J'ai vu le visage de la mort... Et ses victimes...
J'ai vu leurs tristes sorts... Et sa pitié infime...
J'ai vu son hasard et sa ponctualité...
J'ai vu sa douceur et sa violence innée...
J'ai vu son plus grand amour et son désespoir...
J'ai vu sa chambre, noire, insalubre, tel un mouroir...
J'ai vu son charme... Ses ailes noires... Goûté son baiser...
J'ai vu son omniprésence et son sourire fêlé...
J'ai vu qu'elle était triste vérité, face à...
La vie... Doux mensonge que tous le monde goba...
Et personne ne se rendra compte de la réel signification de ce poème...
J'ai vu leurs tristes sorts... Et sa pitié infime...
J'ai vu son hasard et sa ponctualité...
J'ai vu sa douceur et sa violence innée...
J'ai vu son plus grand amour et son désespoir...
J'ai vu sa chambre, noire, insalubre, tel un mouroir...
J'ai vu son charme... Ses ailes noires... Goûté son baiser...
J'ai vu son omniprésence et son sourire fêlé...
J'ai vu qu'elle était triste vérité, face à...
La vie... Doux mensonge que tous le monde goba...
Et personne ne se rendra compte de la réel signification de ce poème...
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