Hors concours
J'ai poussé la porte
Au hasard d'une balade champêtre, je découvris un lieu très étrange...
Une porte entrouverte me fit signe, telle une invite, se mit à grincer,
Mais dubitative, j'hésitai à franchir cette grille gardée par un ange,
Qu'y avait-il au-delà de ce seuil ? Jardin ou piège prêt à se refermer ?
Toujours est-il que sans me soucier des conséquences, je sautai le pas.
Un long chemin de gravier rose m'entraîna vers une grande clairière
Où les arbres semblaient s'enlacer, drôles de géants aux grands bras
Se balançant sous le vent, au-dessus du miroir étincelant d'une rivière...
Des lutins chantaient le cantique des cantiques à des elfes évanescents,
En osmose, leur répondaient libellules, papillons bleus et tourterelles,
Quel tableau idyllique ! Une vision paradisiaque digne d'Eve et d'Adam.
J'entrai en ce tableau irréel, sans bruit de peur d'effacer ces aquarelles...
Quand, tout à coup, je sentis la chaleur d'un souffle sur ma chevelure,
Une jolie petite main prit la mienne, puis j'entendis, pareille au cristal,
Une voix aux accents venus de nulle part, rassurante, celle qui susurre
L'amour des temps immémoriaux et dit :« Ici on ne te fera pas de mal... »
Je me vis plonger dans un rêve, celui d'« Alice au pays des merveilles, »
Le ciel tournait, les nuages valsaient avec des colombes immaculées...
La terre avait retrouvé la sérénité et, le mot « guerre » était en veille...
Par la porte entrouverte, j'entraperçus le prémisse d'une paix retrouvée...
J'ai poussé la porte
Au hasard d'une balade champêtre, je découvris un lieu très étrange...
Une porte entrouverte me fit signe, telle une invite, se mit à grincer,
Mais dubitative, j'hésitai à franchir cette grille gardée par un ange,
Qu'y avait-il au-delà de ce seuil ? Jardin ou piège prêt à se refermer ?
Toujours est-il que sans me soucier des conséquences, je sautai le pas.
Un long chemin de gravier rose m'entraîna vers une grande clairière
Où les arbres semblaient s'enlacer, drôles de géants aux grands bras
Se balançant sous le vent, au-dessus du miroir étincelant d'une rivière...
Des lutins chantaient le cantique des cantiques à des elfes évanescents,
En osmose, leur répondaient libellules, papillons bleus et tourterelles,
Quel tableau idyllique ! Une vision paradisiaque digne d'Eve et d'Adam.
J'entrai en ce tableau irréel, sans bruit de peur d'effacer ces aquarelles...
Quand, tout à coup, je sentis la chaleur d'un souffle sur ma chevelure,
Une jolie petite main prit la mienne, puis j'entendis, pareille au cristal,
Une voix aux accents venus de nulle part, rassurante, celle qui susurre
L'amour des temps immémoriaux et dit :« Ici on ne te fera pas de mal... »
Je me vis plonger dans un rêve, celui d'« Alice au pays des merveilles, »
Le ciel tournait, les nuages valsaient avec des colombes immaculées...
La terre avait retrouvé la sérénité et, le mot « guerre » était en veille...
Par la porte entrouverte, j'entraperçus le prémisse d'une paix retrouvée...
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