dans les horizons, il se sentira mieux
Face aux océans, sur le dos des marins
Garde ta cage en or, et ferme-toi dedans
Peut-être qu’un vautour, demandera ta main
Avec son odieuse odeur, tu te diras surement
Où es-tu amour, je veux ton parfum !
Ce jour-là, j’ai peur, je n’aurais rien pour vous
Ton amour est mort, rends-moi la fleur, elle est aussi mienne
Libère-toi ma fleur, et prends vite ton envol
Si tes ailes sont murs, alors vite rejoins-moi
Viens quand t’il ferra jour, marche sous le soleil
En plein jour, ton ombre, sûrement, il te guidera
L’envie de te voir, tu sais comme l’acide, il me brûle
Suis ton cœur ma belle, il te montrera le chemin
Ton père n’est pas mort, juste qu’il a ratai son vol
Il s’étouffe son cœur, loin de ton parfum
Il ne suffit de toi, rien qu’un petit mot
Et voilà que mes ailes, pour toi se largueront
Je me rebellerais, tu sais, je fonce droit devant
Même sans épée, m’affronter qui osera
J’affronterais les vents, montagnes et océans
Même si je meurs noyer, pour les poisons repas
Pour toi, ma belle, j’accepte les pires moments
Fais-moi un signe fillette, et tu verras
Je ferais les déserts, mêmes pieds nus
Même dos courbé, le blanc m’envahira
Je viendrais rien que pour voir tes beaux yeux
Est-ce que ma fille, tu me pardonneras ???
La nuit est tellement longue, ou es-tu matin
Sur mon toit, j’entends, les cris d’un corbeau
Où es-tu rouge-gorge, ou est ton chant devin ?
Je veux que mon sort change, et voir mon enfant
Voir son beau visage, peut-être que la joie
Brisera ma cage, et mon ciel redevient bleu
Et que les gris nuages, seront loin très loin
Je viendrais te cueillir, avant de mourir
Tu me manques fleur, triste est mon jardin
Mon cœur te veut, mon âme te désire
Je veux une épée pour vaincre le chagrin
Je sécherais tes larmes, même s’ils coulent les miens
Même si tu seras femme, je resterais toujours ton papa
À bientôt
Mustapha
Marqué à l’intérieur, ne vaut rien dire pardon
Pour toi à vie, mon cœur est clos
Je pars cette nuit, sans te dire adieu
Je pars, tu sais pour prendre une pose
Je ne peux pas vivre ainsi, en te suppliant
De ton mépris assai, moi, j’ai eu ma dose
Tu offres un amour sombre, et venimeux
Arrête, tu veux bien ! Mon cœur s’explose
Pourquoi alors, tu ne le rends pas joyeux ?
Grande est ma patience, envers a tes caprices
Moi je ne peux plus, de ton esprit voyou
Deviens cette haine qui te rend a ce point joyeuse
Pour toi, l’amour ce n’est qu’un jeu
Derrière tes pointues épines, tu te caches rose
Tu donnes et tu retires, et pourtant
Tu as eu mon miel, ainsi, tu me recomposes
C’est vrai, j’ai eu le tien, mais en pur poison
Mouillés toujours oui, ils sont mes joues
J’écrase mes larmes, avec mes doigts
Ma vie auprès de toi, est une triste prison
Je suis le prisonnier, de ce qu’il y a en toi
Mes lourdes chaînes, me rendent fou
Vécu heureux, non, je ne me souviens pas
Mes poignes me font mal, presque tout le temps
Auprès de toi, je hurle, entends-tu ma voix
Je suis l’oiseau qui meurt, ouvre bien tes yeux
Qui oublie son vol, un beau matin
Guider au sol, par les ondes de tes mots
Piégé dans tes filets, tu me menottes les mains
Libère-moi vite et brise cet anneau
Pourquoi tu hésites, tu n’as rien pour moi
Ton cœur qui m’évite, tu me donnes le dos
Est-ce que je te dégoûte à ce point-là ?
D’où vient-elle cette rage, qui habite tes fonds
Je te laisse ta cage, pour d’autre proie
Moi, je tourne la page, je veux vivre heureux
Malgré ton orage, il fera beau demain
L’eau des ruisseaux, et la douceur des vents
C’est ce qu’il aime l’oiseau, et les beaux jardins
Dans les horizons, il se sentira mieux
Face aux océans, sur le dos des marins
Garde ta cage en or, et ferme-toi dedans
Peut-être qu’un vautour, demandera ta main
Avec son odieuse odeur, tu te diras surement
Où es-tu amour, je veux ton parfum !
Ce jour-là, j’ai peur, je n’aurais rien pour vous
Ton amour est mort, rends-moi la fleur, elle est aussi mienne
Libère-toi ma fleur, et prends vite ton envol
Si tes ailes sont murs, alors vite rejoins-moi
Viens quand t’il ferra jour, marche sous le soleil
En plein jour, ton ombre, sûrement, il te guidera
L’envie de te voir, tu sais comme l’acide, il me brûle
Suis ton cœur ma belle, il te montrera le chemin
Ton père n’est pas mort, juste qu’il a ratai son vol
Il s’étouffe son cœur, loin de ton parfum
Il ne suffit de toi, rien qu’un petit mot
Et voilà que mes ailes, pour toi se largueront
Je me rebellerais, tu sais, je fonce droit devant
Même sans épée, m’affronter qui osera
J’affronterais les vents, montagnes et océans
Même si je meurs noyer, pour les poisons repas
Pour toi, ma belle, j’accepte les pires moments
Fais-moi un signe fillette, et tu verras
Je ferais les déserts, mêmes pieds nus
Même dos courbé, le blanc m’envahira
Je viendrais rien que pour voir tes beaux yeux
Est-ce que ma fille, tu me pardonneras ???
La nuit est tellement longue, ou es-tu matin
Sur mon toit, j’entends, les cris d’un corbeau
Où es-tu rouge-gorge, ou est ton chant devin ?
Je veux que mon sort change, et voir mon enfant
Voir son beau visage, peut-être que la joie
Brisera ma cage, et mon ciel redevient bleu
Et que les gris nuages, seront loin très loin
Je viendrais te cueillir, avant de mourir
Tu me manques fleur, triste est mon jardin
Mon cœur te veut, mon âme te désire
Je veux une épée pour vaincre le chagrin
Je sécherais tes larmes, même s’ils coulent les miens
Même si tu seras femme, je resterais toujours ton papa
À bientôt
Mustapha