Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Je chemine, arrimée au Soleil de ta féminité

rivière

Maître Poète
#1
Je chemine, arrimée au Soleil de ta féminité

Le parchemin des sentes s’ouvre
à l’éternelle jeunesse de mes pas,
parmi le continent du Monde,
parmi la régence des bocages, des bosquets, et des hameaux.

Je chemine vers l’océan de ta Lumière,
dessus le baldaquin des mousses,
enveloppée de ma micro-robe de tulle,
et par les bras des arbres,

arrimée au Soleil de ta féminité.
Ô ma Muse, ma Vénérée, ma Sainte,
Toi l’astre de mes nuits,
conte-moi encore l’azur de ta douceur,

sois l’Impératrice de mes émois, je t’en conjure,
et de mon coeur qui ne bat que pour Toi,
laisse-moi bénir l’aile de tes baisers, et l’ode de ta paume
quand tu la refermes sur la mienne.

Je te remettrai à mon arrivée, en ta maison couverte de lierres,
des brassées de roses et d’asphodèles qui m’enivrent,
et que j’ai cueillies pour toi ,
emplie d’Amour,

face au beffroi de l’aube,
près de la mare où je t’ai rencontrée
voilà peu,
inondée par le delta de ta lueur.

Vois, les oiselles griffent au loin
le tablier des cités sans âme,
où ne gouvernent que l’envie et la haine,
ignorons-les.

Bientôt, à la scansion de mes escarpins,
viens au devant de moi,
et, à même l’autel des racines,
peau contre peau,

chante-moi, agenouillée,
les versets de ta Tendresse,
je serai alors
ton étoile pour l’éternité !

Sophie Rivière

 
Dernière édition:

Cortisone

Maître Poète
#3
Je chemine, arrimée au Soleil de ta féminité

Le parchemin des sentes s’ouvre
à l’éternelle jeunesse de mes pas,
parmi le continent du Monde,
parmi la régence des bocages, des bosquets, et des hameaux.

Je chemine vers l’océan de ta Lumière,
dessus le baldaquin des mousses,
enveloppée de ma micro-robe de tulle,
et par les bras des arbres,

arrimée au Soleil de ta féminité.
Ô ma Muse, ma Vénérée, ma Sainte,
Toi l’astre de mes nuits,
conte-moi encore l’azur de ta douceur,

sois l’Impératrice de mes émois, je t’en conjure,
et de mon coeur qui ne bat que pour Toi,
laisse-moi bénir l’aile de tes baisers, et l’ode de ta paume
quand tu la refermes sur la mienne.

Je te remettrai à mon arrivée, en ta maison couverte de lierres,
des brassées de roses et d’asphodèles qui m’enivrent,
et que j’ai cueillies pour toi ,
emplie d’Amour,

face au beffroi de l’aube,
près de la mare où je t’ai rencontrée
voilà peu,
inondée par le delta de ta lueur.

Vois, les oiselles griffent au loin
le tablier des cités sans âme,
où ne gouvernent que l’envie et la haine,
ignorons-les.

Bientôt, à la scansion de mes escarpins,
viens au devant de moi,
et, à même l’autel des racines,
peau contre peau,

chante-moi, agenouillée,
les versets de ta Tendresse,
je serai alors
ton étoile pour l’éternité !

Sophie Rivière

Je serai alors ton étoile pour l'éternité
Comme ton poème est à la sensualité.
Il se peut que je zappé un poème. Je te pris de m'en excuser
Douce pensée
Bises
Gaby
 

rivière

Maître Poète
#4
Bonsoir Gaby,
je te remercie très vivement pour la joliesse de ton message.
Je veux vouer en effet ma vie à la sensualité, car elle est l'incarnation
la plus vive de l'Amour avec la tendresse.

Bonne soirée.
Gros bisous.
Sophie