J’attends la matrice de tes paumes entre les miennes
Mon amour pour toi est si profond, si intense, et si immense,
qu’il nimbe le dais des étoiles, et les diocèses de l’Univers.
J’ai crayonné cette nuit le vent de l’ouest
pour te rejoindre au plus vite,
qu’il nimbe le dais des étoiles, et les diocèses de l’Univers.
J’ai crayonné cette nuit le vent de l’ouest
pour te rejoindre au plus vite,
car je n’en peux plus d’attendre
la douceur de tes bras,
je m’avance à tout instant à la proue des bocages,
j’attends l’éclosion du Soleil,
la douceur de tes bras,
je m’avance à tout instant à la proue des bocages,
j’attends l’éclosion du Soleil,
au milieu des mers et des océans,
j’attends la matrice de tes paumes entre les miennes
dessus l’hymne de ta Lumière,
et de ta bonté.
j’attends la matrice de tes paumes entre les miennes
dessus l’hymne de ta Lumière,
et de ta bonté.
Les sourires des jardins m’illuminent maintenant,
les oiseaux me louent,
et m’inondent de leurs trilles,
les papillons me font la révérence,
les oiseaux me louent,
et m’inondent de leurs trilles,
les papillons me font la révérence,
depuis que je suis ta suivante,
ô ma Muse, ma Sirène.
Vois l’écume des lueurs
sur ta peau de neige,
ô ma Muse, ma Sirène.
Vois l’écume des lueurs
sur ta peau de neige,
vois la vague de bonheur qui m’étreint
lorsque paraît l’arc-en-ciel de ta Grâce.
Je bénis les galets que tes ballerines ont frôlés,
je contemple la source de tes aurores,
lorsque paraît l’arc-en-ciel de ta Grâce.
Je bénis les galets que tes ballerines ont frôlés,
je contemple la source de tes aurores,
et les châles de tes regards,
Toi qui règnes, Impératrice de mes émois
sur les flots de mon coeur qui ne bat que pour Toi,
Toi qui parcours les rivages des astres
Toi qui règnes, Impératrice de mes émois
sur les flots de mon coeur qui ne bat que pour Toi,
Toi qui parcours les rivages des astres
face aux rondeaux des fougères.
Te rappelles-tu hier, à la brune,
la marée de tes paumes autour de ma taille,
et les lais sonores de tes baisers
Te rappelles-tu hier, à la brune,
la marée de tes paumes autour de ma taille,
et les lais sonores de tes baisers
parmi les voûtes sylvestres ? Alors laisse-moi aller
vers Toi dans l’allégresse des coquelicots,
recommence, et sous le joug du Midi,
je serai ta Princesse d’harmonie !
vers Toi dans l’allégresse des coquelicots,
recommence, et sous le joug du Midi,
je serai ta Princesse d’harmonie !
Sophie Rivière
Dernière édition: